Des bisous dans le cou.

Ceux-là même qui à tous les coups vont provoquer des à-coups.

Des soubresauts dans le coeur qui va s’affoler en vue de prendre des coups.

Des coups de langue, des coups de reins, des coups de freins.

Des bisous dans le cou.

Ceux-là même qui vont provoquer la chair de poule sur les bras, qui vont n’avoir qu’envie de t’enlacer pour s’emmêler avant de s’embrasser, avant de s’embraser. Bouche à bouche pour allumer le feu avant de glisser dans le cou.

Une main au cou, effleurant l’oreille, pour finir sa course sur une épaule à peine dénudée qu’il faut révéler à réveiller la bretelle si sexy du bustier.

Une main à l’épaule à glisser sur la poitrine encore masquée qu’il est utile de libérer pour mettre à l’air libre ces tétons pleins de charme.

Charmants tétons que la main s’apprête à caresser, palper, titiller pour que le titillement cavale jusqu’entre les jambes.

• Lesquelles jambes ? Les tiennes ? Les miennes ?
• Chut ! Viens entre mes jambes pour (re)poser tes lèvres dans mon cou et me donner des petits coups au moindre coût. Ce soir c’est tarif spécial : tout est gratuit !

Entremêlés, presque coincés pour la beauté de l’union de deux corps nus que la nature ne cesse d’inviter à la réunion. L’un dans l’autre, la nature est bien faite !

Contraction de vagin pour t’exciter encore plus, pour plus de rythme et plus de puissance de cette danse qui met en transe car tu m’as baisé le cou, tu m’as achevée. Mais n’arrête pas, n’arrête jamais tant que le temps ne décide pas de s’arrêter lui-même.

On est même bien ainsi coincé, collé, serré alors reste entre mes reins, au fond de mon vagin en érection. Aux prochaines élections je voterai pour toi ! Tu seras toujours le vainqueur de mon coeur et de mon corps laissé à l’abandon de nos démons si bons.