Là, maintenant, tout de suite
Soirée dans un château avec un escalier comme celui-ci. Je monte un instant dans ma chambre changer un bas que je viens de filer aux toilettes du bas.
En descendant je croise un homme, plus jeune que moi, qui m’accoste là sur l’entre-deux des marches.
« Bonsoir Mademoiselle je vous cherchais. Vous me faites beaucoup d’effets et je me demandais si vous accepteriez un baiser. »
Surprise mais conquise, je tends mes lèvres. Il s’approche de moi et je sens déjà tout son sexe contre le mien. Mes mains attrapent sa tête comme pour empêcher que ce baiser ne s’arrête.
Nos mains cherchent le contact de notre peau. Je sens son gland à travers ma robe, prêt à entrer. J’ose ouvrir son pantalon. Aucune crainte à avoir quant aux éventuels regards : nous sommes dans une soirée très spéciale où chacun doit se sentir libre de ses envies. La règle est uniquement de ne forcer personne et donc respecter les choix et envies des autres.
Je m’assieds sur l’escalier pour le sucer élégamment d’abord, plus sauvagement ensuite quand son pantalon est à ses pieds et que mes mains glissent entre ses cuisses pour jouer avec des testicules pleines.
Son érection n’est que plus grande. Il se penche vers moi pour que ses doigts puissent m'atteindre. Le string gêne un peu mais ses doigts se frayent un chemin pour me faire gémir tellement ils s’enfouissent profondément.
Je relève mes jambes comme pour mieux le sentir et le laisser atteindre mon point G. Il y est. Je gémis plus fort encore. Je perçois des regards sur nous mais peu importe, je savoure ce moment exquis.
Il me laisse glisser des deux marches pour me prendre allongée, là sur le palier intermédiaire. Son sexe est puissant et s’enfonce en moi comme une épée.
Nos coups de reins sont en accord pour atteindre l’orgasme ensemble, en même temps, dans des cris bestiaux tellement c’est fort.
Il se retire d’un coup. Me tend la main pour m’aider à me relever.
Il se met derrière moi, soulève ma robe tout en m’invitant à me pencher en avant. La levrette ainsi est divine. Son doigt joue avec mon petit orifice sentant bien l’effet multiplicateur que cela produit sur moi.
La chaleur ressentie d’un coup marque la fin de ce jeu sexuellement plaisant. Il se retire, me laissant pétrie dans mon plaisir.
Je ne me retourne pas pour ne croiser aucun regard. Je remonte cet escalier si pudique au départ. Me suit-il ? Qui me suit ?
Rêve ou réalité ? Réalité ou fantasme ? À faire ou à refaire ?
La suit quelque part sur le blog ... ou à ton clavier en commentaires
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