- Moi : Voir Amandine si hésitante ne m’aide pas du tout et j’ai pas du tout envie d’aller a son encontre.

- Laura : Je comprends.

- Amandine : Je t’aime mon chéri !

Oubliant la présence de Laura un instant on se prend dans les bras l’un de l’autre et on s’embrasse. L’un comme l’autre on ne cache plus nos anatomies. Lorsqu’après un long baiser nos bouche se séparent, on regarde Laura qui semble tout émue.

- Laura : C’est de l’amour ca !

- Amandine : Oui c’est probable.

On échange un long moment sur la force de nos sentiments je réalise qu’Amandine et moi ne dissimulons plus nos sexes. Mon excitation est quelque peu retombée et ce malgré la nudité d’Amandine et la tenue légère de Laura.

Laura est émue et elle nous fait part de la triste réalité : elle n’a jamais été aimée, du moins jamais autant. Amandine et moi nous montrons très doux avec elle et on la rassure : elle a le temps de trouver.

Tout en papotant on ne se projette dans l’avenir et je ne sais pas qui le premier dit qu’il ne peut pas savoir de quoi sera fait demain. Il n'empêche que globalement nous tombons d’accord, nous profitons du bonheur que représente notre amour tout en souhaitant qu’il perdure sans en être totalement certains.

Quelle étrange discussion et quel coup de massue pour l’un comme l’autre : on s’en met presque à douter de notre amour. J’ai soudain un regain de confiance et j’ai bien du mal à croire qu’il puisse s'essouffler un jour.

- Moi rassurant : Tout va bien aller mon amour !

Amandine me sourit elle semble rassurée, elle a probablement autant peur que moi qu’on se sépare. J’éprouve le besoin intense de la rassurer et de l'embrasser. La présence de Laura ne me freine pas : je m’écoute et lui offre un doux baiser.

Tout en embrassant ma douce Amandine je sens de douces caresses sur ma cuisse. Je me demande si c’est bien Amandine j’ai l’ombre d’un doute mais je suis tellement concentré sur le fait de rassurer ma cherie que je ne prends pas la peine de vérifier ce qu’il en est.

La caresse s’est rapprochée de mon sexe et le saisit désormais. N'étant pas totalement certain de l’auteur de ces caresses, j'arrête le baiser un instant. Je constate ce que je soupçonnais : c’est bien Laura qui a commencé les attouchements.

- Moi amusé : Et bien je vois que tu en profites !

- Laura souriante : Désolée, j’ai pas pu résister.