Bientôt on s’embrasse et j’aime qu’on passe à autre chose. Après tout, nous avons assez papoté nous avons l’occasion et l’envie de nous faire du bien. Visiblement Amandine n’est pas en reste à ce niveau-là : elle commence à me papouiller et je dois bien avouer que j’en avais envie. Bien entendu, j’en fais de même.

- Moi interrompant le baiser : Mais au fait, ton rendez-vous chez le médecin?

- Amandine : Eh bien j’ai une bonne nouvelle : il m’a prescrit la pilule, donc on peut profiter l’un de l’autre sans barrière.

- Moi : Ah oui?

- Amandine : Oui : plus de risque que je tombe enceinte. Bon, ça nous protège pas des maladies sexuellement transmissibles mais vu qu’on est jeune et peu expérimenté, il n’y a pas risques particuliers normalement.

- Moi interpellé : Normalement?

Amandine m’explique ce qui pourrait faire qu’on puisse avoir contracté une maladie comme celle-ci. Puis elle me questionne un peu sur les relations sexuelles que j’ai eues durant notre séparation. Je lui fais part librement et sans la moindre gêne de mes relations avec Erwan, Sabrina ou Émeline.

Comme je me suis protégé de manière systématique, je suis “clean” selon elle et j’avoue que je suis plutôt ravi de l’entendre. On reprend alors notre baiser et nos papouilles. Petit à petit, je me montre de plus en plus entreprenant. Je la cajole à la fois sur les parties dénudées de son corps et celles couvertes par le maillot de bain.

Je caresse sa poitrine au travers de ce dernier et, étrangement cette fois, je trouve cette sensation particulièrement excitante. Le toucher est très agréable, le contact de ma main sur son maillot humide et les baisers passionnés font inévitablement monter la température.

L’eau a beau être chaude, nos corps le sont davantage et nous empirons la situation. Depuis plusieurs minutes d’embrassades nous reprenons plaisir à nous papouiller en pleine complicité.

À ce titre et en surenchère à mes caresses sur sa poitrine, Amandine a rapproché la main droite de mon entrejambe. Elle frôle le maillot de bain à plusieurs reprises ce qui ne manque pas de faire gonfler le monstre emprisonné à l'intérieur.

À peine le temps de réaliser que sa main a rejoint la partie la plus sensible de mon anatomie et malgré le maillot de bain, l’excitation est grande. Amandine l’a remarqué et baisse légèrement l’avant, libérant ainsi ma verge tendue.