Chapitre 20 : Combat difficile
Je me redresse, le visage en sueur. J'observe longuement la terre fraîchement retourné, espérant qu'elle ne soit pas trop suspecte.
Après la déclaration de Maéris par rapport à la présence de Ulfric. Toar m'a immédiatement ordonné de cacher le sac contenant la carte. Au cas où cela tourne mal pour nous. J'ai donc décidé de la cacher dans un trou au pied d'un arbre que je reconnaîtrait facilement. En effet celui-ci est situé pile à la bifurcation de deux chemins.
Je rejoins ensuite mon groupe, priant pour que ma cachette ne soit pas trouvé.
En arrivant je les vois tous assis par terre. Maéris, allongé au sol, tremble de tout ses membres et je la comprend. Cette homme lui à fait vivre un véritable cauchemars. Dans quelques minutes je rencontrerai l'homme qui à plongé ses terres dans le chaos. À la simple pensé de cela, un rictus se dessine sur mon visage lors-ce-que je m'imagine lui trancher la gorge. Mais mon sourire disparait vite lors-ce-que que je me souvient de sa réputation. Aucun de nous n'a la moindre chance de le vaincre.
Nous décidons de manger nos dernières réserve afin d'avoir un maximum d'énergie quand le face à face arrivera. Nous buvons également le reste de nos gourdes et reprenons notre route.
Plus nous avançons dans sa direction, plus je sent mon cœur s'emballer. J'essaie de penser à autre chose en regardant les fleurs qui bordent les chemins grâce à leurs doux éclats coloré. En fermant les yeux, je m'imagine au côté de Almir, à Efuran. Comme si toute cette histoire n'était qu'un rêve.
Mais évidement je sais que cela est faux. Les tremblement de Maéris s'intensifie au fur et à mesure de notre marche.
Arrivé à la bordure de la foret, Maéris se stop totalement. Aucun son ne sort de sa bouche mais rapidement, elle place sont doigt face à elle. Nous faisant comprendre que notre ennemie nous attends juste derrière les arbres qui nous font face.
Nous soufflons tous un grand coup, puis après un hochement de tête de la part des généraux. Je prend mon courage à deux mains et sort de la forêt en premier. Mes compagnons derrière moi.
En débouchant dans la clairière, j'aperçois la falaise qui marque l'entrée du souterrain. Devant celle-ci, j'aperçois un homme qui nous tourne le dos. Grace à l'avertissement de Maéris et au fait qu'il soit seul. Je sais immédiatement qu'il s'agit de Ulfric. Cependant quelque chose me perturbe. En effet celui-ci est habillé dans une simple tenu en tissu de couleur marron. Seul ses court cheveux gris sont visible.
Comme s'il nous avait entendu, il se retourne en nous entendant approché. Je suis choqué par le visage que je voie.
D'après les maîtres, il aurait plusieurs milliers d'années. Étant l'homme qui aurai éradiqué les dieux, cela ferai de lui un vieillard. Cependant l'homme qui se trouve devant moi semble ne pas avoir plus de quarante ans. Seul quelque rides traversent son visage. Une cicatrice trace un trait entre sa joue droite et son œil gauche en traversant l'arête de son nez. Un bouc de couleur gris recouvre son menton.
En nous voyants approché il s'exprime d'une voix clair et respectable.
- En voilà une surprise. Dit-il alors qu'un sourire qui semble chaleureux et sincère traverse son visage. Maéris, c'est donc pour cela que tu m'a échappé ? Pour être avec des gens de ton âge ?
La concerné se crispe aussitôt, elle pince les lèvres en entendant la voix de son bourreau.
Rizes s'avance alors d'un pas et d'une voix, s'écrit.
- Vous êtes celui qui lui à fait subir cela ? Vous êtes un monstre manipulateur.
L'intéressé se redresse et son sourire s'agrandit.
- Je ne l'ai pas forcé, je lui ai laisser le choix d'accepter ou non mon cadeau. Elle à choisit elle même de l'accepter.
Son regard, alternant entre Maéris et Toar se dirige alors sur moi. Son sourire disparait quelques instant avant de réapparaître encore plus grand.
- Toi, tu me rappel quelqu'un que j'ai connu. Qui es tu ?
Des paroles sorte alors de ma bouche sans que je n'ai pût les retenir, ce que je regrette aussitôt.
- Je suis votre adversaire. Dis-je tout de même d'une voix assuré bien que tout mon corps soit entrain de tremblé comme une feuille.
