- Amandine : Tu as joui juste après en plus petite coquine !

- Laura : Oui oui .

- Moi : M’en suis pas rendu compte.

- Amandine amusée : Moi si !

- Laura : Va falloir qu’on s’occupe de toi maintenant !

- Amandine : Non je me garde pour Pierrot.

- Laura : Il est vidé là !

- Amandine : Je sais bien je serai patiente !

- Moi : J’avoue que j’ai bien envie de lui fait l’amour dans un moment.

- Amandine : Oui moi aussi.

- Laura : J’ai eu ma gâterie donc j’imagine qu’on peut se contenter de ça.

- Amandine : C’est déjà bien non ?

- Laura : Oh oui ! Je suis juste déçue de ne pas avoir pu te faire du bien !

- Amandine : Ah mais si tu veux t’occuper de moi c’est possible !

- Laura : Bah pourquoi pas !

- Moi amusé : Finalement elle y prend goût !

- Laura rougissant : Effectivement j’aime bien.

- Moi amusé : Petite coquine !

- Amandine : Je sens que tu va tester les filles après ça !

- Laura amusée : Peut-être un peu mais je préfère quand même les zizis !

- Amandine : D’accord !

Laura s’occupe dorénavant d’Amandine, voir les deux filles totalement nues en train de se faire du bien me plaît énormément et malgré le fait que j’ai joui il y a peu, je retrouve petit àpetit un début d’érection.

Les gémissements d’Amandine ne se font pas attendre. Évidemment, l’entendre gémir de la sorte m’excite et je bande bientôt de nouveau. Amandine s’en est rendu compte et sans même se poser de question elle prend mon sexe en main puis peu de temps après directement en bouche.

Je n’en reviens pas : jamais je n'aurai eu autant d'érections dans la foulée. Je me souviens avoir essayé de me refaire bander à la suite d’une éjaculation lors de nos visionnages de films de cul avec Jean. Je me souviens avoir réussi à plusieurs reprises, mais, sauf erreur de ma part, ça n’a pas marché plus d’une fois d’affilée.

Je me dis que la sollicitation qui m'est adressée actuellement est bien plus efficace. La raison sonne totalement logique en moi : ce n’est pas moi l’auteur de la sollicitation. Je comprends soudain pourquoi j’ai l’impression que Jean n'arrêtait pas de se faire du bien : c’est qu’il était en “couple”.

Je me sens malgré tout plus mûr que mon jeune frère. Je me dis que contrairement à lui, ce chaud lapin, je suis totalement capable de faire une “coupure” et en soi je l’ai déjà faite dernièrement.