Arrières-pensées
Ces longues minutes sont très agréables. Malgré ma nudité je n’ai pas spécialement d’arrière-pensées et mon engin reste très calme. Ça me rassure beaucoup de voir que ce n’est pas seulement une réaction mécanique.
J’aime particulièrement ces moments où l'on vient de prendre notre pied et qu’on profite encore l’un de l’autre, nus. Bon certes : actuellement je suis le seul à l’être mais ça ne gâche pas le moment pour autant.
Avec Amandine, nous sommes allongés paisiblement en nous embrassant et nous caressant.
- Moi : N’espère pas rester habillée lorsqu’on en reprendra.
- Amandine : Mince, j’aime être habillée lorsque tu es nu.
- Moi amusé : Je sais bien et l’inverse est vrai aussi d’ailleurs.
- Amandine amusée : Oui je m’en doutais !
- Moi : Puis pour te faire l’amour ce serait quand même plus simple.
- Amandine : Ah, parce que tu comptes me faire l’amour ?
Je comprends qu’Amandine commence un nouveau jeu. Elle fait preuve d’une sorte d'innocence qui m’amuse beaucoup.Je sens effectivement que la suite va vraiment être fort sympathique et qu’elle va prendre un malin plaisir à en jouer.
- Moi : Sauf si ça t'intéresse plus ….
- Amandine forçant une voix plus aiguë : Non je suis innocente moi je n’oserais jamais ce genre de chose.
- Moi jouant le rôle d’un chevalier: Laissez-moi faire ma mie, vous ne manquerez pas de prendre un plaisir certain.
Amandine rigole en me voyant jouer le jeu, j’ai parfaitement réagi à mon avis. Elle ne s’attendait probablement pas à une prise au sérieux aussi forte.
- Amandine amusée : Vu l’état de votre arme, pas sûr que ce soit possible.
- Moi : Je m’occupe de mon épée dès que votre corsage aura disparu : elle ne pourra qu'être la plus aiguisée des lames !
- Amandine amusée : Je n’ose penser aux conséquence d’un tel acte !
- Moi : N’y pensez pas, il ne faut pas vous formaliser.
- Amandine : Que dirait mon aïeule lorsqu’elle découvrira que j’ai perdu mon pucelage avant notre mariage.
- Moi : Pour votre pucelage il est bien trop tard !
On rigole un moment puis on sort alors de nos rôles en reconnaissant l’un et l’autre que nous ne sommes plus “vierges”. On se questionne longuement réalisant que nous aurions eu de mal à “attendre” comme on pouvait le faire dans le temps.
On discute de l’époque où “attendre” était presque obligatoire. On a beaucoup de mal à s’imaginer vivre à cette époque qui nous paraît aux antipodes de la-nôtre.
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