Correspondances réelles sous forme de courts messages envoyés à mes amantes du moment, souvent au réveil afin de provoquer (avec plus ou moins de succès) l'envie de se revoir au plus vite.

Le réveil fût difficile ce matin. Ne pas te sentir auprès de moi… Alors forcément, mon esprit vagabondait. Je t’imaginais sur ton lit, nue bien sûr. Tes mains attachées au sommier, ma bouche qui parcourt lentement ton corps déjà raidi par une excitation matinale. Ma langue s’attarde sur tes tétons et joue avec avant de glisser lentement plus bas. J’effectue tant de détours délicieux au creux de tes cuisses. Les mouvements de ton bassin semblent m’inviter à passer au choses sérieuses. Et pourtant je joue encore un instant avec toi avant de te caresser de ma langue. Tu mouilles déjà bien assez lorsque celle-ci commence à te donner du plaisir. Tes mains attraperaient bien ma tête mais elles en sont toujours incapables. Mon doigt participe lui aussi sans jamais te pénétrer. Ton corps se tend toujours plus, ta respiration s’accélère, le climax s’approche. Tu me fais comprendre que tu vas bientôt jouir. Ça serait trop bête de terminer de la sorte. Alors je te retourne, offrant ta croupe à ma vue. De ma queue, que tout ces épisodes ont rendue dure comme jamais, je te caresse, faisant mine de pénétrer sans jamais le faire vraiment. Tu ne tiens plus, que donnerais tu pas pour libérer tes mains pour m’aider à terminer le travail. Ton corps entier me supplie. Je te sens prête à jouir. Je pose mes mains sur tes épaules et m’introduis alors lentement en toi. Tu sens tous les reliefs de ma queue, chaque veine qui roule contre les parois de ton sexe. En 2 va-et-viens lents, ton corps n’en peut plus et tu jouis. Ensuite nous nous retrouvons dans les bras l’un de l’autre avant d’attaquer une journée sous les meilleurs auspices.