Chapitre 18 : Ascension

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Cela fait trois jours que nous avons été attaqué par le groupe d'assassin, bizarrement ma blessure avait cicatrisé le lendemain matin. Il ne reste plus qu'une toute petite marque.

Après une semaine de marche, je sent une douleur modéré dans mes jambes. Je remarque que Earin et Maéris ont également du mal à marcher. Cependant les trois généraux grâce à leur entraînement n'ont pas de problèmes à suivre la marche. Aria et Ragnac, grâce à leur endurance d'elfe, se portent aussi bien qu'eux.

Nous nous sommes arrêté à l'intérieur d'une grotte pour passé la nuit. La lumière du soleil disparaît peu à peu et les animaux se calme jusqu'à ce que plus le moindre bruit ne vienne perturbé le silence de la nuit.

Nous étions arrivé au pied de la montagne sacré environs une heure avant.

Sachant qu'une longue journée nous attend le lendemain, nous décidons que tout le monde dorme et que personne ne monte la garde. Cela représente un risque mais nous sommes tous d'accord avec l'idée.

Alors que tout mes camarades s'endorment les uns après les autres, quelque chose me garde éveillé. Loin au dessus de ma tête, j'ai l'impression d'entendre une voix. Pensant que cela viens encore de mon esprit, je fini par m'endormir.

Le lendemain matin, je sent la main de Lind'ha se pose sur mon épaule et me la secouée. Étant la première à s'être réveillée, elle passe entre nous pour nous sortir de notre sommeil.

À peine nos affaires rangé, nous sortons de la caverne et après nous être réhabituer à la lumière du jour. Nous commençons à grimpé le long de la montagne.
Au début un chemin se dessine à travers celle-ci alors nous le suivons pendant environs quatre heures. La monté commence déjà à affaiblir mes jambes mais je puise dans mon énergie pour continué à grimper. Le chemin prend soudainement un virage et se rétracte sur le flanc de la montagne, nous obligeant à marché au bord du vide. Heureusement le passage est assez épais pour laisser passer deux personne côte à côte mais nous préférons rester les uns derrière les autres collé à la parois.
Parfois quand nos jambes se décalent vers le vide, on sent des pierres se détaché et roulé jusqu'en bat. Souvent, entraînant avec elles d'autre pierres encore plus grosse.

Après un long temps à marché en silence, un problème se pose. Nous sommes arriver à une difficulté. En effet, le chemin disparaît et laisse place à un simple passage collé à la parois de la montagne ne faisant qu'une vingtaine de centimètres d'épaisseur. Pour le traversé, nous serons obligé de nous plaqué au mur et d'avancer prudemment. Bien entendu nous savons tous à quel point la traversé peut être dangereuse. Si une seul partie viens à se détacher, il y à de grande chance que la personne tombe. Heureusement la traversé ne fait que cinq mètres de long.
En regardant vers le haut, nous nous rendons compte que nous n'avons grimpé qu'un quart de la montagne.

Lind'ha se propose de traversé en première. Elle nous tend son sac car le porté sur le dos l'aurai empêcher de se plaquer contre la parois. Je voie de la sueur coulé sur son front tandis qu'elle se met en place. Une fois les jambes, le dos et la tête collé à la parois, elle commence à avancé tout doucement, prenant tout son temps. Prudemment, elle progresse. Je peut voir ses jambes tremblé. Son regard reste pointé vers le haut, sans doute à t-elle trop peur de regarder en bas, ce que je peut comprendre.

Elle fini par atteindre l'autre côté après environs une minute. Rizes s'occupe alors de lui lancer son sac qu'elle rattrape sans problème. Ragnac se propose alors de traversé à son tour et au bout de quatre minutes il atteint lui aussi l'autre côté. Son sac lui est lancé et il le rattrape. Viens ensuite le tour de Toar qui traverse d'une manière différente. Contrairement aux deux autres, c'est son ventre qu'il colle à la parois, posant ses mains sur celle-ci. Cela semble le faire progresser plus rapidement. Et en effet il atteint l'autre côté en seulement quelques secondes.

