La tension sexuelle est bientôt totalement de retour et le plaisir m’emplit de façon intense. Je sens toute l’envie d’Amandine m'envahir et à mon tour, je me laisse lentement mais sûrement glisser sur le chemin du plaisir.

Les va-et-viens lancinants de ses lèvres , les attentions ajoutées de sa langue me procurent un bien fou. Même si j’ai déjà reçu des attentions comme celles- ci, je dois bien avouer que celles procurées par ma douce Amandine ont une saveur toute particulière.

Soudain, elle malaxe très doucement mes testicules. Cela entraîne une nouvelle phase d’extase en moi : je suis tout proche de la jouissance désormais. Je l’en avertis mais cette fois elle ne m’écoute pas et poursuit son action.

J’ai même l’étrange sensation qu’elle se montre même un peu plus vive dans ses mouvements alternatifs et pour le coup ce nouvel élan m'achève et me fait jouir intensément. Au moment de l’éjaculation, j'émets à mon tour des gémissement de plaisir.

Amandine ne semble pas gênée le moins du monde mais avale toute ma semence et s’attelle même a en faire disparaître la moindre goutte de mon bâton encore chaud. Je la congratule sur ses talents et elle m’en retourne le compliment.

Nous voilà tous les deux encore totalement à la fois exténués, soulagés et ravis de nos retrouvailles, l’excitation est sur le déclin désormais mais on n’y prête pas attention : on profite de l’instant nous embrassant à nouveau à pleine bouche.

La situation pourrait sembler étrange mais pour nous c’est totalement naturel et on ne se pose aucune question ; on n’a aucune hésitation désormais.

Comme toutes bonnes choses, ce bon moment doit avoir une fin et il est plus que temps pour moi de rentrer à la maison. Ce n’est pas avec un grand entrain que je le concède à la demoiselle.

On se rhabille, un peu dépité mais bien conscient que cela est nécessaire. Je ne peux m'empêcher de la reluquer de manière insistante. Autant lors de notre déshabillage je m'étais montré respectueux de notre situation, autant maintenant plus rien ne m’en empêche ou ne me l’interdit.

- Amandine : Demain on se retrouve ici?

- Moi : Je te redis mais oui : pourquoi pas?

- Amandine : Tu me redis?

- Moi : Oui j’ai mon colocataire de chambrée à la maison.

- Amandine : Oh tu l’as abandonné pour moi?

- Moi amusé : Je l’ai laissé dans les mains de mon frère.