Chapitre Final - Bon ! Qu'est ce qu'on fait maintenant?
Mille mercis ! A tous ceux qui me suivent ! Vous avez été une grande source de motivation !
C'est avec un pincement au coeur que je clôture le volume 1 de Bad Romance... En espérant que la fin vous plaira ! Mille mercis encore !!
Une semaine s'était écoulé, depuis notre escapade chez Harold. Le lendemain, j'appris qu'Astrid l'avait quitté.
De nouveau devant chez lui, j'ouvris la marche, rongé par la culpabilité, les bouteilles de punch maison tintant dans mon sac.
- C'est une mauvaise idée ! Je le sens ! Comment ils vont réagir au travail ? me lança Elsa, stressée.
C'était marrant de la voir sans sa tenue de super cadre, juste en jean, baskets.
Et surtout de la voir aussi nerveuse.
- T'es parfaite ! Ils vont t'adorer ! lui soufflai-je, en lui prenant la main, l'amenant devant la porte d'entrée.
Celle-ci prit une profonde inspiration, fébrile et anxieuse. Lorsque Mérida nous ouvrit la porte.
- Elsa ? Quelle surprise ! nous lança t-elle, étonnée
- Frost m'a gentiment invité, lui répondit-elle, avec un sourire de façade.
En entrant, nous fûmes accueillis par Raiponce.
- Oh bonsoir Elsa ! Jack... me fit -elle, en grimaçant.
Punzie m'en voulait toujours. Depuis que nous avions terminé l'appel d'offre, elle avait retrouvé son service.
Dépité, je me concentrais sur Elsa, qui sortit les bouteilles de punch. Attirant Mer et Punzie autour d'elle, pendant qu'Harold se décomposait sur le canapé, abattu.
Je pris un verre, en le rejoignant pendant qu'Elsa servait les filles.
- Ça va aller ? lui demandai-je, en cachant ma culpabilité.
- Pas vraiment .. J'ai surtout envie de me bourrer la gueule ! me fit -il, en enfilant sa bière.
Je pris une grosse gorgée, terminant le punch d'Elsa. Avalant les morceaux de banane macérés, je savourais ce délicat mélange de rhum et de jus de fruit frais.
- C'est super bon ! Qu'est ce que t'as mis dedans ? s'exclama Raiponce, en se servant un autre verre.
- Cannelle, je dirais, lança Mérida, en tentant de deviner les ingrédients.
- Cannelle, jus de fruit bio, morceaux de banane, gousse de vanille, répondit Elsa, en tendant un verre à Harold.
- Non merci, je suis à la bière, déclina t-il, poliment.
- Je veux savoir ce que tu en penses ! insista t-elle.
Harold céda, buvant une gorgée courtoisement sous le regard avide d'Elsa.
Puis elle repartit rejoindre les filles, discutant, riant avec elles autour d'un verre.
- Astrid m’a trompé ! Elle est partie chez ses parents, en me laissant comme un con dans une maison vide, me confia - Harold, avec désarroi.
Je me servis un autre verre de punch, tout en l’écoutant concerné.
- T’aurais dû la voir ! Quand je l’ai découverte à poil, avec une capote usagée par terre. Elle était si fière et satisfaite ! J’ai cru que j’allais tout casser dans la maison ! m’avoua t-il, en ruminant sa colère.
- Tu sais qui c’est ? lui demandai-je, nerveux
- Non, mais quand je l’aurais retrouvé ! Je lui ferais bouffer ses propres couilles ! Qu’il se tape ma femme passe encore, j’ai mérité ça ! Mais que mon bébé a dû assister à ses conneries ! Je vais tuer ce type pour ça ! grogna t-il, en terminant son punch.
- T’es avec moi ? Ou pas ? me lança t-il, le regard noir.
- Carrément ! Je t’aiderai à l’enterrer dans le jardin, s’il le faut ! m’exclamai-je, avec la voix qui vrillait.
Harold et moi éclatâmes de rire, hébétés par le rhum qui nous était monté vite à la tête.
Elsa avait si bien préparé son punch qu’on ne sentait pas l’alcool. La voir s'intégrer autant auprès de mes amis, me rendait totalement euphorique. J'aurai voulu que cet instant reste figé à jamais.
- Els.. Merci d'être venue ...!! Tu peux pas savoir à quel point ! Chui trop content.. ! bafouillai-je, à moitié ivre, et enjoué.
Elsa et les autres m'écoutaient, choqués.
- Tu es très très très importante pour moi ! Et je tiens énormément à toi ! Tu m'apportes tellement !! Si je venais à te perdre je ne sais pas ce que je ferais !!! balbutiai-je, en ne tenant plus droit.
