Marche arrière
Une fois équipé du préservatif, je regarde la demoiselle attendant son approbation, étant tout autant excitée que moi si ce n’est plus elle n’a absolument aucune raison de faire marche arrière.
Je m’allonge au-dessus d’elle et m’approche, guidant mon sexe vers le sien. Bientôt, ils sont en contact et dès les premiers mouvements -j’adore déjà!- je retrouve cette agréable sensation de chaleur qui me transperce et m’excite davantage encore.
De son coté, Amandine non plus ne boude pas son plaisir : elle gémit tout en se mordillant les lèvres. Pour la première fois depuis plusieurs mois, nous voilà embarqués à faire l’amour. L’un comme l’autre, on contribue à ces retrouvailles.
Nous faisons simple en terme de position : un "missionnaire" n’est certes pas très original mais on apprécie ; donc, peu importe. Pour des retrouvailles, ce sont des retrouvailles particulièrement appréciables...et appréciées.
Je remue de plus en plus. Sentant qu’elle aussi bouge au-dessous de moi, mes mouvements s'amplifient et s’accélèrent. Après plusieurs minutes de ce régime, Amandine gémissant de plus en plus, me susurre à l'oreille.
Elle me fait part de sa jouissance ce qui m’encourage encore plus et, la sachant satisfaite, je ne tarde pas à jouir à mon tour. Malgré la jouissance précédente et le préservatif, je peux sentir une éjaculation particulièrement longue et intense.
Je me retire après quelques secondes de ma si agréable grotte de plaisir, je m’allonge entièrement nu et le préservatif encore sur mon sexe. On s’est retrouvé complètement, intensément et amoureusement.
Amandine pose sa tête sur mon épaule, sa main sur ma poitrine et sa jambe sur la mienne. On se regarde sans un mot un court instant puis on s'embrasse à nouveau. Comme dans une bulle, nous ne pensons à rien d’autre qu’à ce moment.
- Amandine : J’ai été bête…
- Moi intrigué : De quoi?
- Amandine : De te larguer…
- Moi amusé : Ce n’était que pour mieux nous retrouver.
- Amandine : Oui tu as peut-être raison.
- Moi : Faut pas s’en vouloir sinon on se sera retrouvé pour rien.
- Amandine : Oui c’est vrai. Ce serait une erreur de se tenir rigueur pour cela ou ce qui s’est passé entre notre séparation.
- Moi : Oui en effet, moi je m’en veux de ce qui s’est passé entre les deux et toi non, donc accepte que je ne t’en veuille pas de nous être provisoirement séparés.
- Amandine : D’accord.
On s’embrasse à nouveau mais, malheureusement le moment est désormais venu que chacun rentre chez les parents . Après ce court baiser, on se rhabille. Bien entendu, je retire ma protection ne pouvant, au passage, que constater la grande quantité de liquide blanc qui s’y trouve.
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