- Mon adversaire tu dit ? Dit-il en riant. Non, sa ne serai pas drôle. Cependant je suis honoré de ta requête. Mais je préfère te tester avant, alors à la place je te propose un combat plus équilibré.
Aussitôt je voie ses yeux précédemment vert, devenir d'un blanc laiteux avant de reprendre leur couleurs de base.
- Évidement vous aurez tous un adversaire, je veux que tout le monde s'amuse. Cela ne serai pas drôle autrement. Excepté Maéris, je ne veux pas l'abîmer.
Aussitôt, des particules semblable à de la cendre apparaissent à cinq endroit derrière lui. Les cendres se compacte, bloquant notre vision. Après quelques secondes, les cendres disparaissent et cinq armures métalliques, comme celle que nous avions combattu en haut de la montagne, apparaissent. Toutes différentes. Parmi celles-ci, je reconnais d'ailleurs l'homme que j'étais sur d'avoir égorgé. Malgré son casque, je voie bien qu'il regarde longuement dans la direction d'Aria, il semble surprit de la voir vivante et bien debout.
Voyant les cinq armure s'approcher de nous, Aria décide de prendre sa revanche contre l'homme de la dernière fois. Un autre qui semble moins épais et plus agile s'approche de Lind'ha. Un autre qui contrairement à l'autre est très épais s'avance vers Toar. Le quatrième de morphologie normal s'avance vers Rizes alors que le dernier s'élance vers Earin. Chacun porte une arme différente et je prie intérieurement pour que mes camarades s'en sortent indemne. Alors que je m'apprête à rejoindre Earin pour l'aider, un crie retentit derrière moi. Je saute sur le côté afin d'éviter Ragnac qui s'élance vers moi, l'épée à la main. Pensant qu'il souhaite continué son chemin pour se battre contre Ulfric, je suis surprit en le voyant s'arrêter pour me faire face à nouveaux.
Je remarque alors quelque chose de dérangeant. Ses yeux, d'un blanc laiteux me rappelle ceux d'Ulfric quelques instant avant.
Voyant que je l'observe, Ragnac lève alors sont épée au dessus de sa tête et hurle en se jetant sur moi. Il abat alors son épée là ou je me trouvais quelques secondes avant. Je sent d'ailleurs le sifflement de l'épée tranchant l'air me traversé les oreilles. Un moment de panique prend place dans mon coeur et je sort mes armes pour me défendre face à mon père qui semble manipulé. En voyant le visage de Ulfric, je comprend que c'est effectivement le cas. Celui-ci s'approche de nous, pas assez pour participé au combat mais bien assez pour ne rien manqué.
Reportant mon attention vers Ragnac, j'esquive un coup d'épée, qu'il projette vers ma taille, en faisant une roulade vers lui.
- Père, que t'arrive t-il ? Je hurle pour être qu'il m'entend.
Mais un simple rire retentit de la bouche d'Ulfric.
- Ne le considère plus comme ton père. Son âme est morte. Je l'ai supprimé afin de me servir de lui comme d'une arme pour te tué. Il n'est plus celui que tu pense. Il ne le sera plus jamais. Un large sourire se dessine sur son visage pendant qu'il parle.
Mon cœur se serre dans la poitrine alors que des larmes me monte au yeux.
- Pourquoi nous ?
- Vous étiez ceux dont les liens étaient les plus fort. Vous seul pouvez m'offrir un telle spectacle.
- Pourquoi vous obéirai-je ? Je demande d'une simple voix. Mes yeux baigné de larme.
- Parce-que la personne que tu à en face de toi est programmé pour se battre jusqu'à ce qu'elle t'ai tuer. De plus tu es important pour aidé tes amis, lui ne sera plus d'aucune utilité. Et enfin, si tu veux que tout tes amis survivent, tu doit le faire. Pour l'instant mes hommes sont juste sensé faire duré leurs combats, pas vous tué. Cela serai trop rapide et pas assez amusant. Mais si tu refuse de te plié au règles, tes amis mourrons les uns après les autres sous tes yeux.
Comprenant que je n'ai pas le choix, je sort mes dagues décidé à faire ce qui doit être fait. Je ne met pas longtemps à deviné qu'en attaquant Ulfric, je condamnerai également tout mes amis. Alors dans un ultime désespoir, je sort mes dagues et me jette sur mon père.
Sa lame tourne autour de lui et je n'arrive à évité ses coups qu'aux derniers moment. Mon sang circule tellement vite que je ressent mes battements de cœur à travers mes tympans.
