Un pied dans la tombe
J'ouvre les yeux en salle de réveil. Beaucoup d'autres personnes se trouvent dans des lits.
L'infirmière s'approche de moi et me demande :
- Est-ce que tout va bien ? Vous avez mal quelque part ?
- Non, je n'ai mal nul part et tout va bien.
Je suis amené à ma chambre. Elle se situe près de l'accueil du 36e étage. Nous apercevons monsieur Jallanskhi. Il veut me parler de l'enquête.
Sur le coup, je suis surprit car je pensais que l’enquête n'avait pas avancé.
Arrivé à la chambre, monsieur Tarençie m'interroge, une fois encore :
- Savez-vous où sont passés vos parents?
- Monsieur l'agent, j'ai totalement oublier ce qui s'est produit ce jour là.
- Vous dite cela, mais vous êtes indifférent. Serai-ce le fait que je vous connais pas? Ou vous vous en foutez ?
- Dorénavant, si vous avez des questions à me poser, ce sera en présence de mon avocat et moi. Merci. Franchement, vous exagérez venir m'intéroger alors que je suis à l’hôpital. Cette demande n'est pas la fin du monde non plus.
- Je travaille, monsieur Tarençie. D’ailleurs, vous ne vous rendez pas compte de ce qui s'est passé. De plus, nous avons trouvé un poignant immaculé de sang et un couteau. L'un a servi à couper votre doigt. L'autre a certainement été utilisé pour tuer vos parents. Vous êtes vraiment certain de n'avoir rien à me dire. Après, il sera trop tard.
- Monsieur l'agent, écoutez. Je passerai demain au commissariat avec mon avocat. Préférez-vous une certaine heure ?
- Demain, 14h ?
Je le vit sortir de la chambre.
Que penseraient les villageois ? Ma famille ? Que j'ai signé un contrat avec le diable? S'ils apprenaient que l'apprenti du boucher était aussi un tueur, il a assassiné ces parents. Il les a coupés en petit morceaux pour les donner aux cochons. Ceux-là ont finis dans les assiettes des villageois. Je réfléchis à ces questions.
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