6. Salivation
Absynthe descendit les escalier de son de appartement qui menait à sa cave de soumission, comme elle aimait l’appeler. Elle était habillée tout en noir, avec un ensemble en latex, qu’elle affectionnait tout particulièrement.
C’était le jour de la séance hebdomadaire entre elle et Léo, qui faisait office de soumis.
Celui-ci était déjà en place, nu, au milieu de la pièce, les poignets joins et attachés par des cordes. Il était debout, les bras lever au dessus de la tête, la corde liant ses poignets passant dans une poulie et enfin attacher à un poteau derrière lui. La corde était tendu de sorte que Léo se tienne bien droit, presque sur la pointe des pieds. La tête baisser vers le sol, il attendait patiemment la venue de sa Maîtresse.
Sans un mot pour lui, elle l’admira, lui tournant autour, comme un fauve observant sa proie. Elle attrapa sur le mur ou était accrocher de nombreux ustensiles, deux mètres de cordes et un gag ball troué. Arrivant derrière Léo, elle lui passa le bâillon. Le brun, obéissant à la perfection, ouvrit la bouche pour accueillir délicatement la boule entre ses dents, puis replaça sa tête comme précédemment, basse, regard tourné vers le sol.
Elle posa la corde nouée sur une chaise près d’elle pour ensuite revenir vers son ami intime pour se placer devant lui. Lui caressant doucement la joue, puis les pointes de ses cheveux, ce qui eu pour effet de faire rougir Léo. Les joues légèrement roses.
C’est alors qu’elle eu un petit sourire malicieux sur les lèvres et s’approcha dangereusement de lui. Dangereusement, sa langue sortie, s’approchait de plus en plus d’un des tétons de l’homme.
Pour finalement le lécher.
Absynthe faisait tourner le bout de sa langue autour du téton de Léo.
Un tour…
Deux tours…
Trois tours…
« Hmm… ! »
Bingo !, pensa la dominante intérieurement. Retirant sa langue du contacte de la peau de Léo pour se remettre en face de lui. A bonne distance pour le voir tout entier.
Son corps régissait à l’excitation que cela venait de produire. Ses muscles étaient contractaient et figeaient, commençant légèrement à trembler. Sa tête était encore plus tombante, comme s’il ne contrôler plus son poids, ses cheveux cachant alors ses yeux et ses joues qui devaient être rouge cramoisi.
Elle connaissait bien son meilleur ami.
Tellement bien qu’elle savait ou le caresser pour le faire entrer en transe instantanément. Il ne lui aura fallut que trois petits tours de langue et des poignets liés.
Elle aimait tellement ses réactions que s’en était devenu presque un besoin.
Soudain, elle entendit un petit plop, et regarda au sol. Une goutte transparente.
Une goutte de bave. Un sourire amusé se fendit sur son visage.
« Bien... »
Finalement, elle changea son soumis de position.
Par terre, à quatre pattes, les poignets, coudes, genoux et chevilles retenus au sol par des bracelets de cuir, lui permettant de garder la position. Elle lui avait aussi attacher les cheveux avec la corde de la poulie, pour retenir sa tête lever d’une certaine façon.
Et en dessous de lui, juste en face de sa bouche (toujours enfermée par le gag-ball), un pichet en plastique avait prit place.
S’en suivit une longue séance de léchouille de tétons et de contrôle de la respiration. A cela se joignait les gémissements de plaisir de Léo.
Ce ne fut qu’une fois cette partie de la séance terminée, qu’ Absynthe s’assit près de son soumis, toujours attaché au sol. Elle prit le pichet, à présent remplit de bave à plus de la moitié.
Des filets de bave filant encore du bâillon au pichet quand elle le souleva pour l’amener au niveau des yeux de son ami.
« Regarde-moi ça dit donc... »
La seule chose que Léo trouvait à dire fut un gémissement accompagné d’un regard honteux d’excitation.
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