Chapitre 13 : Rencontre
Cela fait deux jours que je suis réveiller. J'ai passé les deux dernières journées à me promener dans la ville et j'ai découvert un grand nombre de bâtiments, de boutiques, d'échoppes. Je me promenais avec Earin et Aria tandis que Ragnac restait au bar avec son nouvelle ami.
Aujourd'hui nous devions enfin nous rendre au palais afin d'en apprendre plus sur l'endroit.
Même si je commence à me plaire ici et à faire confiance aux habitants, une petite partie de moi souhaite en savoir plus pour être sur ne pas faire une erreur.
Quand je sort de chez moi, ce matin là. Je me rend vite compte que le soleil vient juste de se lever. Il me reste encore plusieurs heures avant que le soleil n'arrive au zénith. Évidemment puisque nous somme dans une grotte, nous ne pouvons voir sa position dans le ciel. C'est pour cela que des instruments avaient été dispersé à plusieurs endroit de la ville. Ils servent d'horloge aux habitants en suivant la direction exacte du soleil, grâce à une certaine magie.
Profitant du matin, je me rend dans une boutique que j'ai découverte la veille, elle propose des tas d'aliments différents. J'y prit donc ce que je suis venu chercher et retourne chez moi.
Nous avions apprit que la ville ne comptait aucune monnaie. Nous avions d'abord était surprit avant d'apprendre qu'il s'agissait d'une idée des maîtres. L'idée étant que personne ne devait rien payer. Chacun fournit un service gratuitement et tout le monde est donc égaux. La monnaie étant tout simplement le travail. D'abord perplexe, j'avais très vite approuvé l'idée. J'avais vite comprit que nous devrons donc trouvé un travail et une femme qui semblait travailler dans la garde m'avais dit que notre tache nous serai dévoilé par les maîtres.
Marchant à travers la ville en direction de la maison qui nous avait été assigner à tout les quatre. Je rentre et voie que seul Aria est également réveillé. À peine ai-je poser le sac sur une table qu'elle se jette dessus. Attiré par l'odeur enivrante qui en sort. Elle plonge la main à l'intérieur et en ressort une friandise très original que j'apprécie particulièrement. En forme de fleur, existante de différente couleurs et de différente formes. Il s'agit d'une coque facilement cassable contenant à l'intérieur une crème onctueuse.
Avant que je ne m'en soit rendu compte elle replonge la main à l'intérieur et en mange un second.
— J'aimerai que tu en laisse pour les autres si sa ne te dérange pas. Lui dis-je en essayant de pas rigoler à cause de sa bouche pleine de crème.
— Iche arai qra che leré achant !
— Quoi ?
Elle déglutit puis me regarde amusé.
— Ils avaient qu'à se lever avant !
— Bah tient, pour une fois que c'est pas toi qui te réveille en dernière.
— Facile à dire pour toi, t'a dormit pendant quatre jours.
Avant de pouvoir répliqué, j'entends des bruits de pas et voie Ragnac sortir de la chambre qui lui à été assigné.
La maison ne contenant que trois chambre, nous avions opté pour que Aria et Earin partage la même. Heureusement pour elles, nous avions pût trouver un lit dans un grenier pour qu'elles ai chacune leurs propre lit.
Ragnac s'approche, le visage endormit et les cheveux en bataille. Prononce un mot incompréhensible qui doit certainement être une salutaion, mit sa main dans le sac, en ressort une fleur et se laissa tomber sur une chaise. J'eus l'impression que Aria allait se jeter sur lui pour récupéré ce qu'il lui avait voler, ses yeux ne m'inspirant pas confiance. Avant qu'ils ne les manges tous, j'en prit deux dans le sac. Un pour Earin et un pour moi.
Je me laisse tomber sur le canapé qui se trouve à quelque mètres de la table et observe les deux autres qui commence à faire les idiots.
J'avais toujours connu Ragnac comme ça. Il était toujours très sérieux quand cela concernait l'armé où la sécurité de la ville mais quand nous nous retrouvions en privé, il était beaucoup plus calme et détendu.
Quand nous le voyions au bar en passant à côté de celui-ci, il nous faisait toujours de large sourire. Mais je savais qu'il buvait car il se sentait mal. À peine une semaine avant. Il avait assisté à la destruction de la ville pour laquelle il avait tout donner, il avait abandonner la tombe de sa femme et avait également vue son propre frère mourir. Mais il faisait de son mieux pour nous le cacher. Je pense d'ailleurs que les deux autres ne l'avaient pas remarquer.
Environs vingt minute après, Earin sortie de sa chambre les cheveux en bataille. Comme je l'avais prédit, le sac avait été vidé par les deux rapaces. Je lui tend donc la seul friandise que j'avais pût sauver pour elle. J'avais manger la mienne bien avant. Elle vint s'asseoir à côté de moi et prit le temps de bien se réveiller.
Nous décidons ensuite d'aller faire un tour en ville en attendant l'heure qui nous avait été donner.
Quand le soleil arrive au zénith, nous sommes devant les portes du palais. La porte s'ouvre sur un homme très grand portant une armure. Il nous fait signe d'entré puis reste à la porte en attendant l'arrivé d'autres personne.
