Je m’allonge de nouveau à côté d’Amandine.

- Moi : C’est à ton tour de rester nue.

- Amandine amusée : si tu le restes également je suis d'accord.

- Moi : Je ne me suis pas rhabillé.

- Amandine : Tu n’as pas envie de me faire l’amour ?

- Moi : Si mais j’ai envie de faire comme toi.

- Amandine intriguée : C’est à dire ?

- Moi : Profiter et prendre mon temps….

- Amandine : Petit voyou !

- Moi souriant : Je te retourne le compliment.

- Amandine souriante : Merci.

On s’embrasse, nos mains s'entrelacent et parfois, lorsqu'elles se séparent, elles effleurent le corps dénudé de l’autre. On profite de la nudité de notre partenaire et bientôt on dérapesur les zones érogènes.

J’ai le sentiment que je suis le fautif, mais difficile de dire qui est véritablement le premier qui fait déraper sa main sur ces endroits sensibles. Je repars vite à bander comme un dingue et je ressens une envie profonde à faire l’amour.

Après quelques échanges buccaux, Amandine m'embrasse tout le long du corps. Puis elle m’offre une fois encore une petite fellation. Petite, car j’y mets vite un terme, je n’ai pas envie de jouir dans sa bouche cette fois.

Amandine me sourit elle a bien compris mon intention. Je la laisse s’allonger, après quoi je m’approche d’elle en douceur. je m’allonge sur elle et mon sexe est tout à côté du sien. Ce contact fait que mon sexe se gonfle très légèrement.

Amandine semble apprécier ce contact sans pénétration, je continue à l’embrasser tout en déplaçant mon sexe sur le sien. N’ayant pas encore de préservatif je ne tente pas plus mais l’envie monte de l’enfiler.

Voyant Amandine tout émoustillée par cette caresse sexe contre sexe, je me contente de profiter du moment. Je sens que nos sexes sont tout humides et glissent l’un contre l’autre et comme elle, mon plaisir monte. Je commence a me dire qu’il y a des chance que je puisse finir par jouir.

- Amandine l’ayant ressenti : Vas-y, jouis !

Je suis surpris à moitié mais j’aime qu’elle s’exprime ainsi. J’ai la sensation qu’elle est toute proche de la jouissance elle aussi. Je ne me pose plus de question et je poursuis quelques instants mes allers et venues sexe contre sexe.

Il ne me faut plus très longtemps pour obéir à Amandine et jouir dans un gémissement intense. Évidemment ma semence nous éclabousse l’un comme l’autre : il nous faut nous essuyer désormais.