Nos discussions continuent à propos du cul de Sabrina et des relations avec Jean, ce qui ne calme pas nos ardeurs ni nos esprits.

- Erwan : Tiens, j’ai très envie maintenant.

- Moi : Oui je t'avais prévenu, tu n’as pas voulu m’écouter.

- Erwan : On se branle?

- Moi : Vu le bordel avec ce pion qui s’est fait arrêter, je pense que c’est pas une bonne idée.

- Erwan : Ah bon ?

- Moi : Bah oui, je te rappelle qu’on n'a vu aucun adulte depuis qu’on est là. Imagine qu’il entre alors que tu tripotes ta petite quéquette.

- Erwan : Je vais te la fourrer dans la bouche...tu verras si elle est petite.

- Moi amusé : Je plaisante!

Erwan l’avait bien compris mais son envie est forte et il aurait voulu que je lui réponde plus favorablement. Je préfère ne pas lui souligner mon niveau de compréhension, je ne voudrais pas le vexer.

- Erwan : Tiens mais c’est frustrant, je bande et je ne peux rien faire.

- Moi : Si tu peux faire quelque chose : prendre une douche froide.

- Erwan : Ouais, je crois que je vais aller me branler sous la douche pendant que “Monsieur gros zizi” reste frustré.

- Moi amusé : Va!

Erwan récupère quelques vêtements propres et se dirige vers la salle de bain. Il commence à se dénuder alors qu’il sait pertinemment qu’il est pile dans mon champ de vision, il en profite et se trémousse de manière affriolante. Il est très rapidement en sous-vêtement, un de ces slips bleus dans lequel je l’ai connu.

- Moi : Tu aimes me chercher hein?

- Erwan : J’aime qu’on se fasse du bien, j’y peux rien!

- Moi amusé : Oui bah désolé!

Peu de temps après, Erwan tombe le slip sans remord et dandine ses fesses sans aucune crainte ou gène. Puis il disparaît pour entrer sous la douche : l’eau coule bientôt.

Par sa faute et suite à nos discussions je bande comme un fou et je sais que moi aussi je vais avoir besoin d’une bonne douche froide ou de me soulager comme semble vouloir le faire mon ami.

Durant sa douche j’entends des sons ou plutôt des discussions qui semblent provenir de l’extérieur de la chambre et je décide de m’y intéresser malgré la bosse que je n’arrive pas à faire diminuer.