ATTENTION : Il s'agit d'une histoire érotique/porno légale.
Néanmoins, les âges des protagonistes ne sont pas précisés dans le texte et laissent ainsi libre court à vos fantasmes les plus osés.
L'histoire est à continuer selon vos désirs. J'attends vos commentaires.
Si cela ne vous plaît pas, passez votre chemin.
Lecture interdite aux moins de 18 ans !

Juin 2019.

Il m'est impossible de fermer l'œil... La chaleur humide de cette saloperie de canicule devient oppressante comme jamais.

Debout dans l'appartement parisien que nous venons d'acheter avec Cara, je m'avale trois verres d'eau du robinet à la suite tout en jetant un œil sur l'horloge de la cuisine. Elle est presque chaude. L'eau, pas la pendule... quoique sans doute aussi. Il est 2h30. J'ai l'impression, tout à coup, que l'absorption du liquide a instantanément transformé mon épiderme en gouttelettes de sueur. Je transpire comme un cochon. Pardon, une cochonne.

Cara est ma femme – vous l'aviez deviné. Ma nouvelle compagne et désormais officielle. Nous nous sommes mariées l'an dernier. Merci Madame Taubira.

Sur le retour vers notre lit, je distingue un fin rai de lumière dans le montant de la porte de la chambre d'Erwann, le fils de Cara. Que peut-il encore bien faire à cette heure tardive ? Il doit sans doute faire des révisions de dernière minute pour son examen. Peut-être s'est-il endormi la lumière allumée ? Je réalise qu'elle ne semble toutefois pas assez vive.

Tout doucement pour qu'elle ne grince pas, très lentement, je pousse la porte.

Erwy – c'est son surnom – est né d'un précédent mariage de Cara. Une époque où la vie lui avait fait rencontrer un homme d'affaires important. Suffisamment riche pour lui apporter, au moment du divorce, la quasi totalité du montant de l'appartement que nous occupons aujourd'hui. Ils avaient vécu quelques années ensemble, avant de comprendre qu'ils n'étaient pas heureux, qu'elle ne l'aimait plus. Que les choses devaient changer. Elle s'était découverte une passion tardive pour les femmes, et semblait avoir rattrapé tout le temps perdu avec ses conquêtes masculines pour se lâcher dans de nombreux endroits lesbiens. Je pense que j'ai eu la chance et le bonheur après plusieurs mois de flirts, de comprendre que j'étais celle avec qui elle souhaitait passer sa vie.

La porte ne fait aucun bruit. Curieuse, je regarde alors quelques instants en direction du lit. Je ne le vois pas. La lampe de chevet est éteinte. Je pense donc instantanément qu'il doit être devant sa console, à jouer à un jeu très prenant comme il en a l'habitude. Sacré technologie. Quand je pense que j'ai été élevée quasiment dans une cellule monastique, en pleine URSS post-informatique.

Erwann est devant son ordinateur, d'où la lumière bleutée, et non pas sa console, en train de mater un film, écouteurs sur les oreilles,... et complètement nu ! Mais qu’est-ce qu’il fait, en pleine nuit, à poil devant l’ordi et en plus dans une posture pour le moins équivoque ? Assis dans son fauteuil, cuisses ouvertes, les talons posés sur le bureau…

Qu’il soit tout nu, par une telle chaleur, je peux comprendre. Moi même je suis à poil ! Mais cette position… et… et en plus il se caresse ?! Je n’y crois pas !!!

Qu'est-ce que je fais ? J’interviens ? Je ne dis rien ? Je retourne me coucher ? Et puis, ce n'est pas mon fils. Que faire ?

Je fais un pas dans la chambre…

Avec ses écouteurs, il ne m’entend pas… Je m’approche encore un peu… Je veux juste voir ce qu’il regarde sur son écran ! Oh merde ! il est sur Gayporn ?! Il mate deux mecs, à poil évidemment, et les sexes tout aussi raides que le sien !

Je devrais sortir de la chambre et retourner me coucher… Mais j’avoue, la situation m’intéresse. Je dirais même plus, elle m’excite un peu ! La preuve, j’ai les tétons qui pointent et je sens une chaleur que je connais bien dans le bas ventre !