Viens ensuite mon tour. C'est tremblant que je m'approche du rebord. Je décide de suivre l'exemple de Toar et progresse de la même manière. J'oriente ma tête en direction de l'objectif et avance prudemment. Les mouvements deviennent rapidement automatique et mon cœur se calme tandis que je m'approche des trois autres. Ce n'est qu'a un mètre de l'arrivée que je sent une pierre se dérobé sous mon poids. Malheureusement ma jambe figé sur cette pierre tombe en même temps que celle-ci. J'ai l'impression que mon cœur cesse de battre tandis que j'entends des cris tout autour de moi. J'ai également le temps de voir Ragnac se jeté au sol et se donné un violent coup de menton contre la pierre. Alors que j'ai l'impression de faire une énorme chute, son poignet se sert de toute ses forces autour de mon bras. Et alors que du sang coule de son visage, il me tire du gouffre à l'aide de Toar.

Une fois remonté, je m'assois à leurs côtés et ne bouge plus, réalisant que je viens de passé à côté de la mort. Mon cœur s'accélère lors-ce-que je voie Aria se préparer à traversé. Cependant elle s'en sort bien que moi et en la voyant arrivé de l'autre côté sans soucie. Je ne peut m'empêcher d'être gêné.

Viens ensuite le tour que je redoute le plus, c'est maintenant à Maéris de traversé. Rizes et Toar, afin de la rassuré, lui assurent qu'ils la guideront tout le long de la corniche.
Celle-ci se lance alors et une fois à porté de main, Toar l'attrape et la hisse de notre côté. Earin nous rejoins rapidement sans le moindre soucie.
Puis alors que j'en viens à penser que c'est à son tour de traversé, un bruit de vent se fait entendre et son corps disparaît en une fumé qui se disperse rapidement. Mais un bruit similaire se refait entendre et il réapparaît à nos côtés.

Nous reprenons ensuite l'ascension de la montagne. Tandis qu'elle redevient le chemin qu'elle était avant. Assez large et solide pour que nous puissant la gravir sans problème. Environs six heures après. Le soleil commence à se couché et il semble que nous commençons tous à mourir de faim. Alors nous nous arrêtons pour nous nourrir et profitons de la vue qui s'offre à nous.

D'un côté nous voyons une énorme forêt, les ruines de Efuran sont visible de très loin.
Et comme l'a dit Earin, à une centaine de kilomètres environs, j'aperçois une partie de la foret, entièrement consumé par les flammes. De l'autre côté de la montagne en revanche. La vision est largement différente. Je voie des plaines rougis par le sang. D'autres forêts dont une large fumée s'élève. Je voie des châteaux en ruine. Un paysage de désolation.

Des que nous finissons de manger, nous reprenons notre route en espérant atteindre le haut avant la tombé de la nuit.

À mit chemin entre l'endroit où nous nous sommes arrêté et le sommet, nous apercevons une petite grotte dans laquelle nous pourrions tous entrés en nous serrant. Seulement Rizes insiste pour que nous continuons à grimper. Ce que nous faisons. Malheureusement quelque mètres après la grotte. Un événement inattendu survient.

Pendant que nous marchons tranquillement dans le silence le plus total, un bruit sourd se fait entendre derrière nous. Chacun de nous se retourne d'un seul mouvement. Maéris se dépêche de se mettre derrière nous tous.

Une personne se trouve devant nous, je ne peut savoir s'il s'agit d'un homme ou d'une femme à cause de l'armure qui recouvre son corps. Celle-ci est faite d'un métal noir. De petites bandes grises sont fixé au niveau de la taille. Un détail nous surprend tous. Une légère aura bleu sort des yeux de l'armure. Deux cornes noir se dressent sur son casque. Un morceaux de tissus pend entre ses jambes, dessus est dessiné une tête d'ours.

Il s'approche de nous et après avoir fait apparaître une flamme bleu dans sa main. C'est une épée qui la remplace. Une longue épée mesurant environs les trois quart de ma taille. Des dents son dispersé le long la lame, qui elle aussi est de couleur noir et bleu.

Personne ne bouge, nous sommes tous intrigué par la suite des événement. Cependant nous savons tous qu'il n'est pas ici pour nous demandé la localisation de l'auberge la plus proche.

En bon chef de groupe, c'est Toar qui prend les devants, armé de lourde masse. Il s'élance vers son adversaire. Mais celui-ci au-lieu de répliqué avec son épée. Lui attrape simplement la tête avec son autre main. Ce n'est qu'en voyant Toar à côté de la personne que je me rend compte de sa taille. Celui-ci atteint facilement deux mètres trente.
Regardant Toar dans les yeux, il le jette contre la parois de la montagne après un soufflement rauque. Je regarde dans la direction du général et voie rapidement qu'il ne bouge plus. Cependant je suis rassuré en voyant son ventre bougé légèrement. Il c'est certainement juste évanoui.

