L’appétit
Je vous ai peut-être laissé sur votre faim mais laissez-moi vous ouvrir à nouveau l’appétit en écartant mes cuisses pour que votre langue s’immisce dans ma fente humide et luisante.
Que votre doigt joue avec ce clitoris en plein réveil.
Que votre autre doigt prenne la place de votre langue.
Mais n’oubliez pas de laisser un autre doigt entrer car mon appétit est grand surtout quand c’est votre pouce qui compose la mélodie des préliminaires accompagné de ses collègues (pas les vôtres évidemment... quoique ?).
Vous imaginez fort bien que mon corps va frémir, ma voix rauque va se tarir transformant des gémissements en cris aigus.
Mon bassin est déjà actif, mes tétons pointent durs quand vous les happez entre deux coups de main au fond du vagin.
C’est très excitant ... voire très excitant ...
Mes vocalises sont des appels à une intimité plus poussive et excessive.
Mes cris de plaisirs avant ceux de douleurs autant les écouter et laissez donc venir votre verge à l’entrée de ma fleur.
A vivre dans le noir, elle aimera se coulisser à sec le long de mes parois trempées ... celles là même qui enclenchent l’orgasme à celui qui sait y faire avec sa bête sauvage et sensible qui ne demande qu’à s’exprimer ...
Mon cher monsieur, je ne doute pas un instant de votre pouvoir sur mon plaisir et vais finir ma nuit à rêvasser à ce bonheur érectile tout en étant tactile avec mon intimité que vous ne pouvez plus atteindre mais qui reprend bien le chemin de l’abondant nectar car les pointes des seins sont vibration.
jFA
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