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Le colonel Marsha vit son fils qui courut.

« Voici mon fils, l’opération commence dans une semaine selon le Reich. »

« On va tuer ces juifs ! » Cria un soldat.

« La guerre commence et durera longtemps. »

« La guerre ? » Dit son fils surpris.

« Exact, nous sommes en guerre. Mon fils. »

« La rafle du Vel d’Hiv gravera l’histoire à jamais » Selon le Reich.

Natasha se déplaça. Un soldat l’arrêta.

Léo s’interposa.

« Je m’en occupe, je suis le fils du colonel Marsha. »

« Je ne veux pas la voir sortir. »

« Ne vous inquiétez pas. »

Léo s’isola avec Natasha dans les toilettes.

« écoute, tu es en danger. »

« Pourquoi ? »

« Nous sommes en guerre, tu rêves de liberté, moi aussi. J’en ai marre d’être sous le joug de mon père. On s’enfuira loin, on partira au USA. »

« Je suis d’accord. »

« Mais ta mère sera morte et moi je serais un déserteur. Je connais un passage dans ce stade où on peut fuir sans se faire repérer. »

« Je te suivrais. »

« Désolé d’avoir été aussi dur dans la camionnette. »

« Excuse acceptée » Secouais-je ma petite tête.

On sortit des toilettes doucement et nous nous dirigeâmes vers l’endroit secret de la fuite.

Mais il y avait foule de gens.

Des soldats regardèrent partout. Nous nous fîmes tout petits.

Puis je vis ma mère vers l’infirmerie.

« Que lui font-ils ? »

« Test ADN, et voir si elle est malade, allez on se casse de là, viens ! »

« Non ... »

« C’est vous deux où ta mère, choisis vite. »

« Maman … tu vas me manquer. » Murmurais-je.

« Allez bouge-toi ! Ils vont nous voir si tu attends ... »

à la dernière seconde, Léo et Natasha fuirent, le soldat douta de ce qu’il avait vu.

Le colonel chercha son fils.

« Léo ! »

« Colonel, vous avez perdu votre fils ? »

« Oui, j’ai bien peur que ce soit une machination ... »

« Quoi ? »

« On a enlevé mon fils ! Laissez tomber la rafle et ce projet ! »

« On ne peut pas ! Le fürheur sera en colère. »

« Occupez vous du projet, je pars rechercher mon fils coûte que coûte ! »

Le Commandant Gérald Divan arriva.

« Il y a un problème ? »

« En effet, mon fils a disparu. »

« Il s’est sans doute balader. »

« Il est jeune, je ne veux pas d’ennuis »

« C’est vous qui aurez des ennuis, si vous me fuyez du regard ! Vous m’avez compris ? »

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