J'ai les yeux fixé sur mon ennemie. Une petite partie de mon esprit me fait espéré qu'il ne s'agit que d'une illusion. Mais je me rappel bien vite que Maéris n'en a encore subit aucune, de plus nous ne pouvons pas voir la même chose au même moment tout les quatre.
Ulfric s'approche de nous, passant son regard sur chacun d'entre nous.

- Je sais pourquoi vous êtes là. Vous cherchez le Despiarel pas vrai ? Je sent la puissance de l'un d'eux prêt d'ici, dit il en fermant les yeux et en humant l'air ambiant. Dites moi où il se trouve je vous prit.

Je me met en position de défende afin de me préparé en cas d'attaque. Aucun d'entre nous ne répond à sa question.

- Voyons, ne soyez pas aussi têtu. Vous ne voulez vraiment rien me dire ?

Après plusieurs secondes sans réponse, il souffle et dit d'une voix légèrement déçu.

- Très bien, je n'ai donc pas le choix.

Là, il relève les manches de sa tenu et j'aperçois de long trait de couleur gris parcourir ses bras. Il tend son bras dans ma direction et je voie ses yeux devenir blanc laiteux. À ce moment là, je me sens tomber au sol. J'ai l'impression de sentir des courants d'air passer dans mon cerveau. Des souvenirs de différentes périodes de ma vie me reviennent alors avec une clarté parfaite. Je comprends alors qu'il est entrain de fouillé dans mes pensée. Après un certain temps, je reprend mes esprits et me relève avec facilité tout en gardant un œil sur lui.
Ses yeux reprennent leurs couleurs original. Puis il recommence à sourire et se détourne dans la direction opposé à nous.

- À l'intérieur du plus grand arbre n'est-ce pas ? Il semble que vous m'ayez déjà guidé au bon endroit. Maintenant pour savoir lequel d'entre ceux-là est le bon, il me suffit de tous les fouiller.

Alors que je me demande s'il possède vraiment assez d'endurance pour tous les escalader, je voie ses pieds s'éloigner du sol et lentement il s'envole jusqu'à ce retrouvé à la hauteur des creux. Et à ce moment, il plonge sa main dans le premier et la ressort tout aussi vide, puis il fait la même chose avec le deuxième, puis le troisième, le quatrième et cela jusqu'au dernier. Une fois tous fouillé, il redescend et son visage prend une expression indéchiffrable.

- Qu'est-ce que cela veux dire ? Vous l'avez déjà récupéré ? hurle t-il dans notre direction et je suis sur d'avoir vue ses pupilles devenir jaune le temps d'une seconde.

Je ne répond pas, je suis certain de savoir ce qu'il ce passe. Personne ne l'a récupéré, il est à porté de main, nul besoin de ce fatigué. Le Despiarel se trouve dans l'arbre couché à nos pieds. C'est la seul explication. Il est grand et je voie un creux prêt d'Ulfric. Cependant je ne pourrai pas le récupéré tan que l'ennemie sera toujours ici.

Un sourire sur son visage me fait réalisé mon erreur. Mon analyse du terrain, il l'a parfaitement entendu. Il se dirige donc vers l'arbre couché et s'agenouille auprès de celui-ci. Et c'est en souriant qu'il rentre sa main dans le creux. Je prie intérieurement pour avoir fait fausse route mais je perd tout espoir en le voyant ressortir une chaine en argent de l'arbre.
Aussitôt je sent les battements de mon cœur qui ralentissent. Nous avons fait tout ce chemin pour lui laisser le premier Despiarel.

- Je suis vraiment désolé, j'aurai bien voulu vous le laisser afin d'avoir peut être enfin des combattants de mon niveau .... Mais j'en ai besoin. Sur ce je vous laisse. Mais ne vous en faite pas, je vous envoie de la compagnie. Si nous nous revoyons un jour, nous cesseront de nous comporter comme des gens civilisé. Des gens mourrons, soyez en sur.

Ses derniers mots me font bouillir intérieurement car je sais qu'il ce souvient très bien de Ragnac.

