La pause déjeuner
Rendez-vous à l’hôtel. On a une heure.
Tu es à peine dans la chambre que tu la plaques au mur, face contre le mur, lui baisses son pantalon, écartes son string et la sodomises directement. C’est violent et bon à la fois, car le lubrifiant du préservatif aide à glisser ce gland dans ce sphincter étroit.
Tu jouis déjà.
Tu finis de la déshabiller pour la jeter sur le lit. Jambes écartées et relevées, tu la doigtes ... mais là encore avec une telle violence que c’est à la fois bon et violent. Tu sens qu’elle aime ça. Tu y glisses plusieurs doigts jusqu’à ton poignet ... Elle ressent de vives douleurs dans le ventre comme des contractions lors d’un accouchement.
Mais c’est bon et non violent, une fois qu’elle trouve la position idéale pour surélever ses jambes. Tu retires ta main pour introduire ton sexe en érection le plus profondément possible. Votre plaisir est grand ; vous gémissez tous les deux tellement l’excitation est grande. Tu jouis sur elle : ses seins et son ventre sont inondés de sperme chaud.
Elle n’a pas le temps de reprendre son souffle que déjà tu as enfoui ta main en elle tout en jouant avec son petit trou ... Elle reprend sa position idéale et là sans savoir que son va-et-vient produirait cela, elle sent un liquide s’échapper d’entre ses cuisses.
Tu viens de la faire éjaculer. Elle ne connaissait pas cette sensation de plaisir intense de jouissance maximale malgré toute son expérience de vies sexuelles. Tu es ravi de l’effet produit : tu te rhabilles en lui disant « suce moi Salope ». Avant ton départ, elle te suce jusqu’à t’avaler.
Rêve ou réalité ? Réalité ou fantasme ? A faire ou à refaire ?
La prochaine fois, prends le temps de manger. Et elle, consacre-lui plus de temps à un autre moment de la journée !
jFA
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