One shot 02: Orgie tentacules
Chérone Parker, 20 ans, se trouvait dans une situation pour le moins bizarre. Si seulement elle avait su que cela se terminerait de la sorte, peut-être aurait-elle agi de façon totalement différente. Maintenant que cette chose rentrait de force dans sa bouche, il était désormais beaucoup trop tard.
Quelques heures plus tôt
Chérone était une étudiante de deuxième année en communication des organisations. En parallèle, la jeune femme prenait également des cours de langues telles que l’anglais, le japonais, ou encore l’italien. Sa vie était donc rythmée par les études et le travail. Cependant, elle trouvait le temps de se détendre en suivant quelques animés, en sortant avec ses amis, et en faisant quelques fois la fête.
La jeune femme se trouvait donc dans un coin tranquille de la bibliothèque de son université et lisait un livre parmi la pile qui était à ses côtés. Elle prenait également des notes, se préparant pour ses examens finaux qui se dérouleraient dans quelques semaines. Pendant près d’une heure, Chérone lut une partie du contenu de son lit et écrivait tout ce qui lui semblait important de retenir dans son cahier. Tout d’un coup, une envie pressante s’empara d’elle. Mademoiselle Parker se leva donc de son siège et prit la direction des toilettes.
Quelques minutes plus tard, alors qu’elle sortait des cabinets et retournait à sa place, quelque chose attira l’attention de Chérone. Il s’agissait d’un livre qui avait été mal placé dans une des étagères de la bibliothèque. La jeune femme se dirigeait donc vers ce dernier pour le remettre en place, se disant à ce moment qu’il risquerait de tomber par terre. Alors que la demoiselle attrapait l’ouvrage, elle ne put s’empêcher de l’admirer. En effet, la couverture de ce dernier était faite dans ce qui ressemblait à du cuir. Il y avait également d’étranges inscriptions gravées dessus. Chose curieuse, mademoiselle Parker semblait ne pas pouvoir détourner son attention de ce livre. C’était comme si elle entendait une petite voix dans sa tête qui lui disait de le conserver. Finalement, après avoir scruté cet ouvrage pendant plusieurs minutes, elle décida de le prendre avec elle.
De retour sur son lieu de travail, la jeune femme rangea discrètement le livre qu’elle venait de trouver dans son sac à dos et se reprit ensuite sa séance de lecture. Au bout de quelques minutes, Chérone n’arrivait plus à se concentrer, la petite voix dans sa tête l’empêchait de le faire. Tout son esprit était focalisé sur l’objet qui se trouvait dans son sac à dos. Elle était curieuse de savoir ce qui était inscrit à l’intérieur. Mademoiselle Parker cessa donc ce qu’elle fait et tourna son regard vers le bas de sa chaise. Alors que sa main s’approchait de plus en plus de son sac, la jeune femme s’arrêta brusquement. Quelque chose lui dit de ne pas essayer d’ouvrir ce livre en ces lieux.
Parker se retint donc et rétracta sa main. Elle attrapa ensuite son cahier, ses livres, et ses autres affaires qu’elle rangea soigneusement dans son sac. Elle se leva par la suite, quitta la bibliothèque, puis partit en direction de sa chambre.
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Le campus dans lequel Chérone étudiait était gigantesque, faisant au minimum la taille de tout un quartier. À cause de cela, un système de transport composé de nombreux bus dédiés uniquement aux étudiants avait été mis en place par les instances de l’université. Mademoiselle Parker monta donc dans le véhicule mis à leur disposition et donc le prochain arrêt se trouvait non loin de son domicile. Grâce à cela, la jeune femme arriva chez elle en moins de dix minutes.
Tandis qu’elle se trouvait devant la porte de son logement, Chérone entendit un drôle de bruit en provenance de l’extérieur. Elle se dit alors que cela devait venir de Véronica Brook, sa colocataire de 22 ans avec qui elle vivait depuis quelques mois déjà. Les deux femmes s’entendaient bien même si mademoiselle Parker n’appréciait pas certains traits de sa personnalité, notamment les bruits qu’elle faisait lorsqu’elle amenait des garçons dans sa chambre. Hormis cela, Chérone n’avait rien à redire sur son comportement.
La jeune femme ouvrit finalement la porte de son domicile et rentra à l’intérieur. Malheureusement pour elle, lorsqu’elle mit les pieds dans leur séjour, elle tomba nez à nez avec sa colocataire complètement dénudée qui chevauchait un jeune homme dans leur canapé. Chérone était sous le choc vis-à-vis de ce qui se passait devant ses yeux. Comment Véronica pouvait-elle se permettre de faire ça dans un endroit pareil et de surcroit dans le canapé dans lequel tout le monde s’asseyait ?
