Chapitre 20 - Mickaël
Je me réveille avec une putain de barre. Je n’ai pas arrêté de rêver de meufs sur ma queue et aucune n’était Marielle. Je veux une bouche qui me suce, je veux sentir de la bave sur ma bite, voir des yeux suppliants de ne pas aller trop loin, de sentir les hauts de cœur se déchaîner en même temps que de toucher leur fond de gorge. Putain des mois qu’on ne m’a pas sucé, je vais finir par gicler de la poudre !
Vu comment tu te branles, ça risque pas.
Putain mais grave. Je n’ai pas 30 piges que je ne baise déjà plus, triste vie.
- Ju’ ?
- Quoi Parker !
- Tu ne veux pas venir me sucer ?
Elle me regarde alors que je serais prêt à baisser mon froc pour sa bouche.
- Jamais de la vie.
- Ste plait, au nom de notre amitié.
Elle ricane.
- Tu ne me fais plus la gueule alors ? Me lance-t-elle
- Bah plus depuis ce matin. Alors ?
- Jamais de la vie je t’ai dis.
Ok donc là je dois lancer l’offensive. Je m’approche d’elle et me colle contre son dos, mon érection contre son cul.
- J’ai besoin de sentir ta bouche sur ma bite.
- Oublie.
- Je t’en supplie, j’en peux plus. C’est une question de vie ou de mort.
- Alors tu vas mourir.
- Alors ton cul sinon, tu restes comme ça, je te fous le cul à l’air et je te l’explose.
- Tu vends du rêve là.
- Fais en sorte qu’il devienne réalité alors.
- Va te branler Parker, tu me soules.
Putain j’ai mal au bide tellement j’ai envie de baiser. Je l’attrape par la taille et je vois ses yeux briller.
- Tu m’as chauffé et maintenant tu ne veux plus. C’est inhumain tu sais ?
- Fallait prendre le train quand il était arrêté à ta gare. Dit-elle en me donnant une tape sur mon torse en s’éloignant de moi.
Merde.
- Y a quelques jours, t’étais en train de me branler et maintenant tu refuses une pipe, c’est quoi ton problème ? Dis-je agressivement.
Elle me regarde et son regard devient dur.
- Mon problème Parker ?
- Ouais.
- Tu crois que tu peux m’envoyer chier comme tu l’as fais et après venir gratter l’amitié ?
Ah donc c’est ça le problème.
- Tu n’as pas arrêté de me casser les couilles, je ne me mêle pas de ton éducation avec les garçons que je sache, non ? Dis-je
- Tu l’as envoyé manger dans sa chambre pendant 1 semaine Mick’ ! 1 semaine ! On ne fait pas ça à une gamine de 8 ans !
- Stop ! Ce sujet est clos, je ne vais pas retourner là dedans. Tu sais quoi, j’en ai rien à foutre, je n’ai pas besoin de toi pour me soulager.
Putain je hais m’engueuler avec elle et encore moins aujourd’hui mais j’ai trop envie là !
Oh putain, tu tournes en boucle là.
Alors qu’elle tente de me fuir, je la bloque contre le mur.
- J’ai besoin de toi. Dis-je à son oreille.
- Tu ne sais pas te branler ?
- J’ai tout oublié cette nuit, j’ai trop de foutre, je me noie.
Elle rit et son regard brillant me fixe.
- C’est vraiment une question de vie ou de mort alors ?
- Ouais, je n’irais pas me frotter à toi sinon, faut vraiment que je sois désespéré.
On ricane et je déboutonne mon jean. Elle passe sa langue sur ses lèvres prometteuses. Quand je baisse mon boxer, ma bite sort comme d’une boite à ressort. Elle me prend ma main et la pose sur ma queue comme si je ne savais pas me branler. Elle me donne le rythme et j’avoue que c’est très excitant de me branler devant elle.
- Accélère. Dit-elle d’une voix chaude, alors qu’elle ne fait que de me regarder.
- S’il te plaît. Dis-je à bout de souffle.
- Encore Mick’.
Je vais lui gicler dessus, putain !!! Je m’astique, tout en la regardant, je dois jouir, ça doit sortir !!!
- Putain !!!
