Habillé
Une fois mon sexe de nouveau “habillé” de cette protection, nos deux corps encore totalement nus se retrouvent de nouveau. Nos bouches comme nos sexes se mélangent une fois encore et nous revoilà partis dans le délicieux pays du plaisir.
Amandine semble à son tour prendre un pied assez important sous l’effet de mes mouvement de hanches. Ses gémissement trahissent son plaisir et je n’y suis pas insensible, bien au contraire.
Je sens ma douce Amandine fondre sous mes mouvements. Je me rends compte que désormais j’ai peut-être une petite part de la compréhension de son plaisir, il n’en est pas moins complexe. J’ai l’impression qu’elle va jouir prochainement ou que c’est le cas en ce moment même.
Je profite de cette impression de plaisir pour, à mon tour, amplifier mes mouvements et les accélérer également. Et plus j’accélère, plus j’ai l’impression de constater un plaisir grandissant chez ma chérie.
Elle gémit de plus en plus fort et pour mon plus grand plaisir, se met elle aussi à bouger sous moi. Dans ces conditions, je n’arrive pas retenir bien longtemps mon plaisir et en quelques instants je jouis à nouveau.
Peu après, je m’allonge à côté de ma douce Amandine et l’enlace tendrement.
- Moi : Trop bien !
- Amandine : Je ne peux pas te contredire.
- Moi souriant : Ça t’a plu ?
- Amandine taquine : Non c'était une torture, c’est sûrement pour ça que j’ai pris mon pied !
- Moi : T’es pas la seule !
- Amandine amusée : Ah bon... je me suis rendu compte de rien.
Amandine et moi rions quelques secondes. Nous avons apprécié ce moment. On a visiblement pris un plaisir important. On discute pour essayer de comprendre à quoi est dû ce sentiment de plaisir intense.
On finit par renoncer à trouver une réponse logique et on décide de s'habiller et de se lever pour prendre le petit déjeuner. Ce matin on trouve nos parents à la cuisine, Jean est absent, mais on sait déjà sans le demander qu’il dort encore. Notre “Loir” a repris son rôle.
Annotations
Versions