https://youtu.be/aQkp988B25k?si=xdhBe25yddlzeaGL

D'après mes renseignements, l'établissement ne contenait qu'une seule entrée. Elle semblait s'étendre jusqu'à l'infini. Plus personne et plus aucune carte n'est capable d'indiquer avec exactitude s'il existe une seconde entrée. Évidemment, ce ne sont pas ces quelques détails qui allaient m'inciter à partir à la recherche de ces geôles et peut-être y sacrifier ma vie. Non ! Ce qui en première lieu m'a interpellé, ce sont les conditions de détention des misérables prisonniers qui n'allaient plus jamais revoir la lumière du jour.

Et cela était du à une seule et unique personne, un Sultan qui régissait d’une main ferme sur les lieux. Selon son humeur cher journal, il s’habillait de différents couleurs, variable selon son humeur. Son passe-temps favori fut le polo. Pas n’importe quel polo ! Un polo ancestral ! Celui qui consistait à faire adroitement voler des têtes de prisonniers attacher, afin qu’elles s’éloignent le plus possible de leurs corps.

Le Roi foncé, avec son fidèle destrier noir, contre sa proie déjà enlacer par des chaînes en métal et tenu par un garde. Il va de soi que sa crosse n’était en rien fait en toc mais bel est bien en acier forgé de sorte qu’elle ressemble à un fleuret d’escrime, mais en rien bien aiguisé. Arrivé vers sa proie il lui donnait deux coupes et son accoutrement jaune ce salissait, ce qui forcer le Chef-lieu à s’abattre sur une autre proie qui elle n’était pas attaché.

Mais ce qui s’enfuyait aller recevoir une sentence telle qu’il préféra se donneraient la mort lui-même en enfonce une fourchette à l’intérieur de son œil pour oublier les horreurs qu’il avait vu.

Mais le plus troublant, fut que ces pauvres esclaves étaient dévêtus en plein public. Des passants qui allèrent même jusqu'à payer pour avoir le droit d’assister à la torture qu’ils avaient demandés. Eux qui s'affichaient telles de mauvaise œuvres d'art. Le simple fait de m'imaginer parmi eux me retourna l'estomac je ne peux retenir mes larmes. Même si je supposai qu'ils le méritaient...

N’est-ce pas ?