Chapitre 15. Se retrouver à deux
Plus tard dans la journée, Rachel harponna Louis qui était dans la cuisine, en train remplir le lave-vaisselle.
— Ils sont tous les trois dans leurs lits pour la sieste, ils sont endormis, enfin !
— Enfin la paix !
— Enfin rien que nous deux.
Elle passa derrière lui et l’enlaça en le prenant par la taille.
— J’ai aussi envie de faire une sieste… Si ça te dit… Rejoins-moi…
— Je termine et je viens te border !
Elle fila vers la chambre.
Louis termina de remplir de lave-vaisselle et le mit en route, se disant qu’après une bonne sieste il sera temps de le vider. Il arriva, en baillant, à la porte de la chambre.
Là, il la vit, endormie, en nuisette. Elle avait presque retrouvé ses formes d’antan, elle gardait encore un peu de ventre, mais son corps était harmonieux dans ses courbes et l’allaitement lui donnait un tour de poitrine qu’il ne voulait pas voir disparaitre trop vite.
Il s’approcha et s’installa près d’elle, il la caressa du bout des doigts ; elle se réveilla, s’étendit de tout son long et se retrouva nez à nez avec lui. Elle sourit.
— Te voilà enfin Louis, j’ai même eu le temps de m’endormir…
— J’ai vu… Et je vois que tu rentres à nouveau dans ta nuisette.
— Oui, j’en suis bien contente.
Elle l’enlaça et l’embrassa. Au creux de son oreille, elle lui proposa,
— Petite pause câline ?
— Avec plaisir…
— Laisse-moi faire.
Elle le déshabilla et constata qu’il était déjà bien en forme.
— Ferme les yeux et savoure…
— À tes ordres.
À califourchon sur lui, elle le massa et le caressa puis, alors qu’elle lui massait le pénis, elle l’introduisit dans son vagin et s’installa confortablement sur Louis qui avait entretemps ouvert les yeux.
— Rachel !
Son regard brillait et ses mains avaient déjà rejoint ses cuisses qu’il palpait avec envie.
— Attends, dis-moi si tu sens quelque chose quand je fais ça, ou ça ?
Elle effectua quelques contractions à l’aide de ses muscles périnéaux.
— Ah oui, je le sens bien… Dis-moi, tu es de retour alors ?
Avec un grand sourire, elle lui confirma,
— Oui… Et je compte bien profiter de la sieste des enfants pour te retrouver !
Ils n’eurent effectivement que le temps de la sieste pour se redécouvrir, mais les retrouvailles furent intenses.
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