Erwann, assis derrière son bureau, cuisses écartées, a son sexe en main et l’astique violemment ! Je mate le gland qui sort et qui rentre alternativement du long prépuce. Lui, il mate comme un dingue ! Faut dire que c’est un joli petit lot ces deux garçons sur l'écran ! Il a bon goût le fils de Cara !

Cela m'excite comme pas possible !!! J’ai super honte en fait, mais j’ai trop envie de voir ce qui va se passer ! J'ai l'envie irrésistible d'attendre qu'il râle, et qu'il se finisse.

Debout dans la pénombre d'un coin de la chambre, sans m'en rendre vraiment compte, je lance ma main sur mon sexe et je me caresse doucement en regardant la scène ! Voir sans être vue. La sensation est grisante et d'autant plus excitante qu'il s'agit du fils de ma femme.

Que j'aimerais être à la place de sa main, être entre ses jambes sans qu'il ne le sache pour regarder de plus près, puis pousser ses doigts et peut-être y placer les miens.

Erwann ferme les yeux et renverse la tête en arrière… Il semble adorer ça,... se branler ! J’entends distinctement le bruit de sa masturbation quand, en arrière, sa main tape contre son pubis avant de repartir rapidement dans l'autre sens. Il a l’autre main sur un de ses tétons et joue avec son mamelon…

Oh, comme il est chaud mon beau-fils ! Je n’entends pas ce qu’il perçoit dans son casque, mais visiblement ça l’encourage à y aller plus fort ! Erwann commence à gémir doucement… puis à ouvrir la bouche :

— Hummmmm… Hummmm… Oui…. C’est bon !!! Ohhhh oui !!! Mets-lui ta bite dans le cul !!! Ohhhh comme vous êtes chauds les mecs !!! Vas-y crache bien sur le bout de ta bite avant de l'enculer !!! Ouiiii, nique le bien profond !!! Ohhhh...

Wow comme il se lâche le salaud ! Je suis super excitée ! Je mouille comme une fontaine, rien que d'entendre sa voix, habituellement plus ingénue, dire des insanités ! Moi aussi, j’ai envie d’être remplie ! Ces queues m'hypnotisent, et sa bite m’excite trop !!! Que m'arrive-t-il donc ? Moi qui suis lesbienne depuis des lustres.

— Hummmmm… gémit-il avant de s'arrêter quelques instants de se masturber.

Erwann les yeux exorbités a arrêté de se branler pour ne rien perdre du spectacle de la pénétration des deux acteurs de la vidéo. Sa main se déplace rapidement de son téton à ses testicules qu'il malaxe plus par reflexe, semble-t-il, que par envie, puis poursuit son chemin jusqu'à son anus qu'il se met à caresser... Du moins je le devine, cherchant l'entrée interdite.

— Ohhh Hummmmm... Putain, c’est bon !!! Oh Oui !!! Moi aussi, je l’ai dans le cul ta bite de malade !!!

Hummmm... Erwann m'a mis le feu sans le savoir. J'ai la chatte qui réclame sa part ! Si j’osais, j’irais devant l’écran de l’ordi, je m'agenouillerais pour le regarder de plus près, pour déguster ce qui pourrait peut-être en sortir…

Je fais quoi ? Je dégage ? Je m’approche un peu ??? Je peux plus tenir… Je mate Erwann qui recommence de plus belle à se branler !

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Ami(e)s lecteur(trices), pour la suite, j’ai quelques suggestions à vous proposer… Mais vos idées sont aussi les bienvenues… Faisons un vote.

A - La narratrice se fâche et demande à Erwann d’arrêter immédiatement ces horreurs et de se coucher.

B - Elle décide d’être sage, de quitter la chambre d'Erwann sans faire de bruit et d’aller se coucher.

C - Elle se caresse jusqu’à l’orgasme, mais sans se faire remarquer.

D - Elle ne dit rien, mais en parle à sa femme.

E - Cette histoire est débile, c'est pas possible qu'une lesbienne ait envie de coucher avec le fils homosexuel de sa femme.

F - Autre solution ? Faites vos propositions.