Des vertiges m'envahirent.
" Pourquoi je dis ça moi ?"
- Viens t'assoir, Frost, m'invita Elsa, avec un sourire en coin.
Je m'écroulai entre elle et Raiponce, sous les éclats de rire de Mer qui partit rejoindre Harold qui était dans la lune. Punzie sauta sur moi, m'écrasant complètement, m'étouffant contre ses seins.
- Il est rien qu'à moi ! C'est moi qu'il aime ! Pas vrai ? s'exclama Punzie, en plongeant son regard défoncée dans le mien.
- C'est pas pareil ! Toi ! t'es mon petit annnnge ! Mon rayon de soleil, lui avouai-je, euphorique.
J'avais de plus en plus de mal à me concentrer, le décalage entre mes pensées et mes actes grandissait de plus en plus.
Avant que je ne m'en rende compte, Raiponce me goba les lèvres, enfonçant sa langue dans ma bouche, sous le regard avide d'Elsa.
Devant les huées d’Harold et Mérida, Punzie s’arrêta pour leur tirer la langue.
En essayant de maintenir ma vision qui partait en vrille, je croisai le regard remplis d'affections d'Elsa.
Touché par cette tendresse, je ne pus m'empêcher de l'embrasser à son tour, sous les regards choqués de Mérida et Harold qui éclatèrent de rire.
Raiponce, les pupilles dilatées nous sépara, furieuse.
- Jack ! T'es le pire !!
- ooh… elle est jalouse ! lança Elsa.
Elle lui lécha la lèvre inférieure, plongeant sa langue dans sa bouche. Raiponce se laissa emporter par le désir. J'en frémissais, les admirant toutes les deux, en train d'échanger ce langoureux baiser.
- Wow j'ai la gaule ! s'écria Mérida en ricanant, avant de s'écraser sur l'entrejambe d'Harold qui restait captivé.
- Toi aussi ! remarqua Mer.
Apercevant Raiponce qui commençait à défaire mon jean, je vis Elsa qui plongeait ses mains dans le pantalon de Mérida et d'Harold.
Le corps lourds et pesant, je fermai les yeux pendant quelques instants. Découvrant Raiponce nue, qui écrasait ses fesses bombés et ruisselantes sur moi pendant que je la pénétrai avec un rythme effréné. Lui maintenant les bras au dos, la tête contre le sol, elle me supplia d'aller plus vite. Attrapant sa hanche d'une main, je m'exécutai, m'enfonçant plus profondément en elle. Entrechoquant frénétiquement ses seins fermes et voluptueux, je fis virevolter ses longs cheveux dorés.
Je portais mon regard sur Elsa qui introduisait plusieurs doigts en Mérida, la faisant vibrer et hurler de plaisirs. Tout en fracassant bruyamment ses fesses contre la verge d'Harold, qui la pilonnait violemment. Elsa sentit mon regard sur elle, pendant qu’Harold la défonçait avec hargne, faisant rebondir sa poitrine souple.
Sur le point de jouir, tout les deux, nous nous échangeâmes un long regard passionné, se convoitant, s'attisant l'un et l'autre.
Je fermai de nouveaux les yeux, envahi par l’endorphine. En les rouvrant, je découvris Elsa qui se frottait frénétiquement contre Harold. Plongeant ses doigts dans ses cheveux bruns, elle se cambra de plaisirs, la bouche entre ouverte.
Mes yeux avaient dû mal à faire la mise au point, tellement tout tanguait autour de moi. Je m’accoudais au dossier du canapé pour me stabiliser.
Elsa s’arrêta un instant, prit une grosse gorgée de punch qu’elle vint déverser dans la bouche d’Harold. Laissant couler des filets oranges, le long de son menton jusque sur son torse, qu’elle vint lécher. Je demeurais captivé par leur jouissance, fasciné par Elsa qui prenait du plaisir avec mon meilleur ami.
M’adressant son regard avide, elle m’invita à les rejoindre, ce que je fis sans réfléchir.
Envahi par le désir, je passai ma langue sur le cou de mon meilleur ami. Remontant le long de sa mâchoire, je finis par l’embrasser fougueusement, tout en caressant l’entrée humide d’Elsa. Nous dévorant des yeux, je sentis Elsa, se tortiller de plaisirs sous mes doigts.