Je l’attrape par la taille et me serre contre elle. Je me branle comme si ma vie en dépendait. Elle me regarde et me laisse lui jouir dessus. Je suis encore essoufflé qu’elle va se nettoyer.
- Julie ?
- Oui ?
- Reste là ce soir.
- Putain c’est pour ça que t’es comme ça ?
Euh…
T’es jaloux !!!
Non.
Ah bah si.
Va te faire foutre !
- Tu ne le connais même pas ce mec ! Et puis Miny va te réclamer.
- T’auras tout ce qu’il faut dans le frigo.
- Putain mais pourquoi tu fais ça ?
- J’ai le droit à une vie privée Parker.
- Donne la moi ta vie privée, jte jure que je suis un bon coup.
Elle ricane.
- Ça je sais.
Je sens qu’elle m’échappe et ça ne me plait pas.
Donc t’es jaloux
Putain mais ferme là !
- Tu vas pouvoir passer la soirée tranquille, soit heureux. Me lance-t-elle avec son sourire à la con.
- Ça n’a rien de drôle, reste ici et je m’occupe de toi.
- Hummmm non.
Putain !!!
- Ok, bah va faire ta pute alors !
Elle ricane alors que moi ça me soule. Toute la journée je suis mal et elle, elle fait sa vie.
- Tu devrais aller la voir, elle ne va vraiment pas bien. Dit-elle en revenant de l’hôpital.
- Son amant doit venir la voir, t’inquiète.
- Arrête de faire le mec con Parker ! Tu ne peux pas la zapper comme ça.
Pourquoi je devrais aller au chevet d’une meuf qui se fout de ma gueule depuis des mois.
Parce que c’est ta femme ?
Elle me trompe.
Tu sais très bien que ce n’est pas pour ça que tu refuses d’aller la voir.
Pourquoi ma conscience me torture comme ça.
Parce que tu joues avec le feu et ça va t’exploser à la gueule. Arrête de déconner.
- Tu ne devrais pas perdre de temps, ton Roméo va arriver. Dis-je
- Sale con
- Salope
Je me retrouve pour la première fois seul le soir et putain la maison est vide sans elle et Jennie qui est chez sa grand-mère.
- Bon bah reste plus que toi et moi Sweetie.
Elle me fait des petits sons comme si elle me parlait.
- Bah ouais je sais je suis mega canon et elle préfère une tête de gland pour passer la soirée.
Elle continue à faire des gazouillis et elle attrape ses pieds pour les mettre à sa bouche.
- Mange pas ça, c’est dégueu.
Elle me fait des sourires et je fonds sur place.
- Il est où le bébé à papa ? Il est là !!!
Je frotte mon nez à son bide et elle éclate de rire. Putain qu’est ce qu’elle grandit vite. 5 mois déjà.
- T’as vu comment elle était belle, franchement s’il ne craque pas, c’est qu’il est aveugle ce con. Bon t’as faim ? Bah ouais ce n’est pas ses nichons mais j’ai que ça à te proposer.
Je ne sais pas si elle va rentrer et chaque minute m’angoisse.
- Bon, on va aller au dodo.
Je lui chante sa berceuse et elle finit par se coucher contre mon tee-shirt et met son pouce dans la bouche. Doucement elle s’endort et je me casse comme un ninja de la chambre. 21h30, toujours personne, putain ça me rend dingue. Je me casse à la douche et m’enfile un pantalon de survêt’ bien confortable et me pose devant un film avec un plateau télé.
- Putain mais qu’est ce qu’elle fout. Dis-je en regardant l’heure de mon portable afficher 23h00.
C’est plus fort que moi je lui envoi un texto.
« stp couche pas avec et rentre »
Ouais je sais c’est pathétique.
J’ai rien dis.
J’arrive à peine à suivre l’histoire de mon foutu film qui est en train de se terminer. A 1h24, la porte s’ouvre. Son regard se pose sur moi et j’essaye de déceler si elle a baisé ou pas.
- Bonsoir. Me lance-t-elle
- Salut.
- Ça été avec la petite ?
- Fallait bien.
Elle penche la tête sur le coté et je lui tends la main qu’elle saisit. Je la mets sur moi et je peux enfin respirer.