Suite à cela, je voie chaque parcelle de sa peau qui se transforme progressivement en un amas de cendre jusqu'à disparaitre. Je regarde mes alliés et remarque qu'ils ont tout les trois l'air perdu et incroyablement déçu. Sa dernière phrase cependant ce répète en bouche dans ma tête. Il va nous envoyez de la compagnie ? Rapidement, la raison de cette phrase prend tout son sens. J'aperçois deux tourbillons de cendre qui s'agrandissent progressivement pour laisser place à deux gardes d'Ulfric.
Je reconnais le tueur de Toar à gauche. Sans attendre, ils se dirigent vers nous. Le premier tend son épée vers le haut et la laisse retombé pendant que le second passe sur notre gauche et attrape sa lance qu'il tend devant lui pour essayé de nous embroché. Mais nous esquivons leurs coups avec beaucoup de difficulté. Leurs endurance est impressionante, nous avons tout juste le temps d'esquiver qu'ils ré-attaquent aussitôt, ne nous laissant donc pas le temps de passé à l'offensive. Nous continuons donc d'esquiver sans pensé à rien d'autre. Leurs buts est sûrement de nous fatigué mais nous tenons le coup. Un bruissement derrière nous me fait sursauter, en me retournant, je voie l'autre groupe qui s'approche de nous et prennent leurs armes en voyant nos adversaire. Ceux-là justement recule de quelques mètres afin d'élaborer une stratégie pouvant s'adapter à un plus grand nombre d'adversaire. Profitant de ce moment de repos, je regarde Earin et lui souris, elle me souris également en retour. Je reporte mon attention sur nos ennemies et me rend compte qu'il n'y en à plus qu'un des deux. Cependant je remarque les volutes de poussières qui s'élèvent et réussi à paré la lance avant qu'elle ne m'atteigne.
Je sent mon rythme cardiaque s'accélérer intensément. Je craint pour ma vie mais également pour celles de mes camarades. J'attrape mon épée et la tend devant moi afin d'attaquer à mon tour. Je profite du fait que le deuxième se soit approché de moi pour lancer un coup d'épée dans sa direction qu'il évite comme convenu. Teabian se poste ensuite à côté de moi et sa lourde masse dépasse au dessus de sa tête. Bientôt il y à également Earin et Lind'ha qui se trouvent à mes côtés. Je voie Bildagan qui utilise sa magie pour ralentir son adversaire. Mais je ne m'attarde pas la dessus, préférant me concentré sur mon propre combat. L'homme qui me fait face possède donc une lance comme arme, il est agile est plutôt rapide. Pour le vaincre, il me faudra faire preuve d'ingéniosité. Pour commencer, je m'élance vers lui en criant afin d'attirer son attention sur moi. Je donne ensuite plusieurs coup d'épée violent pour le maintenir en position. Il se débat et je sent ses bras se dérober légèrement sous le coup de mes attaques. Mais il tient bon et au moment où il s'apprête à riposté, j'arrête d'attaquer ce qui lui fait perdre son équilibre.
Lind'ha me rejoins et elle glisse aux pieds de notre ennemie, le faisant trébuché et tomber sur le visage. Teabian s'approche et avec un visage hargneux, il abat sauvagement sa masse sur le crâne de l'ennemie qui ne bouge plus du tout. Immédiatement, à travers les trous des yeux, je voie l'étrange mixture du nom d'ibrium qui s'élève lentement vers le ciel. Mais je sent un choc sur mon épaule et une jeune fille au cheveux rouge éclatant passe devant moi. Teabian et Lind'ha s'écarte immédiatement de son chemin. La jeune fille tend alors ses mains en direction de l'ibrium et un énorme nuage de flamme sort de ses mains ce qui me fait poussé un soupir d'étonnement. Lors-ce-que le nuage disparait, je ne voie plus la moindre trace de la chose, même l'armure disparaît dans un tas de cendre.
La jeune fille se retourne alors et je reconnais Earin dont le visage est rouge de colère. J'ai l'impression qu'aucun de nous n'a envie de pardonner à ces hommes pour tout ce qu'ils ont fait. Nous nous approchons ensuite de l'autre groupe et voyons que l'autre garde à disparu. Je pense d'abord qu'ils ont réussi à le brûlé grâce au pouvoirs de Bildagan mais ils avoue que leur ennemie c'est enfaite téléporté en voyant son allié mourir.
Malgré l'ambiance qui règne dans le groupe, je ne peut m'empêcher de sourire en me disant que nous avons tué l'un des gardes du tyran.

Nous racontons tout ce qu'il c'est passé à l'autre groupe pendant que nous marchons en direction de la sortie des marais. En chemin, seul Lind'ha prend la parole à plusieurs reprise pour faire remarqué la même chose.

- C'est étrange, il y a des écorces mais aucun arbre autour, dit elle d'une voix étonné.

Au bout de plusieurs fois, Teabian, certainement parce qu'il en a marre lui répond d'une voix un peu trop rude.

- C'est le vent qui les à transporté ici.

- Parce-que tu sent du vent ? Il n'y à pas eu la moindre brise depuis que nous sommes arrivé.

Et en effet je me rend compte qu'elle à raison. Un puzzle se résout dans ma tête et j'ouvre alors de grand yeux écarquillés en arrêtant de marcher. Mes compagnons s'arrêtent également et regarde dans ma direction.

- Qu'est-ce qu'il t'arrive Darick ? dit Aria faiblement.

- Sans doute une hallucination, lui répond Bildagan en s'approchant de moi.

Mais je leur répond en tournant la tête dans leur direction.

- Non ce n'est pas ça. Je viens seulement de réalisé ...

Leurs air interrogateur m'incite à continué ma phrase.

- Ulfric c'est trompé, il n'a pas récupéré le Despiarel.

