Ma belle colocataire.
Mon dieu, mais qui aurait pu croire qu'elle était autant coquine ? Pas moi. En la voyant au quotidien, et vu les conversations que l'on avait eues, j'aurais plutôt pensé qu'elle était du genre à ne pas aimer le sexe. Et pourtant je suis actuellement sous son lit, à voir un magnifique spectacle ! Je commence à croire que la maison transforme toutes mes colocataires en cochonnes. Mais ce n'est pas pour me déplaire.
Je me suis retrouvé sous le lit de Rose, surpris qu'elle rentre à cette heure-là. Habituellement, j'ai au moins une bonne heure pour pouvoir fouiller dans sa chambre, jouissant devant sa lingerie, me prélassant et me vidant en étant couché sur son lit, entouré de son odeur si délicieuse. Mais aujourd'hui, elle a décidé de rentrer plus tôt, et j'en comprends les raisons, maintenant.
Ma belle locataire exotique est arrivée en trombe dans sa chambre, après s'être assurée que je n'étais pas dans la maison, criant mon prénom plusieurs fois, sans que je ne réponde. Sa porte fermée à clé, elle s'est rapidement dévêtue devant son miroir, se regardant sensuellement. Se dirigeant ensuite vers un coffre, elle en a sorti quelques jouets sexuels puis s'est posée sur son lit, toujours devant le miroir disposé juste en face de son pieu.
J'ai de la chance, ce miroir m'offre une vue impeccable sur le lit, de quoi me sentir serré dans mon jean, et couché sur le ventre, bander n'est pas agréable.
Rose caresse sensuellement tout son corps, insistant sur ses seins qui semblent déjà dressés par l'excitation, ainsi que sur les zones de peau plus fines vers ses cuisses. Un petit couinement sort de sa bouche et je me retiens d'en lâcher aussi.
Cette femme m'a toujours rendu dur, c'est bien une des raisons pour laquelle je l'avais acceptée en colocation ! Tant de fois où j'ai pris mon pied en pensant à elle ! Tant de fois..
Puis, elle se met rapidement à jouer avec son intimité, afin d'être suffisamment humide pour y insérer un jouet à l'intérieur.
J'aimerais bien que ça soit mon jouet qui entre en elle.
Un doigt se faufile enfin en elle, puis deux, après ce qui me paraît une éternité. J'aimerais bien pouvoir changer de position, j'ai une gaule d'enfer et ça fait déjà un mal de chien alors qu'elle n'a pas commencé le plus intéressant.
Tirant sur l'un de ses si beaux seins, elle augmente le rythme de ses doigts en elle. Je tente de bouger sans faire de bruit, de façon à pouvoir libérer mon sexe ne demandant qu'à sortir pour s'amuser lui aussi.
Des gémissements plus forts sortent de sa bouche et j'en profite pour ouvrir mon pantalon avant de laisser éclore mon pénis. Un peu calé sur mon flanc gauche, je peux enfin atteindre mon attribut avec ma main, le caressant tout en ne loupant aucun mouvement de ma magnifique colocataire.
Cette dernière se relève légèrement pour prendre son vibromasseur qu'elle regarde avec envie. Je peux voir sa belle langue sortir de sa bouche, montrant qu'elle est concentrée sur le choix de son mode. Elle le prend en bouche quelques secondes, roulant les yeux dans ses orbites, déjà en extase.
Mon dieu ce que j'aimerais goûter sa langue, la sentir sur moi. Et cette belle bouche, je l'imagine déjà serrée contre ma queue.
Sans attendre plus, elle insère son jouet en elle, ce qui m'excite encore plus. La voir de cette façon, ses longues jambes écartées, son corps réagissant au plaisir donné par le vibromasseur, sa bouche ouverte et laissant passer de nombreux gémissements, ainsi que son visage déformé par la délectation. Elle aime ce moment, elle l'adore même.
Elle pourrait encore plus adorer, avec moi.
Augmentant la cadence de mes mouvements, j'essaye de ne pas respirer ou gémir trop fort pour ne pas me faire surprendre, mais c'est difficile, plus elle se donne du plaisir, plus je meurs d'envie de la rejoindre et de la prendre profondément. Mon pénis est toujours aussi douloureux malgré la puissante masturbation.
Arrivant à son paroxysme, Rose semble traversée par un courant électrique qui secoue son corps. Elle prend un de ses seins en bouche, le mordant, le léchant, le suçant allègrement, tout en malmenant l'autre avec sa main, et son plaisir paraît décuplé. Son orgasme la fait crier. Mais elle ne se contente pas de crier une acclamation sans aucun sens, c'est mon putain de prénom qui sort de sa bouche.
Bordel, elle imagine que je la baise ! Si seulement ! Bientôt je m'occuperai de son cul !
C'en est trop pour moi, la voir ainsi et l'entendre gémir mon prénom fait monter l'orgasme dans mon corps, quelques mouvements rapides pour me terminer, et ma semence se retrouve sur son parquet. Je me permets d'enfin poser ma tête sur le sol afin de pouvoir reprendre une respiration correcte, toujours dans le plus de silence possible. Je l'entends respirer lourdement, elle est essoufflée et je comprends bien pourquoi, c'était si intense que sa respiration est bruyante, presque sifflante. J'en profite pour ranger mon sexe dans mon pantalon et lâcher un petit soupir d'aise.
Qu'est-ce qu'elle est bonne. Et coquine.
C'est tellement tentant de la rejoindre, mais impossible, je ne peux pas lui expliquer pourquoi je suis là, ni que j'ai assisté à son plaisir charnel avec un plaisir malsain mais si excitant, ou encore que je me suis moi-même masturbé, en la matant.
Expérience à refaire, dans une position plus agréable la prochaine fois.
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