Des petits voix prennent place dans ma tête tandis que je me résous à faire la seul chose possible. J'évite tout les violents coups que le corps de mon père m'envoie jusqu'à voir une ouverture et à ce moment, je décide de fermé les yeux lors-ce-que ma lame pénètre dans sa cage thoracique. Un déluge de sang s'écoule de la blessure alors qu'il s'écroule violemment au sol. Tournant la tête, je voix Ulfric sourire et après un regard sur le corps de Ragnac me dit simplement.
- Merci à toi, c'était très divertissant.
Puis il disparait, dans un nuage de poussière. Aussitôt je reporte mon attention sur Ragnac et m'agenouille auprès de lui. Les voix dans ma tête lance des cris insupportable. Cependant je me concentre pour ne pas divagué et en regardant Ragnac, un détail me donne envie de hurlé à la mort.
Ses yeux ont perdu leurs couleurs blanche. En effets, ils sont redevenu comme avant. D'un marron clair.
Sa bouche s'ouvre et je m'approche afin de bien entendre ses paroles.
- Ne pleure pas Darick, ce n'est pas de ta faute. Il prend une grande inspiration et une suite de toux laissent échappé du sang par sa bouche. Cette homme est un monstre et nous le savons depuis longtemps. C'est pour cela que tu doit continué à te battre pour le monde. Venge nous, moi et toutes ses autres victimes. Je ne serai pas le dernier, je le sais bien. Mais je ne veux pas que tu fasse partie de la liste. Tu deviendra un grand guerrier. Protège tes amis à tout prit.
Il ferme les yeux quelques instant, afin de calmer son flux de parole mais les réouvre avant de prononcer ses derniers mots. Je t'aime mon fils.
Son visage se fige, le sang sur ses lèvres continue de couler alors que son regard se perd au loin.
Cette fois si c'en ai trop, les voix dans ma tête se déchaîne comme elles ne l'ont jamais fait. Elles sont tellement puissante que j'ai l'impression que mes compagnons vont les entendre aussi. Des brûlures apparaissent sur mon dos, je le sent chauffer et cette fois c'est à mon tour de pousser un hurlement de douleur. Sans que je m'y attende, les voix s'assourdissent de plus en plus jusqu'à n'être plus qu'un simple murmure et enfin elles disparaissent.
Je me sent bizarre, mon corp se fige alors que les brulures s'intensifie. Je sent ma peau brûlé et j'ai l'impression que mes os s'élargissent à plusieurs endroit. Jamais je n'ai ressentit une telle douleur.
En regardant mon bras, je me rend compte qu'il commence à se déformé. Je sent mes cheveux se prolongé et lors-ce-qu'ils atteignent mon visage, je remarque qu'ils ont prit une couleur grise. Mes bras se recouvrent d'étrange pointes rouge, qui semblent très tranchante, là ou il se déformait auparavant.
Au bout d'un moment, je reprend un contrôle total sur mon corps. M'a transformation n'ayant duré que quelques secondes, ce n'est qu'une fois terminé que je me met à paniqué. Ma peau est entièrement coloré en rouge foncé. Cependant lentement, je voie de fine coupure se créé dans ma chair, elles sont toute de couleur noir et se disperse un peu partout sur mon corps. Elles semblent toute partir de mon dos, bien que je ne le voie pas. Mes cheveux sont long et gris clair. Lors-ce-que j'essaie de lever un bras pour les touché, je me rend compte que mes mouvements sont très lents et très difficile. Et alors que je tente d'ouvrir la bouche pour parler avec mes camarades toujours sous le choc, c'est un étrange son qui sort de ma bouche.
Je reste ainsi à observé mon corps, me demandant si je pourrai un jour recouvré mon véritable corps quand j'aperçois une personne approché vers nous. Ils viens de la forêt, il semble revenir du lac. Il s'agit d'un vieille homme habillé dans des habits assez commun, il porte une tenus intégralement faite de tissus noir. Quand il me voie, il ouvre grand la bouche mais la referme très vite avant de s'approcher de Toar. Il l'entraîne avec lui pendant plusieurs minutes avant de revenir. Toar semble perdu dans ses pensé mais l'homme s'approche vers moi et lève la main, comme pour me faire comprendre qu'il n'est pas mon ennemi. Il plonge sa main dans son sac et en retire une fiole contenant un liquide vert. Au moment ou il ouvre le bouchon, une étrange fumé s'échappe de la fiole.
L'homme me fait alors signe de m'asseoir, ce que je fait au ralentit. Là, il s'approche très lentement de moi en gardant sa main tendu dans ma direction, me tend la potion et m'ordonne d'en aspiré le contenu. À peine ai-je inhalé la fumé que je tombe en arrière et m'évanoui.
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