- Mais tu l'a bien vue le récupéré, ne te fait pas de faux espoir, me répond Rizes.

Je me met à tourné sur moi même en me tenant les tempes.

- Non, ce n'était pas le vrai. Écoutez moi bien, l'arbre le plus grand là-bas, oui c'était celui dans lequel il a fouillé. Mais il y en a un autre encore plus grand. Lind'ha a raison, ça serai étrange qu'il y ai des écorces au sol dans une zone où il n'y a aucun arbre. Mais il y a une raison à cela. Nous sommes actuellement entrain de marché sur l'arbre le plus grand du marais. Le marais est enfaite un arbre et le creux c'est simplement le trou que nous avons vue avant de rejoindre la zone des arbres haut. Tout tient la route, Ulfric n'a pas récupéré le réel artéfact. Il est encore ici. Nous n'avons rien à perde à aller vérifié de toute façon pas vrai ?

Aussitôt, ils regardent presque tous le sol et en frottant légèrement, ils se rendent compte que je dit la vérité.
Nous reprenons tous le sourire et faisons demi-tour afin de rejoindre la crevasse.
Nous finissons par y arrivé assez rapidement, bien que nous ayons eu du mal à retrouvé l'endroit. Je regarde à l'intérieur du trou et me décide à y aller en premier. Après tout c'est mon idée. Je m'accroche donc difficilement à la parois recouverte de la substance noir et m'enfonce dans le trou. De légère voix se fond entendre tandis que je m'enfonce plus profondément dans le trou. Mais pas le même genre de voix que j'entendais avant le déverrouillage de ma marque. Celles que j'entends actuellement ne viennent pas de ma tête.
J'arrive finalement au fond et me rend compte que le creux n'est pas très profond, cependant il fait une obscurité affolante. Bildagan lève alors son bâton afin d'essayer un sort de lumière mais une fois celui-ci dans le creux, la lumière disparait et je ne voie toujours rien. N'ayant rien d'autre pour illuminé l'endroit, je décide de chercher à tâtons. Je touche donc le fond et ma main entre en contact avec des pierres, de l'eau à l'odeur putride, des créatures visqueuse qui pousse des cries étrange et enfin, après un long moment de recherche, je sent une chaine se poser dans ma main. Je la sert et je sent sa forme pénétré ma peau. Je décide alors d'attaché la chaine à mon cou et à cause de l'obscurité, il me faut réessayer plusieurs fois avant d'enfin la faire tenir. Je m'approche ensuite de la parois et l'escalade lentement afin de rejoindre mes camarades tout en sentant le point de l'artéfact contre mon torse. Cependant alors que je commence a m'élever vers la surface, je sent une main humide qui m'attrape au bat du dos. Un sifflement se fait alors entendre à seulement quelques centimètres de mes oreilles. Je me débat violemment afin que la chose qui me tien puisse me lâcher mais elle reste agripper à moi et d'un coup sec, elle me fait tomber à la renverse. Je me redresse le plus rapidement possible, dégainant mon épée, je reste à l'affut du moindre bruit suspect. Au dessus de moi, j'entends mes camarades qui, paniqué, me demande ce qu'il se passe. Mais je ne leur répond pas, trop soucieux de ne pas me faire attaqué à nouveau. Soudainement j'entends des clapotis léger se faire entendre autour de moi à une vitesse élevé. Décidément, ces créatures ne sont pas là pour s'amuser. Je ferme les yeux et décide de me concentré sur la trajectoire de la chose. Les bruits continue pendant encore plusieurs tours, la ou les choses continue de tourner et je me concentre afin de deviner le prochain mouvement.
Finalement j'ouvre les yeux et d'un coup sec je brandis ma lame en avant en espérant avoir quelque chose d'utile. C'est en entendant un lourd bruit d'éclaboussures que je prend en considération le fait d'être peut être enfin tranquille. Je sais que je n'ai qu'une seul façon de le savoir alors après avoir remit mon arme dans son fourreau, je m'approche de la parois et commence à grimper.

Une fois sortie de la crevasse, je me met debout et observe le pendentif avec mes yeux ébahit. Le Despiarel possède une chaîne de couleur grise banal ainsi qu'un médaillon de forme ovale. Cette ovale est fait d'une matière ressemblant au verre mais qui à l'air beaucoup plus solide. De plus, à l'intérieur je voie une légère fumée rouge qui tournoi sans s'arrêter. Le résultat est tout simplement magnifique. Chacun de mes alliés le regarde avec le même regard ébahit jusqu'à ce que Lind'ha dit d'une voix ferme.

- Allons nous en. Je ne sais pas depuis combien de temps nous sommes là et je préfèrerai ne pas avoir à passer plus de temps ici.

Nous continuons de marché jusqu'à atteindre la frontière du marais qui juste en la voyant nous redonne le sourire. Le ciel inquiétant et gris laisse alors immédiatement place à un ciel d'un noir profond remplit d'étoile.