- La porte ! Ferme la porte ! s’exclama soudainement mademoiselle Brook.
Chérone s’exécuta et ferma la porte. Elle voulut ensuite avoir une conversation très sérieuse avec sa colocataire vis-à-vis de son comportement actuel, mais trouva que ce n’était pas le moment opportun. Dès lors, la jeune femme prit la direction de sa chambre tout en évitant le plus possible de jeter un coup d’œil au couple dans le grand fauteuil.
Mademoiselle Parker déposa son sac à dos au pied de son lit, puis se coucha sur ce dernier. Elle n’en revenait toujours pas que sa colocataire osait avoir des relations sexuelles dans leur séjour au lieu de le faire dans sa chambre. Il s’agissait tout de même d’une pièce qu’elle fréquentait régulière. Que se serait-il passé si elle avait croisé un de ses amis sur le chemin du retour et l’avait invité à venir boire un verre ? Aurait-elle seulement pu le ou la regarder en face après cela ? Alors que toutes ces questions traversaient l’esprit de la demoiselle, Chérone se dit qu’il serait temps que Véronica et elle établissent certaines règles vis-à-vis des espaces communs de leur domicile.
Quelques minutes s’écoulèrent et l’esprit de Chérone se focalisa de plus en plus sur ce qui l’avait poussé à rentrer plus tôt chez elle. La jeune femme se redressa donc, attrapa son sac, et en sortit l’étrange livre. Tandis qu’elle le touchait à nouveau, mademoiselle Parker ne pouvait s’empêcher d’éprouver de drôles de sensation. Non seulement cet ouvrage était différent des autres au toucher, mais Chérone était mystérieusement attirée par ce dernier. Elle essaya alors de l’ouvrir, mais chose curieuse, elle n’y parvint pas. Elle avait beau user de toutes ses forces, la couverture refusait de bouger d’un centimètre.
La jeune femme était confuse. Le livre ne possédait aucun verrou. Dès lors, une chose pareille n’était pas censée se dérouler. Tout d’un coup, alors qu’elle passait son pouce sur les bords de la couverture, mademoiselle Parker se blessa. Chérone retira immédiatement son doigt qu’elle plaça par la suite dans sa bouche. Elle ne comprenait pas ce qui venait de se passer et, lorsqu’elle regarda l’endroit où elle s’était coupée, aucune trace de sang n’était visible. La jeune femme était encore plus confuse que précédemment.
Cependant, ce n’était rien à côté de ce qui se produisit juste après. En effet, un son particulier retentit soudainement dans la chambre de la jeune femme. C’était comme si quelqu’un venait brusquement d’expirer profondément. Par la suite, l’ouvrage qui était précédemment verrouillé s’ouvrit sans l’intervention de Chérone. Une personne normale, en voyant ces drôles de phénomènes, aurait sans aucun doute tout fait pour se débarrasser de cet objet, mais ce n’était pas le cas de mademoiselle Parker. Elle était beaucoup trop curieuse de savoir ce qu’il contenait.
La jeune femme ouvrit donc le livre et se mit à tourner ses pages. Celui-ci était de dessins et d’écrits qu’elle ne comprenait pas. Chérone se dit alors que cela devait être du latin ou une langue assez proche. Tandis qu’elle continuait de tourner les pages, son attention s’arrêta sur une en particulier. Sur cette dernière, on pouvait clairement distinguer une sorte de tache graisseuse laissée par la main d’une personne. Il y avait également une petite zone sur laquelle était marquée « Ne pas lire à haute voix ».
Mademoiselle Parker trouva cela très amusant. Elle se disait que la personne qui avait laissé ça sur cette page s’était sûrement crue dans un film d’horreur du genre surnaturel. Malheureusement pour celle-ci, ce n’était pas une chose en laquelle Chérone croyait. L’horreur existait bel et bien, mais cela prenait la forme de détraqués s’en prenant à d’autres personnes parfois sans aucune raison. Cela n’avait rien de surnaturel, il s’agissait juste des esprits dérangés des hommes.
Pour se prouver qu’elle avait raison, la jeune femme fit tout le contraire de ce qui était marqué sur la page et lut le texte à haute voix. Pendant près de deux minutes, elle se débrouilla pour prononcer chaque mot tout en espérant que sa prononciation était la bonne. Arrivée à la fin du texte, elle patienta quelques secondes pour voir si quelque chose allait finalement se produire.
