Nuit d'hivers
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Dans ce linceul d’ivoire, je suis prisonnier.
Je ne peux respirer, ni me dégager ;
De ses crocs baveux et acérés,
De ses griffes longues et peinturées,
De cette créature aux râles d’une telle intensité.
Attendant le coma, je suis condamné,
Coincé auprès d’elle… et ses pieds gelés.
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