27 décembre 2010 10h15-am

Se qui devait être une désente et une marche tranquille et ordonné s'est transformer en course effréné.

Quand les portes se sont ouverte les soldats se son enfuit comme des lâche se qui fit douter quelque personne mai les gens on commencé a se garocher à l'intérieur comme des poules pas de tête.

(Robert) Le monde devient fou ou quoi
Marianne Danny ne me lâcher pas la main.

Sétai horrible les gens se batai et se pousait si quelqu'un tombait il était piétiner.

(Danny) Papa Maman j'ai peur.

(Mariane) Danny tien bien ma main maman veille sur toi!

Je n'avais jamais vue ma mère pleurer avant se jour fatidique sétai une femme forte et elle avançait toujours sans se retourner mais en se jour sétai la seule à avoir du bon sense.

(Mariane) Robert je?.

(Homme) Pouse toi salope tu me jene.

Un homme en colère pousat ma mère dan sa course folle.

(Robert) Hey fils de pute.

Mon père frapa violelamment l'home qui s'effondra au sol.

(Robert) Sa va chérie?

Le gros de la foule était parti il ne restait que nous et les piétiner.

(Mariane) Oui oui sa va Robert je me suis fait mal en tombent mais ça va.

(Robert) Aller chérie nous devons nous dépêcher pour rejoindre la sortie.

(Mariane) Je ne suis pas sûr que nous devrions continuer à avancer.

(Robert) Non nous devons continuer si nous rentrons nous n'aurons peut-être pas d'autre occasion de quitter cette île infernale.

(Mariane) Tu as raison.

Quand dans la vie on perds tout on se rappelle du moment on aurait pu faire
marche arrière.

(Danny) Aller maman on continue j'ai atte de revoir Anne.

(Robert) Regarde Mariane notre petit bonhomme à raison qu'elle jenre de parents serion nous si on laisseraient tomber notre fille et pour tout te dire ma belle je t'ai vue tomber souvent mais s'est la première fois que je te vois baisser les bras.

(Mariane) Vous avez raison tous les deux aller on continue il ne faudrait pas être en retard.

Après une longue marche qui m'a semblé durer une éternité nous avons retrouvé la foule un barrages était en place. De l'autre cauté des dizaines de soldats en habit de plastique jaune nous dévisagais. Après une dizaine de minutes une femme en habit de plastique orange s'est avancée et a commencé a parler

(Mélanie) Bonjour je me nomme Mélanie je suis selle qui dirige la vaccination.

(Mélanie) La porte va s'ouvrir et les soldats vont sélectionner les dix premières personnes et a chaque fois que les portes vont s'ouvrir dix autres personnes vont rentrer.

(Mélanie) Aucun geste violent ne sera toléré les soldats ont la permission de tirer dans la foule si jamais vous devenez agressif.

Après ce discours les portes sont ouvertes régler soldat on sélectionner les dix premières personnes.

Sûrement avec la peur au ventre ils sont rentrés calmement et personne n'a essayé de rentrer à leur place.

Ce manège a duré quelques heures après qu'une centaine de personnes sois rentré la dame est revenue.

(Mélanie) Donc sa se passe bien nous allons monter a vingt personnes a la fois.

Après ce discours les portes sont ouvertes à nouveau et vingt personnes ont été sélectionnés dont ma mère.

(Danny) Attend maman!

(Mariane) Ne t'en fais pas chérie on se revoit de l'autre côté.

Ma mère est rentré dans la pièce elle s'est retourné et mas souris les portes se sont ensuite fermé.

(Robert) Ça vas aller Danny on vas bientôt la rejoindre.