La face cachée du monde Part 7
Pendant ce temps, Loukïan et Jasmine tombèrent tous deux dans un gouffre sans fin. Les deux Voyageurs Du Temps, étaient plongés dans le noir, seuls, raisonné leur voix sur les parois de la cavité.
— Non mais sérieux ! C’est quoi ce pays ? s’énerva Loukïan.
Rapidement, après 15 m de profondeur, ils virent une intense lumière qui leur brûlait leurs rétines, ce fut un halo de lumière intense qui était à son centre bleuté, blanc et sur les bords du jaune délavés.
— Comment on dit souvent, on voit la lumière au bout du tunnel, souffla Jasmine.
— Tu crois que c’est le moment de faire des blagues ? marmonna mécontent Loukïan.
Ils pénétrèrent tous deux dans une intense lumière. Elle était d’une puissance si vive, qu’elle aveuglait toute personne qui osait ouvrir les yeux à son intérieur. Elle était d’une lueur blanchâtre si douce et d’une vigueur si forte qu’elle donnait même du fils à retors à un être des hautes sphères. C’est pourquoi, Loukïan et son accompagnatrice furent contraint de fermer les yeux lorsqu’ils passèrent à l’intérieur. Ils sortirent après cinq minutes et ouvrir peu à peu leurs pupilles, le temps de s’habituer à la lumière. Ce fut de très courte durée, tellement cours que la panique les avaient entièrement dominer. Lorsqu’ils virent en contre-bas ce qu’ils les attendaient, l’excitation avaient disparu laissant place à la peur, une énorme stalagmite était sur le point de les embrocher. Elle trônait au centre de la pièce elle était très imposante, dure, gluante incontournable voilà ce qui attendait Loukïan et Jasmine.
— Bon sang ! Mais pourquoi y a une stalagmite au plein milieu d’une pièce sous du sable ! hurla Loukïan qui était le plus proche de se recevoir en pleine face la concrétion.
Tous deux restaient à chuter dans le vide, alors que le paysage défié devant leurs yeux, des multiples couleurs lumineuses venus remplacer l’obscurité, des couleurs vives du bleu, du rose du blancs, et même du vert.
Hypnotiser part ses apparitions de couleurs Jasmine restait dans un état d’émerveillement, jamais de sa vie elle n’avait vu pareille couleur et pareille douceur sur terre. Elle ne put que contempler la pièce cessant ses cris, elle tournoyait son regard sur les surfaces des murs où étaient projeter de multiples éclats de couleurs les plus belles les uns les autres. Elle restait derrière Loukïan à analyser les moindres recoins de la pièce.
C’était une partie d’une grotte qui était ronde, les stalactites et les stalagmites avaient entièrement recouvert les parois des murs ainsi que toute la pièce. La roche était de couleur terre cuite, comme les maisons traditionnelles du pays d’Orient, du moins c’étaient principalement les murs qui l’étaient. La stalagmite centrale restait blanche tel le calcaire. La texture de la pièce demeurait à la fois dure telle de la pierre, glissante et douce.
— Tu ne peux pas brûler la stalagmite ? questionna Jasmine qui se mit à fixer son Capitaine.
— Si je pouvais je l’aurais fait ! Et tes chaussures ils ne peuvent pas nous aider à ralentir notre chute ? retorqua à son tour Loukïan qui restait désespérer face à la situation.
— Non ! Je n’aurais pas assez d’air pour nous faire remontrer ! expliqua calmement Jasmine.
— Essaye de nous faire atterrir, on trouvera un moyen de remonter, conseilla Loukïan qui était sur le point de se faire perforer l’œil à cause de cette étrange roche de calcaire.
Aussitôt l’ordre de son capitaine acclamé, elle s’exécuta, elle le prit part les aisselles et tous deux rejoignaient le sol qui restait inondé d’eau. Ils scrutaient les environs. L’eau montée à hauteur de leur cheville, des pierres précieuses de différentes couleurs étaient à l’intérieur. C’étaient eux qui grâce à la lueur de leur lumière irradier leur lumière sur les parois de la grotte.
— L’endroit est démentiel ! souffla Jasmine qui tournait sur elle-même.
— T’as raison, c’est sublime ! Tu crois toujours qu’on n’est pas au Paradis ? ne put que remettre sur tapis Loukïan.
— Je ne suis plus sûr de rien ! avoua Jasmine.
Après avoir analysé la grotte qui restait illuminer part de multiples couleurs, ils se mirent à chercher désespérément une sortie dans cette cavité. Le problème, ce fut que les stalagmites et stalactites c’étaient rejoint et avaient boucher les seuls accès qui les mener aux autres pièces de la grotte. Il n’y avait pas de passage secret ni de fente où ils pouvaient se glisser. Mais hors-mi le fait qu’ils tapaient ridiculement sur des cailloux ou leur parler, ils ne trouveraient rien qui pourraient les aider à s’échapper de cette cavité, ils étaient entièrement piégés.
— Il n’y a rien ! Que dalle ! Tu peux pas utiliser ta toile et la rallongé jusque tout en haut, on arrive à voir un bout du dehors, avec un peu de chance t’arrivera à nous faire remonter ? questionna désespéré Jasmine qui de son pouce montré le haut.
— Malheureusement, je peux pas, les conditions ne me permettent pas, renvoya le Capitaine qui fixa la sortie de ses grands yeux.
— Bah ? Pourquoi ?
— En réalité… Mon feu à la capacité de changer de couleur ainsi que d’attribut chimique en fonction de l’élément qui me m’entourent… Pourtant malgré qu’on soit dans l’eau mon feu détecte comme si on était sur la terre ferme, essaya tant et si bien de faire comprendre Loukïan, tout détenteurs de pouvoirs primaires on est capable mais… je n’ai pas eu d’apprentissage sur le sujet, mon maître ne me l’a pas appris, il a pas eu le temps.
— C’est vrai que tu as un pouvoir très particulier ! Comment ça se fait que tu maîtrises l’un des pouvoirs primaires ? Je croyais que les derniers détenteurs de ses éléments remontés à plus de 500 ans ?
Sous les dires de Jasmine, Loukïan ne put que la regardait. Elle avait entièrement raison, les éléments primaires qui comporter à la fois le feu, l’air, la terre, l’eau, l’esprit étaient des pouvoirs qui n’avaient plus lieu d’être, les derniers détenteurs de ses éléments avaient étaient condamné à les perdre et étaient mortes justes après avoir perdu leur capacité, ce genre de pouvoir seul un être Supérieur avait la capacité de les données, et depuis plus de 500 ans ses êtes que tout le monde vénéraient avaient entièrement disparu de la surface de la Terre, emportant avec eux le secret des pouvoirs de éléments primaires. Aucun être Supérieur ni dissipe avaient été retrouvé ce qui rendait la capacité à apprendre ses pouvoirs impossibles, on disait des être Supérieurs qu’ils avaient péris, mais personne ne savait réellement ce qui les avaient fait disparaître, beaucoup d’être vivant les avaient pourchasser sans relâcher et du jour au lendemain, ils avaient fini par disparaître.
— Comment je détiens la capacité du feu, tu veux dire ? rétorqua Loukïan en fixant la jeune femme qui l’accompagnait.
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