Le père vert
Ah, le voilà revenu, le beau temps, avec son lot d'émoustillement !
Quel plaisir de revoir les jolies jambes libérées de leurs jalouses geôles. J'aime ces magnifiques mollets mis en beauté par des talons élevés. Et ses cuisses qui se dévoilent avec ou sans pudeur, parfois à la faveur d'une position toute innocente. Leur peau lisse est un appel à la passion pour ces pimpantes petites pattes. Quant à cette ouverture béante dans laquelle ces dévergondées osent disparaître, n'est-elle pas une invitation à la découverte, à l'exploration de leur secret ?
Ah, le retour du beau temps... J'aurais dû m'en méfier. Car voilà de grosses guiboles dégingandées et bien mal fichues, flasques et difformes, le genoux comme pris dans de la gelée, noyé dans la graisse dégringolante de monstrueux cuissots. Et en plus, madame est agent assermenté ! Pour un regard trop appuyé, une bosse mal placée, je suis tombé. Morigéné, maltraité, martyrisé... je paie le prix ma perversité. Ils ont dit que je ne sortirai que cet été...
Pile poil pour profiter des petits pieds impénitents et dépantouflés !
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