Les cuisses sont si douces à caresser.

Passer du plat de la main sur le galbe des rondeurs comme si c’étaient des seins.

Les effleurer, et doucement remonter vers l’intérieur où la peau est si tendre, si moelleuse. Du bout des doigts suivre le chemin qui mène vers deux autres galbes plus petits, et si attirants.

Les cuisses côte à côte sont un doux coussin où ma tête repose, avant de me retourner et d’effleurer du bout de la langue la texture de la peau, la mordiller légèrement, y distribuer des baisers, la respirer, la goûter, et ainsi remonter vers ce qui est dressé devant mes yeux comme un phare qui me guide vers le lieu de l’extase.

Ces cuisses où j’aime de ma chevelure m'y perdre, les caresser, de mes seins les effleurer, m’y agenouiller aussi, et avec mon sexe humidifié sentir contre moi leur fermeté, prélude à ce phallus devant moi qui ne demande qu’à entrer en moi…….

6 juin 2006 écrit sous le pseudo de Pétale