5.

Une minute de lecture

Ils ramèrent et virent des canadaires, des avions de guerres. Ils virent une île.

Léo lu « La Havane. »

Ils virent des gens qui fumaient et une autre culture.

« Cuba, pays du président démocratique Fulgencio Batista. »

Les gens nous accueillaient. Ils nous proposèrent leurs cigares.

Léo accepta.

« Natasha ? Tu désires ? »

« Allez … juste une. »

« Non, laisse moi. »

« Tu es désagréable, je te sauve, on rêve de liberté et ... »

« Fais ta crise, je voulais juste être libre. Ma mère … je la reverrais plus jamais. »

« Les enfants … Calmez-vous. »

Un sage au nom de Edgared nous invita.

« Vous être ici, pour liberté ? »

« Car Elle Juive, moi enfant Nazi. »

« Comprendre mieux problématique. »

« Moi vouloir comprendre pourquoi guerre. » Siffla Léo.

« Guerre bêtises humaines pour des races, cela nommé antisémitisme où racisme. »

Nous discutions longuement avec le sage.

Nous voulions comprendre le monde et pourquoi cela.

Cependant … Liedman n’avait pas lâché l’affaire, il s’était arrêté à la Havane et menaça les gens avec un fusil à pompe.

« Je cherche deux jeunes gringalets. »

« Pas ici. »

« Ne cherchez pas à les protéger … La barque est ici. »

Nous et le sage sortions.

« Vous là ! »

« Un soldat Allemand courir après vous. »

« Oui. »

Le commandant tua le sage, les gens furent choqués de la scène.

« Juifs de merde ! » Hurla en riant violemment Liedman.

« Viens .. » tînt la main Léo.

Nos protagonistes s’enfoncèrent dans des marécages.

« Beurk ... » Dit Natasha émue.

« Je ne pensais pas qu’il allait nous suivre comme ça. »

« On est des proies. »

« Commandant Liedman ? »

« Oui, ils ont eu peurs. »

« Tuez-les sur le champs, le Reich est mécontent. Il a votre nom pour cible si vous … échouez. »

« Je n’échoue jamais. »

« Un conseil … Ne partez pas trop confiant. »

« Je suis un homme de parole, vous le savez Edhein ? »

« Oui monsieur. »

Dans les marécages, Léo et Natasha se sentirent très libres.

« Si je n’avais pas fuie, je serais morte à cette heure. »

« Moi mon père, le mal, ils étaient manipulés par le chancelier Allemand. »

« Pourquoi les guerres existent ? » s’interrogea Natasha.

« Peut-être la vie n’aurait pas de sens sans problèmes. Il faut bien pimenter cette vie. »

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 1 versions.

Vous aimez lire Florian Pierrel Officiel ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0