- Je crois que je suis jaloux. Dis-je
Elle me sourit alors que son putain de décolleté est sous mon nez. Je pose mon nez dans son cou et tente de déceler le parfum d’un mec derrière le sien.
- Je n’ai pas couché avec. Dit-elle
- Vraiment ? Pourquoi tu rentres si tard alors ?
- Parce qu’il m’a expliqué l’aéronautique toute la soirée et par politesse je l’ai écouté.
Là je suis obligé de rire.
- Et j’ai même du prétexter un problème à la maison pour m’enfuir.
- Ah ouais carrément. Il était beau goss au moins ?
- Ça va il n’était pas dégueu.
Je serre la mâchoire mais quand elle glisse ses mains autour de ma nuque, je me détends.
- Plus canon que moi ? Dis-je
- Non. Beaucoup moins canon que toi. Dit-elle alors que je pose mes mains contre ses cuisses.
- J’ai très mal vécu cette soirée, pitié me refais plus ça.
- Je suis paumée Mick’.
- Moi aussi.
On ricane et je pose mes lèvres sur les siennes et la serre fort contre moi.
- Mick’ qu’est ce que tu veux de moi ?
- Tout.
Je lui laisse pas en placer une et va chercher sa langue. Je remonte sa robe pour toucher son cul. Elle gémit contre mes lèvres et pose ses mains sur mon torse nu. Putain je vais la baiser.
Tu ne devrais pas.
Putain j’ai tellement envie d’elle.
Tout n’est pas règlé. Déconne pas !
Je sais mais là je m’en fous. Je remonte bien sa robe et lui retire pour me retrouver devant de la dentelle qui me fait encore plus durcir. Elle m’embrasse de nouveau et nos corps se frottent. Bordel je vais jouir dans mon fut moi ! Ce n’est pas du jeu alors je descends mes baisers dans son cou. Elle gémit plus fort et je la bascule sur le canapé. Ouais, parfait ça. Je retire son soutif tout en lui bouffant la bouche. Je lui malaxe ses nichons, lui tire ses tétons pour la faire gémir plus fort. Elle bouge plus vite et enroule ses jambes autour de mes hanches. Elle me descend mon pantalon et ma queue vibre contre sa dentelle. Je lui descends son string et je perle déjà. Putain je vais tenir deux secondes, faut que je trouve une feinte.
Pense à ta femme, ça te calmera.
Ferme là !
Tu ne m’écoutes jamais !
Je décide de faire taire ma conscience et descends entre ses cuisses.
Tu sais quoi, débrouille-toi, j’abandonne !
Ma bouche est à quelques centimètres de sa chatte quand j’entends les pleurs de Miny. Putain pas encore !!!
- Euh…
Julie me regarde et je comprends que ça ne sera pas pour maintenant.
- Pitié fait ça vite. Dis-je
Mais quand je m’aperçois qu’elle descend plus, je sais que je vais dormir sur la béquille. Mais le sommeil ne vient pas et une conversation avec ma conscience se met en route.
- Désolée pour hier soir, je me suis endormie avec la petite me dit-elle au petit déjeuner.
- Je ne sais pas si ça aurait été une bonne idée.
Elle lève les yeux au ciel.
- Je veux juste prendre mon temps, je ne veux pas me précipiter et tout est trop compliqué. Dis-je
- Tu ne disais pas ça hier soir.
- Je suis un homme faible que veux-tu.
- C’est un euphémisme ça. Rit-elle
- On verra si tu gardes ton petit sourire quand je serais au fond de ta chatte.
- Tu ne sais pas ce que tu veux Parker.
C’est plutôt que je ne sais pas qui je veux. Je lui pose un baiser sur la joue et va me mettre à table. Elle me sert mon café et vient s’asseoir mais la porte frappe. Elle va ouvrir.
- Bonjour Madame, Monsieur Parker est-il là ?
- Euh oui.
- Vous voulez quoi ? Dis-je en m’approchant de la porte.
- Vous êtes Monsieur Parker ?
- Ouais.
- On vous arrête pour abus de faiblesse et viol sur personne vulnérable. Dit le flic qui me colle contre le mur et me menotte bien serré.
Mais c’est quoi encore ce bordel.
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