- Rien de surnaturel comme je le pensais, déclara-t-elle alors que rien ne se produisait.
La jeune femme déposa alors l’ouvrage sur son lit, se demandant par la même occasion pourquoi elle avait perdu son temps pour faire des choses aussi inutiles. Elle se leva ensuite et partit en direction de la cuisine pour se faire quelque chose à manger. Toutefois, au moment où elle s’apprêtait à ouvrir la porte de sa chambre, elle se souvint que Véronica se trouvait toujours dans le séjour, ce qui la dissuada instantanément. Chérone décida donc d’attendre qu’ils finissent leur petite affaire avant d’aller se faire à manger.
Au moment où mademoiselle Parker se retrouva en direction de son lit, elle se rendit compte que quelque chose avait changé dans la pièce. En effet, un immense pentagramme était désormais dessiné sur le sol de sa chambre. Cette soudaine apparition suffit amplement à faire peur à la jeune femme qui voulut immédiatement sortir de la pièce. Malheureusement pour elle, au moment où elle s’apprêtait à saisir la poignée de la porte, quelque chose vint l’attraper par le bras.
Un tentacule ! Chérone fut brusquement triée vers en arrière par un tentacule. La jeune femme se retrouvait désormais dans une situation digne du plus mauvais des hentais. Mademoiselle Parker voulut alors hurler afin que Véronica et le jeune homme avec qui elle se trouvait lui viennent en aider. Malheureusement pour elle, au moment de s’exécuter, un nouveau tentacule l’empêcha de le faire en s’enroulant autour de sa bouche. Chérone fut progressivement entourée par ces choses, ce qui eut pour conséquence de la priver progressivement de tout mouvement.
Alors qu’elle se trouvait à près d’un mètre du sol, la jeune femme put finalement voir d’où ces monstruosités provenaient. Le pentagramme qui était apparu quelques instants plus tôt était l’origine de ces choses. Chérone venait tout juste de comprendre qu’en prononçant les écrits du livre à haute voix, elle avait involontairement créé une sorte de portail d’où ces tentacules sortaient.
Tandis que des tentacules se frayaient un chemin sous ses vêtements, mademoiselle Parker commençait à régler ses actions. Si elle avait su qu’elle finirait dans une telle situation, elle ne se serait jamais arrêtée pour essayer de remettre ce « maudit » en place. Désormais, il était beaucoup trop tard. Elle allait devoir subir les conséquences de ses actes.
Des larmes se mirent à couler le long du visage de Chérone tandis que deux des tentacules se trouvaient dorénavant dans sa petite culotte. Tout d’un coup, ces derniers déchirèrent chacun de ses vêtements, dénudant la jeune femme au passage. Certaines de ces choses se frottèrent ensuite contre le clitoris et la poitrine de mademoiselle Parker durant de nombreuses minutes, ce qu’elle trouva humiliant et dégradant.
Après une certaine période de temps, le tentacule qui s’amusait avec l’entrejambe de Chérone s’arrêta brusquement. Les jambes de mademoiselle Parker furent ensuite écartées contre son gré. Juste après, la jeune femme écarquilla grandement les yeux alors qu’elle sentait une de ces choses se frayer un chemin en elle. C’était une expérience très douloureuse, le tentacule étant assez gros. Cela provoqua un certain inconfort, ainsi qu’une légère coulée de sang. Un autre tentacule décida de s’attaquer au cul de la demoiselle tandis qu’une troisième se faufilait doucement dans sa bouche.
Les trois orifices de Chérone étant désormais occupés, les mouvements de va-et-vient ne tardèrent pas. La jeune femme se retrouvait dans une sorte d’orgie tentaculaire dans laquelle chaque action était tout aussi douloureuse que la précédente. La chose dans son vagin s’enfonçait si profondément en elle que cette dernière rentrait en contact avec son utérus, ce qui eut pour conséquence de gonfler légèrement le ventre de mademoiselle Parker à chaque passage.
Des autres côtés, ce n’était pas mieux. Chérone n’étant pas une adepte des pratiques anales, la douleur qu’elle ressentait à chaque mouvement de va-et-vient ne pouvait pas être définie avec de simples mots. Elle avait l’impression que son cul allait se déchirer d’un instant à l’autre. C’était vraiment atroce. Seule la bouche de la jeune femme était plus ou moins épargnée, Parker ne subissant qu’une gorge profonde une fois sur quatre. Néanmoins, cela restait extrêmement désagréable.
