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Classification : Strictement Confidentiel
Origines et Contexte du BEPI

Le Bureau des Enquêtes Paranormales Internationales (BEPI) a été fondé dans les années 1950 après la Seconde Guerre mondiale, une période marquée par la reconstruction mondiale et la quête de domination des grandes puissances. L’exploitation des phénomènes surnaturels a alors émergé comme un nouvel enjeu stratégique.

En 1947, l’incident de Roswell aux États-Unis marque le début d’une série d’observations inexpliquées qui suscitent un intérêt croissant des nations pour les activités paranormales. En 1951, l’incident de la Montagne de Dyatlov en URSS révèle des preuves substantielles d’une présence qualifiée d’"extra-mondaine", ce qui incite l’Organisation des Nations Unies (ONU) à envisager la création d’une entité internationale dédiée à la gestion des phénomènes paranormaux.

Le BEPI est officiellement créé en 1953 sous l’égide des Nations Unies. L’objectif principal de l’organisation est de centraliser les recherches liées aux anomalies paranormales et d’empêcher leur exploitation à des fins militaires. Le siège principal est établi à Genève, avec un réseau de branches régionales spécialisées dans des types d’anomalies spécifiques. L’Europe se concentre sur les esprits et les apparitions spectrales. L’Asie se charge des investigations sur les créatures mythologiques. L’Afrique et les Amériques explorent respectivement les reliques anciennes et les manifestations extraterrestres.

En 1970, une équipe du BEPI est envoyée dans l’Himalaya, au Népal, pour enquêter sur un vortex anormal détecté par des expéditions locales. L’opération aboutit à la découverte d’une entité démoniaque colossale, identifiée plus tard sous le nom de "Kliss". Ce contact représente un tournant critique dans l’histoire du BEPI. L’organisation reconnaît alors l’existence d’entités capables de provoquer des destructions massives à l’échelle planétaire, modifiant de manière significative ses protocoles et ses priorités.

À partir de 1971, les ressources du BEPI sont réorientées vers l’identification, la neutralisation, et le confinement des entités de type destruction massive. Une cellule d’intervention d’urgence est créée. Elle combinent experts paranormaux et équipes militaires pour répondre à ces nouvelles menaces.