Reportant mon attention sur la personne qui me fait face, j'attrape mes armes et le regarde. Me demandant à quoi servirai mes armes contre son armure si imposante.

Rizes s'écrie alors à l'intention de notre ennemi.

- Qui es-tu et que nous veux tu ?

Comme seul réponse, une voix d'homme sort du casque et prononce des mots incompréhensible.

Soufflant pour montré son agacement, Rizes se prépare à se battre en faisant apparaître son épée dans ses mains.

Il se jette alors sur l'homme, celui-ci lui envoie un coup d'épée que Rizes esquive d'un mouvement très fluide. Il brandit alors son épée et l'abat contre l'armure. Cela ne sert qu'a provoqué un léger tintement.
Comprenant alors que cela ne sera pas le combat le plus simple de notre vie. Je me joint alors à Rizes pour vaincre le monstre de métal. Je voie Aria et Ragnac se joindre à nous tandis que Earin et Lind'ha reste à l'arrière grâce à leurs arme à distance.

Lind'ha prend alors une lance qu'elle matérialise dans sa main et la lance sur l'armure afin de le déstabilisé. Celui-ci cependant reste concentré sur nous quatre. Ragnac s'élance, élevant son épée au niveau des épaules de l'homme, il attend que celui n'abaisse son arme pour le feinté et provoqué une ouverture. Bizarrement cela se passe comme prévu et Ragnac passe derrière l'ennemi et pose son regard sur celui-ci. Sa voix ne tarde pas à se faire entendre.

- Il n'y a aucune ouverture de ce côté là. S'écrit-il.

Passant mon regard sur l'armure, je fini par en apercevoir une au niveau de sa gorge. Réussir à passer une lame dans cette ouverture me garantirai de le touché.

Aria s'élance avant que je n'ai pût énoncé mon plan. Et après avoir entendu un rire provenant de la gorge de l'homme, je voie son épée traversé le corps de mon amie sur la largeur. Un hurlement sort de ma bouche tandis que je m'élance vers lui, suivit par Rizes. L'homme redonne un coup d'épée horizontal et je fait une roulade au sol afin de l'éviter pendant que Rizes se change en ombre. Lors-ce-que l'homme se rend compte de sa capacité, il marque une pause et je profite de ce moment là pour lui sauté dans le dos, pendant qu'il se débat, je trouve enfin une utilité à avoir de petites armes. Celle-ci rentrent plus facilement dans l'ouverture et sans hésité. Je tranche la gorge de l'homme métallique tandis qu'il lève sa main vers moi et qu'une flamme bleu apparaît. Quand ma lame fini de traversé sa gorge, son bras retombe et la flamme s'éteint. C'est ensuite son corps qui s'écroule avant de s'évaporer en une substance noir et violette.

Aussitôt j'accours prêt d'Aria et manque de m'évanouir en voyant sa blessure. Celle-ci traverse son ventre au niveau de la taille et semble ouverte sur une dizaine de centimètre. Sans hésité je cours rejoindre Toar inconscient et ramasse son sac. Je fouille à l'intérieur et trouve rapidement ce que je suis venu chercher, les plantes médicinales ainsi que la potion marron.

J'accours auprès de mon amie et remarque qu'elle c'est elle aussi évanoui. J'applique aussitôt les plantes contre son ventre sous le regard attentif de Lind'ha qui me fait signe de continué tout en ayant les yeux embués de larmes. Earin viens rapidement s'assoir à mes côtés et je remarque qu'elle est entrain de pleuré à chaude larme en voyant Aria, ses cheveux sont bleu comme la mer.

Une fois les plantes posé, je demande à Ragnac d'exercer une légère pression dessus pendant que Lind'ha pose la tête de Aria sur ses jambes afin de la surélevé pendant que je lui donne la potion. En même temps, Earin pose sa main sur la blessure et en fait sortir un léger coulis d'eau. Aussitôt j'entends un gémissement sortir de la bouche de Aria puis elle retombe dans le sommeil.

Une fois tout cela fait, Rizes se penche et la ramasse. Ragnac et moi nous nous occupons de soulevé Toar et nous descendons la montagne sur quelques mètre afin de les couchés dans la grotte que nous avions vue avant l'attaque de l'homme.

C'est dans cette grotte que nous passons le reste de la nuit tandis que les deux blessé se reposent non sans douleur.

Priant intérieurement pour qu'ils se rétablissent. Je rejoins le fond de la grotte pour me reposer.

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