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Pendant que Chérone se faisait pénétrer par tous les orifices dans sa chambre et avait désespérément besoin d’aide, Véronica se trouvait à quelques mètres d’elle dans leur séjour. Elle et son partenaire du moment s’amusaient tous les deux. La jeune femme était assise sur lui et faisait des mouvements de va-et-vient effrénés. D’ailleurs, elle mettait tellement d’entrain dans ses gestes que son partenaire sentait qu’il n’allait plus tenir bien longtemps.
Mademoiselle Brook chevauchait le pénis du jeune homme si comme s’il s’agissait de la dernière chose qu’elle ferait sur terre. Il fallait dire que Véronica aimait beaucoup ce genre de pratique. C’était sa manière à elle de se détendre. Malheureusement pour son partenaire, cela voulait également dire que son appétit était plus ou moins insatiable et qu’il allait devoir tenir sur la durée, ce qui allait s’avérer impossible. En effet, au bout de quelques minutes, il lui demanda de ralentir un peu.
Véronica fit tout le contraire de ce qui lui avait été demandé. Il était hors de question pour elle de ralentir alors que son corps commençait à peine à éprouver de bonnes sensations. Elle lui répondit de tenir le coup, qu’il pouvait le faire. La jeune femme maintint donc son rythme infernal, ce qui eut de très mauvaises conséquences pour son partenaire et elle. En effet, ne pouvant plus résister à ses mouvements va-et-vient, le jeune homme fit par lâcher un profond soupir avant de déverser tout son liquide blanchâtre à l’intérieur de la mademoiselle Brook.
Véronica était extrêmement déçue des performances du jeune homme. Elle n’arrivait pas à croire que ce dernier venait de jouir en elle alors que cela ne faisait même pas trente minutes qu’ils avaient commencé à le faire. La jeune femme exécuta donc un tout dernier mouvement de va-et-vient avant de retirer définitivement le pénis de son partenaire de son vagin. Elle se redressa ensuite et partit se servir un verre d’eau dans la cuisine.
Alors qu’il respirait fortement, le jeune homme sut qu’il avait merdé, que Véronica allait l’en vouloir pour cette mauvaise performance. Mais était-ce vraiment de sa faute ? Tenir des heures avec une personne aussi vigoureuse que mademoiselle Brook était une tâche beaucoup trop ardue pour lui. Néanmoins, après mure réflexion, il se rendit compte qu’il n’avait pas besoin de s’inquiéter vis-à-vis de ce qui s’était passé. Il n’avait qu’à attendre quelques minutes, le temps de récupérer, et de repartir pour un second round. Cette fois, il comptait bien lui montrer de quoi il était capable.
Le jeune homme se leva à son tour du canapé et alla rejoindre mademoiselle Brook dans la cuisine.
- Écoute…, dit-il.
- Je pense qu’il vaudrait mieux que tu rentres chez toi, rétorqua soudainement la jeune femme en l’interrompant.
- S’il te plait, Véronica. Ne fais pas ça, ne me chasse pas.
- Te chasser ? Je ne vois absolument pas de quoi tu parles. Si je te demande de partir, c’est parce que j’ai du travail à faire. En plus, je dois aller m’excuser auprès de Chérone pour ce qu’elle a vu. Je te parie qu’elle est actuellement dans tous ses états.
Il était clair que mademoiselle Brook l’en voulait énormément pour sa mauvaise performance et cherchait juste des excuses pour ne pas l’avouer. Néanmoins, le jeune homme ne comprenait pas pourquoi elle prenait une décision aussi radicale. Il suffisait qu’il se repose un tout petit peu et il pourrait lui donner ce qu’elle désire. Ce qu’il ignorait malheureusement était que la jeune femme n’aimait pas attendre, d’autant plus que dans cette situation, sa libido diminuerait énormément. D’ailleurs, elle était déjà en train de baisser.
Véronica déposa la bouteille d’eau qu’elle tenait dans la main et le regarda droit dans les yeux avant de détourner temporairement son regard vers la porte de sortie. Le jeune homme comprit alors que c’était une manière pour elle de lui dire de s’en aller immédiatement.
- OK, je vais donc te laisser travailler. On s’appelle alors, dit-il.
- C’est plutôt moi qui vais t’appeler, rectifia mademoiselle Brook.
