Arrête de pleurer, je viens te sauver ! Part 18

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N’écoutant plus Laïla depuis bel lurette, Loukïan mirait le sublime bleu de l’eau et attendit l’arrivait de la jeune femme puis, lorsqu’elle arriva vers son embarcation, il l’a pris par les bras et la ramena sur le navire, il plaça Jasmine de tel sorte que Laïla ne la touche pas ce qui fut très compliquer en vue de la largeur de l’embarcation.

  • Retirez-moi immédiatement cet infâme être de mon espace vitale ! Si elle ose ne serait-ce que m’effleurer, elle comprendra alors ce que c’est qu’un véritable esprit frappeur, ma colère sera-t-elle que même les dieux n’oserait m’affronter, menaça la jeune Laïla.

  • Je sais ! Heureusement que t’es paralysée ! Elle pourra t’attaquer avec son haleine, cracha alors Loukïan en soufflant dans le nez de la jeune snobe.

  • Ohhh mon dieu qu’elle terrible odeur qui s’émane de votre cavité buccale ! Vous avez était élevé part des charognards, ma parole ! questionna enfoncé Laïla.

Ne voulant pas répondre à Laïla, il finit deux pas en direction de la poupe du navire puis, installer parallèlement les jambes de la jeune femme, les menottes qui restaient encore entrain de bloquer ses chevilles et ses poignets, il les dessouda et mis le reste des métaux fondu à la mer, il prit part la suite la trousse de soin, puis il ouvrit son contenu et regarda ce qui se trouver à l’intérieur. Par miracle, il tomba sur de l’antipoison, en réalité étant un être assez sadique, les supérieurs de Fain avait privilégié un antipoison au cas ce genre d’inscident venait à ce produire.

  • Pratique ! s’écria aussitôt Loukïan.

Il administra par voie orale dans une dose assez hasardeuse de ce poison, n’étant pas médecin et ne connaissant pas le poids exact de la jeune femme, il ne pouvait pas donner avec exactitude le poison :

  • Vous voulez la tuer ? Bon sang, réfléchissais avant de faire ce genre de chose aussi absurde ! gronda Laïla.

  • Oui tu as raison… mais c’est un peu délicat là ! À l’avenir il faudra qu’on engage un médecin de bord ! renvoya Loukïan.

* * *



Une vingtaine de minutes plus tard, Jasmine retrouva connaissance, puis d’un bon, alors qu’il c’était déjà engager sur les flots, elle s’assit et ce toucha le visage, elle était vertigineuse, la nausée était entrain de prendre possession d’elle, ce n’était pas du au flot, ni à l’effet secondaire du médicament, mais du au surplus d’émotions qu’elle avait subi :

  • Ah ? Qu’est-ce qui met arriver ? ce demanda-t-elle, dans les vappes.

  • Déjà réveillée ? La petite marmotte dedans Loukïan qui piaillait.

Elle scruta les envions et vu qu’il était déjà loin de son Capitaine, elle vu également Laïla voltant dans les airs entrain de la snober du regard et de suivre le navire. Puis elle finit par observait sa main robotisée qui était imprégner de sang :

  • C’est… c’est mon sang ?

Elle se précipita part la suite en direction de l’eau ou elle fut contrainte de voir son reflet, ses yeux aussitôt plongé dans cette océan, que qu’il se mit à briller, des yeux d’une couleur très vive en dépit de sa peau café et de ses cheveux violet électrique, elle fut surprise de constater que son visage était à moitié coupé en biais et que la terrible plais marquer fortement son visage, cette plait paraît du haut de son front gauche et s’arrêta jusqu’à son menton du côté opposé, cette blessure était coupé en deux et centre de celui-ci ce trouver un rouge vif.


  • Mon… mon VISAGE ! hurla horrifier Jasmine.

  • Ouais… c’est… très… très laid, renvoya Laïla sur la défensive.

  • Moi je trouve que ça fait badasse, avoua Loukïan qui la fixer tous en souriant.

Son sourire la déstabilisa, elle avait horreur des hommes car elle ne connaissait qu’en réalité ceux de son ancien équipage et elle son méfiait énormément, mais quelque chose était étrange en vers Loukïan il n’était en aucun cas comme les autres hommes qu’elle avait rencontré, il ne cherché pas à lui faire du mal ou abusé de quelque façon que ce soit d’elle.


Elle finit pourtant part prendre dans la trousse du fil, puis elle appuya sur des touches situées sur l’avant-bras de son bras robotisé puis, la pointe de son index sorti une aiguille, elle l’a pris et inséra le fil de pêche à l’intérieur de celle-ci, puis elle finit part tapoter un autre code sur son bras, lorsque cela fut fait, elle déclipsa son avant-bras, là ou figurer les touches de son clavier, puis avec sa seconde main, elle plongea à l’intérieur d’un trou lumineux se trouvant sur son bras, elle sorti de son avant-bras une bouteille de rhum et elle on éparpilla tout autour de l’aiguille et du filet.

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