Arrête de pleurer, je viens te sauver part 13
Attacher depuis son arrivée sur le navire part des menottes en plomb à ses poignets et chevilles, elle ne pouvait remonter à la surface sans se faire aider, malgré qu’elle se débattît telle une lionne en se dandinant de toute part, la seule issu à ce stade rester la mort.
En dépit de la situation critique il cria :
- LAÏLA ! VA LA CHERCHER ! ordonna le Capitaine au seul membre de son équipage.
Toute tremblante dû à l’ordre que Loukïan venait de lui donner, elle resta figée sur la barquette, elle devait sauver cette jeune femme de la noyade, mais la peur des fonds marins la paralysa :
- Sans… vouloir… vous manquez de respect… Je… Je ne suis point à même d’accomplir une telle prouesse mon cher Cap’taine ! renvoya doucement la jeune esprit, tremblante de sa voix.
- Je t’ai demandé ton avis miss trouillard ? s’énerva Loukïan, qui tourna son regard en direction de l’esprit.
Ses pupilles étaient si imprégné de haine et de rage que des reflets jaunes venaient et repartaient en une fraction de seconde, face à ce regard meurtri, le sang de Laïla ne fit qu’un tour, elle se senti forcer mais la situation ne se prêta pas à ce qu’elle face des caprices, elle était aquaphobe, mais elle avait quand même prit la mer malgré sa phobie, elle savait pertinemment le risque qu’elle devait courir, elle était paralysée part cette eau, mais elle devait faire l’effort de combattre sa terrible phobie, pour sauver Jasmine, c’est pourquoi elle s’arma des deux pagaies présente dans l’embarcation et partie en direction de ou avait coulé Jasmine, mettant ainsi sa phobie de côté, Laïla sauta dans l’eau et partie à l’encontre de la jeune damoiselle en détresse, qui restait toujours à se battre avec l’eau pour rejoindre la surface.
Nageant en sa direction, l’esprit entoura la ceinture de la femme avant de remontrer à la surface, avec la pauvre femme enlaçait dans ses bras. Elle naga en direction de la barquette avant de remonter Jasmine du mieux qu’elle pouvait.
Durant ce lapse de temps, Fain, essayait de l’attaquer, mais c’était sans compter sur les flammes de Loukïan qui parait chaque attaque que l’homme lancer à l’esprit.
Au bord de la fumination, Fain remonta sur son bateau en s’aidant des chaînes de l’ancre du navire. Puis, arriver à bon port, il fonça contre son ennemi.
Ayant perdu sa trace, il regarda Laïla et Jasmine et demeurait inquiet, il ce devait de sortir sa compagnonne de ce bourbier et de sauver la jeune femme au teint halé, sauf qu’il n’était pas de taille face au redoutable homme métamorphe, qui était le pseudonyme donné à Fain.
- Tant pis… si je dois me sacrifier pour les sauver qu’il en soit ainsi ! ce dit le héros.
Il était trop concentré sur les deux femmes, qu’il parvient de justesse à bloqué la fureur de son ennemi, qui lui fonça dessus tel un taureau.
- Bahh quoi c’est tous ce que tu as ? ce mit-il a rire en sautant par-dessus les épaules de Fain.
Face à son comportement, le Capitaine de bord redoubla d’efforts, avec sa force ainsi que son massif poids, il empoigna Loukïan part le collet de sa veste de cuir bruit et l’envoya valser violemment contre le premier mat du bateau celui qui tenait également la petite voile.
Pour son compte, il s’assomma la tête et tous son dos amorti la chute, du a l’impact avec le mat, son souffle s’était brusquement coupé, il ne tarda pas a laissé son corps tomber sur le sol boisé, et s’asseoir.
Fain s’avança tendis que les soldats de la marine en cercla Loukïan une nouvelle fois, ils finirent part lui mettre des menottes en plomb avant de laisser Fain se rapprocher de lui.
Ses bottes claquaient et raisonner contre le sol, chaque pas qu’il entamer vers Loukïan faisaient trembler le navire, tellement du reste que certains soldats perdaient équilibre lorsqu’il s’approchait d’eux.
Arriver vers Loukïan il s’arrêta, le corps de celui-ci avait rebondi face au poids de Fain, puis le Capitaine regarda de haut sa proie il l’empoigna par le t-shirt blanc et le plaqua une nouvelle fois contre le mat du galion.
- Ton as eu assez nabo ? demanda de sa voix roc Fain en approchant le corps inerte de sa proie vers lui.
Emergeant tous juste de son assommement, Loukïan ouvre avec difficulté ses yeux et fixa son ennemi du regard.
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