Me désirant ardemment, elle me fit basculer en arrière et s’empala sur moi les cuisses écartées, me donnant un parfait angle sur sa vulve trempée. Tirant Harold vers nous, celui-ci se présenta, le sexe droit. Hypnotisé par le regard d’Elsa, je passai passionnément ma langue sur la verge de mon ami. Emportée par l’extase, pendant que je pompai Harold, Elsa se caressa hystériquement les seins et la vulve, faisant grincer le canapé. La rendant complètement folle, je continuais de leur procurer du plaisir.
Lorsqu’elle passa derrière Harold, humidifiant son doigt avant de lui enfoncer dans l’anus.
Je continuais de le masturber, tout en lui léchant la verge pendant qu’Elsa le doigtait frénétiquement. Submergé par la jouissance, Harold lâcha des râles de plaisirs, le visage rouge. Elsa me prit par la main, m’invitant à permuter. Prenant place sur le canapé les jambes écartées, elle convia Harold à rentrer en elle. Ce qu’il fit en lui attrapant les chevilles, faisant rebondir sa poitrine et sa tête contre le dossier. Frétillante de désirs, elle m’appela avec un sourire diabolique aux lèvres.
Entraîné par Elsa, j’attrapai Harold par les hanches, m’enfonçant en lui.
Celui-ci, surpris, se redressa droit comme un i.
- Qu’est-ce que tu fais ? s’exclama t-il le visage rouge.
- Ne résiste pas ! Laisse toi faire, hurla t-elle, en se cambrant d’extase.
Le retenant vers moi, je le couvris de doux baisers. M’enivrant de son après rasage, je persistais progressivement en lui, dans un long mouvement de hanche. Lui témoignant toute l’affection que j’éprouvais pour lui, comme pour toutes les personnes présentes dans la pièce.
Je persévérai, en allant de plus en plus vite, sous le regard avide d’Elsa qui se repaissait de nos ébats. Le regard remplis de vices et la bave aux lèvres, elle se caressa frénétiquement les seins. Elsa nous contemplait, les yeux scintillants de folies, tout en se faisant pénétrer par Harold. Sentant son canal se resserrer autour de moi, celui-ci se vida en Elsa dans un long cri de jouissance.
« Aaaahh…Je vais… »
Aveuglé par la lumière du jour, j'eus du mal à ouvrir les yeux. Assailli par une abominable migraine et une douleur insupportable au rectum, je me redressai sur le lit. Dans une vaine tentative de retrouver mon boxer, je tombai sur Harold qui me regardait avec effroi.
- Qu'est ce que tu fais là ? m'écriai-je, horrifié
- Non ! Toi ! Qu'est ce que tu fous à poil dans MON lit !!? Dans MA chambre !!? cria t-il, terrifié, en se couvrant les parties intimes.
- Oh ! la ferme les gars ! hurla Mérida, en sortant la tête de la couette, avant de s'allonger entièrement nue sur Harold.
Effrayé et sans aucun souvenir, j'enfilai un boxer à toute vitesse, avant de chercher Elsa et Raiponce dans toute la maison. Les découvrant toutes les deux, nues, dans la future nurserie, Elsa me fit signe d’entrer. Elle caressa délicatement la tête de Raiponce qui s'était assoupie sur ses cuisses, les poings liés avec ses propres cheveux.
- T'as mis quoi dans ce putain de punch ?! lui demandai-je, affolé.
- du GHB, m'avoua t-elle, amusée par ma réaction.
- Mais tu sais que t'es une grande malade ! lui lançai-je, en la prenant par les épaules.
- C'était juste pour détendre l'atmosphère. Mais tu les as tous enflammés avec ta déclaration d'amour, me révéla t-elle, en éclatant de rire.
Je me décomposai, m'écroulant à côté d'elle, en me prenant la tête.
- Mon dieu ! Tuez-moi ! me lamentai-je.
- Moi aussi je tiens à toi, Frost. Tu m'apportes énormément. Bien plus que tu ne le penses, m'avoua -t-elle, avec un regard remplit d'amour.
J'eus le souffle coupé, mon coeur tambourinait dans ma poitrine, à tel point que mes mains en devinrent moites et que mes jambes en tremblaient. Mais mon regard se perdit sur Raiponce, endormie.
- Ce serait trop cruel de te forcer à choisir non ? me coupa t-elle avec un petit sourire en coin.
- D'autant que je la trouve sublime quand elle jouit ! On dirait un petit ange ! Je comprends pourquoi tu n'arrivais pas à l'oublier, me confia t-elle en posant un regard affectueux sur Raiponce.
- Bon ! Qu'est ce qu'on fait maintenant ? lui demandai-je, en tentant de garder mon calme.
- Et si on la rendait accro à nous deux ? me proposa t-elle, avec son fameux regard avide, auquel je répondis par un sourire en coin.
FIN
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