Rien ni personne sur ce chemin de gravieR
Ombre d'éclairs aveugle ma vue en échO
Unité d'absence comme une route barrée de filin nU
Tranquille, transparent sur le bord du monde en arrêT
Et esclave de l'espace confiné et sombrE
Bercé doucement, mélancoliquement par le chant d'un baobaB
Aspiré au-delà des embruns d'une route sans shémA
Risque d'isolement en pleurs dans un silence noiR
Réveil et lumière inonderont ce tracé du jouR
Éveillé dans un habit de solitude et de nativitÉ
Enfer et damnation, marques barrières d'une routE