Mes mains remontent alors et caressent ses trapèze développés. Sa peau est vraiment ferme là. Je laissent tomber mes doigts le long de son dos cambré pour tomber sur ses hanches moins large que ses épaule.

Je chuchote :

-Ton corps est vraiment beau...

Il ne dit rien, mais son visage toujours un peu tourné vers moi, me laisse voir son regard. Ses pupilles sont dilatées, et ses yeux brillants.

J'empoigne ses hanches et me baisse pour me mettre à genoux derrière lui. Il s'avance un peu pour se coller au dossier et me laisser me mettre contre lui.

Je pose mon ventre contre son dos. Mon nez tombe dans son cou que je ne peux m'empêcher d'embrasser. J'ai envie de laisser courir mes lèvres sur tout son corps d'Apollon...

Comme ma muse ne dit toujours rien, je laisse libre cour à mes envies et commence à embrasser lentement sa nuque, ses trapèzes, ses épaules,... Quand j'arrive à la naissance de son bras, il demande :

-Tu veux que je me tourne ?

Comme si la réponse était évidente, je murmure les lèvres encore contre sa peau :

-Oui s'il te plaît...

Nathan se redresse un peu et se tourne pour poser son dos contre le dossier. Je me lève à mon tour et m'assoie à genoux face à lui. Je met ses jambes au dessus des miennes pour être plus près encore de son buste si bien dessiné. Quand mes yeux remontent à son visage, je le vois rougir. Nathan rougit... Mon envie grandissante, je demande en m'approchant de son visage :

-Je peux t'embrasser ?

Il hoche la tête en me regardant droit dans les yeux. Et c'est sans se lâcher du regard que nos lèvres se frôlent et s'avalent finalement. Je retrouve la chaleur de ses lèvres humides, et notre danse reprend là où elle s'était arrêté. Cette fois je prends son visage dans mes mains et intensifie notre baiser dès le début.

J'ai l'impression d'être devenue un drogué, chaque centimètre de sa peau me rend plus dépendant de lui.

Depuis le départ il était resté relativement immobile, mais là je sens son visage s'avancer un peu plus pour laisser sa langue se glisser entre nos lèvres. J'ouvre ma bouche pour lui céder le passage en m'avançant complètement contre Nathan, qui lâche un gémissement. Pourquoi ? Je crois que je me suis frotté à son entre-jambe sans faire exprès...

Toujours aussi assoiffé, je recommence mon mouvement de bassin et me frotte de nouveau. Mon vis à vis lâche un nouveau gémissement de plaisir qui vient glisser jusqu'au creux de mon oreille.

Oh mon dieu, même sa voix est suave...

Désireux de l'entendre plus fort, mes mains tombent jusqu'à son pantalon et viennent malaxer son sexe à travers le tissus. Je vois alors, du coin de l' œil, les doigts de Nathan se crisper et empoigner le tissus de sa couverture. Ses yeux se ferment pour mieux ressentir mes doigts se fermer autour de son sexe durcis. Je laisse quelques millimètres entre nos deux bouches pour profiter pleinement de ses petits cris presque obscènes. Très vite, nos corps comprennent que nos envies sont maintenant trop grande pour être contenu, alors on tombe l'un sur l'autre. Je me penche au dessus du visage de Nathan, qui est à présent bien rouge, et reprend tout de suite ses lèvres entre les miennes.

Je veux plus, toujours plus...

Je lâche finalement ses bouts de chair, rougit par notre baiser, et lui retire son pantalon. Je me replace ensuite entre ses jambes et les posent sur mes cuisses, autour de mes hanches. Il ne reste plus que son caleçon sur son corps divin... Il me regarde toujours avec ses yeux cyan, qui semblent me hurler de continuer sur ma lancé. Ma bouche répond à ses prières et vient embrasser son cou. Je le lèche et me met même à le mordre pendant que je continue à malaxer son sexe gonflé. Nathan gémis mon prénom, j'ai faillit ne pas l'entendre... Je lève les yeux vers lui, mais pour toute réponse il me caresse l'arrière de la tête et me dit :

-Continue s'il te plaît...

Mon dieu qu'est ce qu'il est beau... Je me redresse et vient l'embrasser doucement. J'y met tout mon cœur et retourne embrasser son corps. Je commence par son cou, mais je descends ensuite lentement vers son buste.

Tout son corps ondule sous mes caresses et mes baisers.