Un soupçon de déception pouvait se lire dans le regard du jeune homme tandis qu’il partait récupérer ses affaires au pied du canapé. Véronica, quant à elle, resta sur sa position pendant qu’il se rhabillait.
- Bon, j’y vais. Passe une bonne journée, déclara-t-il.
- Hum ! Hum ! dit-elle en secouant la tête et en affichant un faux sourire.
Maintenant qu’elle se retrouvait toute seule, mademoiselle Brook pouvait finalement exprimer sa déception. Cela l’énervait énormément. Elle avait l’impression d’être maudite, ne trouvant pas de véritable mec capable de tenir sur la durée. Si la situation se poursuivait, la jeune femme envisageait de recourir à une alternative à savoir l’achat de quelques jouets. Le problème que cette solution posait cependant venait du fait que ce n’était pas naturel, qu’il manquait cette essence qui faisait d’une relation sexuelle un pur moment de plaisir. C’était l’une des raisons pour lesquelles elle avait du mal à sauter le pas.
Alors que mademoiselle Brook réfléchissait sur sa vie, le bruit de plusieurs objets tombant à même le sol retentit soudainement, la ramenant par la même occasion dans le monde réel. Celui-ci provenait de la chambre de Chérone, ce qui rappela à Véronica qu’elle devait aller s’excuser auprès d’elle vis-à-vis de son récent comportement. La jeune femme se leva donc et partit frapper à la porte de la chambre.
- Chérone, t’as un petit moment ? dit-elle avant d’ouvrir.
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Chérone pleurait de moins en moins. Ses jambes étaient grandement écartées et son vagin, son cul, et sa bouche étaient occupés par d’énormes tentacules. De plus, elle éprouvait à ce moment des sentiments partagés. En effet, non seulement mademoiselle Parker détestait ce qui lui arrivait présentement, mais elle haïssait encore plus le fait que son corps appréciait de plus en plus de se faire violenter de la sorte. Par conséquent, la douleur qu’elle avait ressentie quelques minutes auparavant s’était progressivement transformée. Chaque mouvement de va-et-vient des tentacules l’enfonçait petit à petit dans une spirale de plaisir insoupçonné.
Lorsqu’elle se fit pénétrer pour la toute première fois quelques minutes auparavant, elle n’aurait jamais cru qu’elle viendrait à apprécier cela. Son corps, tendu à cause du stress provoqué par la soudaine apparition de ces choses, finit par se relaxer et profiter de ce que ce livre avait à lui offrir.
Les tentacules plaquèrent la jeune femme contre une des commodes, ce qui fit tomber par terre les livres qui se trouvaient dessus, avant de soudainement la plaquer sur le sol. Chérone se retrouvait désormais avec son cul faisant des aller-retour entre les airs et le plancher. Quelques instants plus tard, Véronica frappa à la porte de mademoiselle Parker. Lorsque cette dernière l’ouvrit, elle tomba nez à nez avec sa colocataire qui se faisait pénétrer par tous les orifices.
Le choc et l’effroi pouvaient clairement se lire sur le visage de Véronica. Elle ne comprenait absolument pas ce qui se déroulait devant ses yeux. Jusqu’à ce moment précis, la jeune femme croyait que la scène à laquelle elle assistait ne se trouvait que dans les hentais. Malheureusement pour elle, mademoiselle Brook allait subir le même destin que sa colocataire. En effet, à peine avait-elle ouvert la porte qu’un des tentacules se précipita vers elle, la saisit par le bras, et la tira à l’intérieur de la pièce. Elle voulut alors crier à l’aider, mais comme son amie, un autre tentacule vint directement se loger dans sa bouche, l’empêchant donc de le faire.
Véronica tenta tant bien que mal de se débattre, ne voulant pas finir comme Chérone qui commençait visiblement à perdre la tête sous l’effet du plaisir. Malheureusement pour elle, c’était peine perdue. Elle se fit facilement dominer par la multitude de tentacules qui la privèrent progressivement de ses mouvements. La jeune femme les sentit alors se frayait un chemin dans son vagin et dans son cul. Ce fut surtout ce dernier qui fut extrêmement douloureux. En effet, ces choses étant assez grosses, la pénétration se fit de manière assez brutale avec une certaine coulée sanguine. Centimètre après centimètre, le cul de mademoiselle Brook s’écartait pour laisser une chose ayant presque la même circonférence qu’une petite bouteille de jus en plastique.
