Souffrir
On ne s'attarde pas trop sur ce sujet, ne souhaitant pas faire souffrir l’autre en lui remémorant des moments pénibles . Je ne saurais dire par la faute de qui cela arrive mais sans trop y faire attention petit à petit on dérive sur les sujets plus “intimes”. J’en prends soudainement conscience lorsque Sabrina m’interroge sans détours.
- Sabrina : Tu as fait l’amour à combien de filles toi ?
- Moi honnête : Deux et toi ?
- Sabrina taquine : Aucune !
- Moi amusé : Et en garçons ?
- Sabrina : Un seul et j’espère bientôt deux.
- Moi amusé : Le deuxième potentiel est tout à fait partant.
Je l’embrasse à nouveau et j’y songe mais heureusement qu’elle ne m’a pas questionné sur les garçons : je ne sais pas ce que j'aurais répondu! Et d’ailleurs je me demande même ce qui comptait vraiment.
J’ose croire qu’il me faudrait alors compter les garçons que j’ai sucés ou masturbés donc il y aurait Alan le premier, Erwan évidemment et c’est à peu près tout. Devrais-je aussi compter les branlettes avec mon frangin, notre jeu à deux couple lors de mes vacances avec Amandine ou encore Philippe lors de ma séquestration?
C’est difficile de répondre à ces questions et à vrai dire je les oublie bien vite pour me concentrer sur notre baiser passionné. Vu les discussions intimes qu’on vient juste d’avoir, mon envie et mon excitation sont assez fortes. Il est temps pour moi de me montrer un peu plus entreprenant.
Il a beau être très tard, je suis alerte et j'écoute tous les bruits de la maison de peur d’être surpris en pleine action ou espionné par l’un de nos amis. Mais je suis conscient que cette méfiance n’est nullement justifiée je commence enfin à caresser le corps de Sabrina.
Je commence à glisser ma main sous ses vêtements et elle ne s’en offusque pas. Je n'avais pas en tête de faire quelque chose dès cette première nuit mais je ne me l’étais pas non plus interdit! Du coup je commence à enlever le haut de la demoiselle.
Elle me laisse faire et je profite bientôt de la vue sur sa belle poitrine nue. Je me demande si elle a fait exprès de ne pas mettre de soutien gorge ou si c’est juste pour ne pas être gênée dans son sommeil comme Amandine. Je commence à la caresser doucement et je sens bientôt les mamelons durcir sous mes doigts.
- Sabrina arrêtant quelques instant notre baiser : Tu t’y prends bien.
- Moi intrigué attendant des explications : Merci…..
- Sabrina : J’espère que je vais pas te saouler avec ça mais rends- toi compte que mon ex ne s’occupait pas de moi.
- Moi surpris : Ah bon mais même les seins ?
- Sabrina : Bah il les a bien touchés mais c'était pour tester, pas pour me faire du bien comme toi.
- Moi : Bah effectivement c’est un nul. Moi j’adore savoir que ça te plaît.
- Sabrina : Tant mieux !
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