Et très vite ma langue glisse dans le creux de sa hanche, le long de son aine et finit par rencontrer son caleçon. Le temps que je réagisse, Nathan s'est déjà relevé pour l'enlever. Son sexe dressé est enfin sous mes yeux.

Je dois faire comme les meufs dans les pornos ? Bon...

Je pose mes lèvres sur le dessus de son membre chaud, et prend la moitié dans ma bouche. Alors, Nathan se tend et il gémis plus fort que les autres fois :

-Aanh...

Je lève les yeux vers lui pour l'observer gémir à mes coups de langue et mes mouvement de bouche. J'essaie de m'appliquer et de trouver les gestes qui le font le plus gémir. Ma capacité d'autodidacte et de personne qui apprends très vite me sont enfin utiles.

Sans m'en rendre compte je laisse couler de la bave de ma bouche qui roule lentement jusqu'à son trou. Un de ses bras passe alors dans son dos et descend contre son intimité humidifiée. Je me recule un peu et le regarde faire. Pendant que je le masturbe, il s'insère un doigt et se cambre au fur et à mesure que son doigt s'enfonce.

Curieux, je soulève ses cuisses et lui demande :

-Ça te fais du bien ?

Entre deux respirations il souffle un petit « Oui. ». Je lui redemande après avoir embrasser son bas ventre :

-Tu veux que je le fasse ?

Nathan gémis cette fois un « Oui ! » plus appuyé, alors dès qu'il retire son doigt j'enfonce le mien plutôt rapidement. Il se cambre soudainement et grogne presque.

Je crois que le voir autant réagir à mon touché me rend fou car je commence à faire de rapide allers-retours en lui. Et plus je le fait, plus je bande aussi de mon côté...

Son corps se crispe encore et il gémis un peu plus bruyamment. Ses cuisses se contractent et son bassin commence à onduler dans le vide. Ses abdos se creusent et s'effacent doucement tour à tour pendant que ses gémissements m'en demandent plus. Je suis tellement excité que mon bassin ondule lui aussi. Et plus la peau de Nathan rougit et plus mon corps le désir.

Alors je lâche tout et me retire même de son intimité brusquement. Je me redresse et colle mon entre-jambe à ses fesses. Je profite un instant de ce corps encore chaud et cambré par mon touché. Il respire bruyamment en me regardant, les joues rouges et les lèvres languissantes. Je pose mes mains sur ses cuisses et les fait glisser sur ses hanches, puis sa taille. Une fois sur sa taille, je l'empoigne et le tire bien contre moi. Nathan se mord les lèvres et me demande, impatient :

-Tu veux rentrer ?

Je demande, un peu perdu :

-Où ?

Mon vis à vis explose de rire et dit :

-Hahaaa attends tu m'as chauffé à ce point mais tu n'avais aucune idée de ce que tu faisait depuis le début ??

-Bah...oui...je l'ai mal fait ?

-Ah non non ! Tu as été parfait ! C'est pour ça que ça m'étonne que tu me demande ça...

-Ah...

Il se redresse et m'appelle doucement :

-Hyo-Jin...

Il est maintenant assis, le nez contre le mien, et il me dit d'une voix douce :

-...y a aucune honte à pas savoir comment faire. Regarde toi tu m'as appris à dessiner...

-J'en ai pas trop eu le temps.

-Oui, oui, je sais ! Mais on a tout notre temps ! Laisse moi t'apprendre ces choses en retour...

Toujours à l'ouest je lui répond quand même :

-D'accord.

Il m'allonge sur le dos et dit en se mettant à cheval sur mon bassin :

-Je vais te montrer.

Les yeux grand ouvert, je le regarde faire. Il prends mon membre, déjà bien dressé, dans sa main et place son bassin au dessus de celui-ci.

Puis, lentement, tout son corps descend et mon gland finit par rencontrer son intimité. J'ai l'impression que mon bassin se lève tout seul...comme si il était attiré comme un aimant vers son trou. Petit à petit, Nathan s'assoit sur mon sexe en apportant la peau de ce dernier vers le bas. J'entrouvre mes lèvres pour laisser s'échapper un long râle de plaisir, tout en regardant sa peau s'écarter pour laisser passer mon sexe.

C'est...incroyable...

Ma muse gémis de douleur et se crispe, mais s'empale complètement sur mon membre. Dès qu'il est assis, il s'immobilise et reste un moment penché en avant, à tenter de se calmer.

Moi j'ai du mal à revenir sur terre, la sensation est folle !