Mademoiselle Brook avait mal, d’ailleurs elle n’avait jamais eu aussi mal de toute sa vie. Elle essaya de crier à de nombreuses reprises, mais rien à faire, le tentacule qu’elle avait dans la bouche l’en empêchait. Tandis que ces choses s’enfonçaient un peu plus en elle, la jeune femme ne pouvait s’empêcher de se sentir ballonnée. Elle avait l’impression qu’un de ces tentacules était directement passé de son vagin à son ventre.
De son côté, Chérone avait succombé depuis quelques minutes. Elle n’essayait plus de résister aux tentacules et préférait désormais se laisser faire. Tout son corps réagit alors en conséquence tandis qu’elle découvrait de toutes nouvelles sensations. Ses yeux se révulsèrent également à mesure que l’intensité du plaisir augmentait. Si elle aussi n’avait pas une de ces choses dans sa bouche, sa chambre aurait sans doute été remplie par ses hurlements de plaisir.
Alors qu’elle jetait un coup d’œil à sa colocataire, espérant peut-être qu’elle l’aide à se sortir de là, Véronica constata que cette dernière s’était complètement laissée aller. Elle ne pouvait donc compter que sur elle-même. Cependant, que pouvait-elle bien faire dans cette situation ? Il n’y avait aucun moyen pour elle d’échapper à cette chose qui portait atteinte à son corps. La seule chose qu’elle pouvait désormais faire était de se laisser aller comme Chérone.
Une vingtaine de minutes s’écoula et mademoiselle Parker n’était plus vraiment des nôtres. Son esprit avait commencé à s’élever vers des cieux supérieurs tandis que son corps était resté dans sa chambre, tremblant comme une feuille fragile secouée dans tous les sens par le vent. De son côté, Véronica avait de moins en moins mal. Elle qui, quelques dizaines de minutes auparavant, avait souhaité avoir une véritable relation sexuelle avait désormais un aperçu de ce que c’était. Elle appréciait de plus en plus la situation dans laquelle elle se trouvait et souhaitait même que cela ne s’arrête jamais.
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Cela faisait déjà près de trois heures que les deux femmes se faisaient pénétrer par une armée de tentacules. Elles n’étaient plus celles qu’elles étaient au départ. Leur esprit avait disparu depuis longtemps, ne laissant derrière qu’un corps désirant uniquement éprouver du plaisir. Quelques instants plus tard, un des tentacules disparut soudainement. Moins de deux secondes plus tard, ce fut au tour d’un autre. Le phénomène se poursuivit jusqu’à ce qu’il n’en reste plus que trois, ceux qui se trouvaient respectivement dans la bouche, le vagin, et le cul des jeunes femmes.
Finalement, comme les précédents, les derniers tentacules disparurent à leur tour, laissant derrière eux une Chérone et une Véronica complètement épuisée. Après autant d’heures de pénétration anale, buccale, et vaginale, les deux femmes se retrouvaient désormais dans l’incapacité de faire le moindre mouvement. De ce fait, elles passèrent les heures suivantes sur le plancher de la chambre, oscillant entre phase d’éveil et phase de sommeil.
Aux alentours de minuit, Chérone et Véronica eurent enfin assez de force pour s’assoir. Les deux femmes se regardèrent ensuite en silence, beaucoup trop honteuses pour parler de ce qui s’était passé durant l’après-midi. Quelques instants plus tard, mademoiselle Brook se leva et quitta la pièce.
Parker resta encore quelques minutes assise sur le sol. Tandis que son regard était vitreux, la jeune femme se rendit compte que le pentagramme n’était plus présent sur son plancher. Ce dernier avait dû disparaitre en même temps que les tentacules. Elle jeta ensuite un coup d’œil au livre qui se trouvait sur lit et se demandait ce qu’elle allait bien pouvoir faire de ça. Devait-elle le remettre à l’endroit où elle l’avait trouvé ? Si elle le faisait, ne prenait-elle pas le risque que quelqu’un d’autre le trouve et finisse dans le même état ? Elle ne savait pas comment agir. Quoi qu’il en soit, réfléchir sur ça ne lui servirait à rien en ce moment. Il était déjà minuit, la bibliothèque était donc déjà fermée. Elle allait donc devoir de garder cette nuit.
Ce fut donc avec beaucoup de difficultés que Chérone finit par se redresser. Ses jambes étaient faibles et avaient beaucoup de mal à la porter. Néanmoins, elle fit de son mieux pour se diriger vers sa salle de bain où elle espérait prendre une bonne douche. À l’avenir, elle ferait beaucoup attention aux vieux ouvrages contenant des textes en latin.
Fin !!!
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