À l'intérieur, un autre garde nous demande de passer une seconde porte et nous arrivons finalement dans une grande pièce de forme cubique. Une table est disposé au milieux et onze chaises sont poser autour.
Ce qui semble être un servant nous rejoins à l'entrée de la pièce et nous escorte jusqu'à quatre chaises positionné les unes à côté des autres. Nous nous asseyions et nous regardons. Pourquoi y a t-il autant de chaise ?
Nous restons assis et au bout de quelques minutes, plusieurs personne entre dans la pièce.
La première personne à entrer est une jeune fille qui se dirige à l'aide d'une canne.
Elle est de taille moyenne, possède des cheveux roux et à un visage assez fin.
Un haut de cœur me retourne l'estomac quand j'aperçois ses orbites.
Cette jeune fille est suivit d'une femme qui semble un peu plus âgé. Celle-là est grande, mat de peau et à les cheveux noir.
Elles s'assoient sur les deux chaise à ma gauche, je me retrouve donc avec Aria à ma droite et la jeune aveugle à ma gauche.
Seulement quelques secondes après, l'homme en rouge rentre suivit d'un autre homme, petit, les cheveux jaune broussailleux et une longue barbe blonde cachent une partie de son visage.
Ils semblent en pleine discussion et vienne s'asseoir à gauche de la grande femme.
Une fois que nous sommes huit assis autour de la table. La porte par laquelle nous sommes tous entré se referme et une autre porte, plus grande et plus majestueuse s'ouvre. Laissant entré trois personnes. Leur allure est soigné et leur présence imposante. Le silence se fait aussitôt dans la pièce. Ils s'avancent et s'assoient en face de nous.
Ils semblent tout les trois très vieux, une barbe blanche couvre le bas de leur visage et de cours cheveux gris parsèment le crâne de deux d'entre eux. Le troisième ayant le crâne lisse.
Après s'être assis, ils nous regardent tous à tour de rôle avant que celui du milieu ne prenne la parole.
— Bien, premièrement merci à tous d'être là. Je souhaite la bienvenue au nouveaux. J'espère que vous vous plairez à Dalvos.
Si nous sommes ici c'est pour répondre à vos question et vous dévoilée ce que nous avons prévu pour vous tous.
L'homme situé à la gauche du premier prit alors la parole.
— Avant de commencer, je pense qu'il serai judicieux que vous vous présentez tous. Toar peut tu commencer ?
La personne qui était entrer avec l'homme en rouge prit alors la parole.
— Bonjour je m'appelle Toar, je suis ici en tan que général de l'armée. J'espère que vous réussirez à vous habituer à votre vie ici. Si vous avez besoin d'aide ou de parler, les soldats vous aiderons.
Il se rassoit et garde la tête haute en direction des maîtres. Cette fois ce fut l'homme en rouge qui se leva.
— Bonjour, je m'appelle Rizes. Je suis également l'un des général de l'armé et je soutient ce qu'a dit mon collègue avant. Je suis un marqué de type biologique. Mon corp peut se transformé en fumé et me donne un sacré avantage en combat.
Après s'être rassis, la femme mat se leva.
— Bonjour et bienvenue à tout les nouveaux. Je m'appelle Lind'ha. Je suis le troisième général de cette armé mais également psychologue de guerre. Je suis une marqué de type psychologique.
Avant de se rasseoir, elle tapote l'épaule de l'aveugle pour lui faire comprendre que c'était à son tour.
— Bonjour, je suis Maéris. Je suis arrivé il y à trois jour. Je viens d'un village du nom de Nérium. J'ai dut m'en aller quand Ulfric m'a kidnappé. Je me suis ensuite enfui et me suis retrouvé ici. Je suis une marqué depuis peu et possède un talent de type sensoriel qui me permet de voir toute les marques vivante. Ulfric m'a arraché les yeux pour faire fonctionner ma capacité.
Au moment ou elle fini de parler, je sus que c'était mon tour.
— Bonjour, je m'appelle Darick. Je suis un jeune soldat d'Efuran qui est venu jusqu'ici suite à la destruction de ma cité. Je me suis promit de tuer un jour Ulfric pour ce qu'il à fait à mon peuple.
Au moment ou je voulut me rasseoir, l'un des maître jeta un étrange coup d'œil à Rizes.
Après que Aria et Ragnac se furent présenté, ce fut au tour de la dernière personne de faire de même. Earin se lève et je voit aussitôt qu'elle est mal à l'aise. Elle garde la tête baissé et commence sa présentation.
— Bonjour je suis Earin, je suis une rescapé du royaume de Néousas. J'ai marché à travers le pays avant de rejoindre Darick et son groupe. Je suis une élémentaire de classe six et je jure de vous prêté mes forces dans la bataille contre Ulfric.
Elle avait dit les derniers mots d'une voix forte et assuré. Bien que ses joues soit d'un rouge écarlate.
Le maître du milieu se lève finalement avant de dire.
— Très bien merci à tous pour votre présentation. Maintenant nous pouvons passer aux choses sérieuse.
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