Une violence respectable
Les gens silencieux d’hier sont aujourd’hui aussi bruyants qu’un éléphant dans un magasin de porcelaine. Des éborgnés, des mains arrachées, des centaines de personnes frappées jusqu’au sang et maintenant des morts. La télévision nauséabonde insulte de toutes les immondices possibles et imaginables les personnes du peuple libre.
Vous me dégoûtez...
Ranger votre langue bien pendue avant que l’envie me prenne de vous la couper, sac à foutre, vendu que vous êtes. Les personnes du petit écran sont si bien... Ils ferment les yeux devant le réel pour ne pas devenir pauvres et laids, ils restent brillants et aveuglés par la lumière que leurs mensonges étendent.
Que dites-vous ?!
L’ordre sera rétabli avec l’aide des forces en bleu ?
L'ordre, un mot qui n’a plus de sens et qui sonne faux quand il sort de votre bouche.
Votre vieille méthode du diviser pour mieux régner et appliquée encore et encore, comme une vieille et rachitique rengaine. Votre essence à l’utilisé pour détruire une solidarité malvenue en dit long sur votre état d’esprit. Vous vous livrez à un jeu dangereux, soyez en sûr le dénouement n’en sera que plus sanglant. Continuez, allez-y, soyez confiant dans votre bêtise, elle vous conduira directement à votre perte.
Vous avez déjà perdu car nous voyons tous vos actes. Ils resteront ancrés dans ma mémoire, compter sur moi pour ne pas les oubliés.
Sommes-nous du même camp ?
J'ai ouï dire que non. Nous avons remarqué votre essence à frapper les gens du peuple paisibles depuis bien longtemps.
Une violence acceptable peut-être ?
Vos titres et autres enrobages, ne vous protègent pas du regard que nous avons sur vous, un jour vous payerez le prix de votre sadisme. Nous vous traquerons sans relâche pour que justice soit faite. Car parmi vous, monsieur et mesdames, il y en a qui ne sont que des criminels, abusant de leur force et de leur statue, des femmes et des hommes sans cœur ni limite à leur monstruosité. Vous avez le monopole de la violence mais tout a une fin.
Le sablier s'écoule...
Qui sème le vent récolte la tempête.
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