2.
Le colonel Marsha vit son fils qui courut.
« Voici mon fils, l’opération commence dans une semaine selon le Reich. »
« On va tuer ces juifs ! » Cria un soldat.
« La guerre commence et durera longtemps. »
« La guerre ? » Dit son fils surpris.
« Exact, nous sommes en guerre. Mon fils. »
« La rafle du Vel d’Hiv gravera l’histoire à jamais » Selon le Reich.
Natasha se déplaça. Un soldat l’arrêta.
Léo s’interposa.
« Je m’en occupe, je suis le fils du colonel Marsha. »
« Je ne veux pas la voir sortir. »
« Ne vous inquiétez pas. »
Léo s’isola avec Natasha dans les toilettes.
« écoute, tu es en danger. »
« Pourquoi ? »
« Nous sommes en guerre, tu rêves de liberté, moi aussi. J’en ai marre d’être sous le joug de mon père. On s’enfuira loin, on partira au USA. »
« Je suis d’accord. »
« Mais ta mère sera morte et moi je serais un déserteur. Je connais un passage dans ce stade où on peut fuir sans se faire repérer. »
« Je te suivrais. »
« Désolé d’avoir été aussi dur dans la camionnette. »
« Excuse acceptée » Secouais-je ma petite tête.
On sortit des toilettes doucement et nous nous dirigeâmes vers l’endroit secret de la fuite.
Mais il y avait foule de gens.
Des soldats regardèrent partout. Nous nous fîmes tout petits.
Puis je vis ma mère vers l’infirmerie.
« Que lui font-ils ? »
« Test ADN, et voir si elle est malade, allez on se casse de là, viens ! »
« Non ... »
« C’est vous deux où ta mère, choisis vite. »
« Maman … tu vas me manquer. » Murmurais-je.
« Allez bouge-toi ! Ils vont nous voir si tu attends ... »
à la dernière seconde, Léo et Natasha fuirent, le soldat douta de ce qu’il avait vu.
Le colonel chercha son fils.
« Léo ! »
« Colonel, vous avez perdu votre fils ? »
« Oui, j’ai bien peur que ce soit une machination ... »
« Quoi ? »
« On a enlevé mon fils ! Laissez tomber la rafle et ce projet ! »
« On ne peut pas ! Le fürheur sera en colère. »
« Occupez vous du projet, je pars rechercher mon fils coûte que coûte ! »
Le Commandant Gérald Divan arriva.
« Il y a un problème ? »
« En effet, mon fils a disparu. »
« Il s’est sans doute balader. »
« Il est jeune, je ne veux pas d’ennuis »
« C’est vous qui aurez des ennuis, si vous me fuyez du regard ! Vous m’avez compris ? »
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