Deuxième contact.
Revenons-en à cet homme. Vous savez, là, dans le chapitre 1 et le 2, là?
Voyons où il en est.
Courant, encore, toujours. Dans les prés. Il se cache et tirant. Il va vers le Nord. Vers la base. SA base. Il cria aux officiers, ses ennemis.
-Vous, les Ploucs!!!! Le carburant ne va jamais tomber!!! Vous voulez pas savoir comment c’est!!!!!!! Alors tirez pas et rentrez vous faire…
Il retenta sa respiration.
Il regarda le ciel, toujours en courant.
Il s’arrêta. Le ciel était rouge, bleu et vert.
-Le carburant…
Il était presque trop tard pour en venir à un point de guerre. Des astéroïdes fonçaient déjà partout sur terre, à plein d’endroits. Vers le sud, en premier. Vers le désert du Sahara, les astéroïdes fonçaient aussi vers le Nord, à Paris. Et Ça, ça devait pas être forcément bien.
Il courra alors vers sa base, le Nord. Loin des ennemis.
-Une dernière phrase! Que dieu vous bénisse si un des astéroïdes frappe la base.
Deux heures plus tard: À la base. Dans les crasseux tunnels. Il courait, en se tenant aux murs pour ne pas tomber. Il avait sa main vers sa poitrine en sang. Un des officiers qui passait par là, trébucha par accident, par sa faute.
-Il est là!!!!! LE DÉMON!!!! Les astéroïdes foncent vers la baaase!!!! Allez le dire à la patronne!!!!
Brusquement, la base s'écroule. Des bouts de rochers s'écrasèrent alors sur les murs et les parois. Et la fumée du carburant fit opération.
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