Les couleurs de la vie commencent à renaître
Dans les bras protecteurs de l'astre du matin
Dont les rayons aimants à travers la fenêtre
Sont venus caresser ta robe de satin
Ô ma douce la vue de tes lèvres vermeilles
Réveille au fond de moi la fougue et le désir
Quand posée sur mon torse alanguie tu sommeilles
Me laissant tendrement t'admirer à loisir
Ton parfum entêtant me fait voir les merveilles
Que seuls d'autres pays encore à découvrir
Devraient porter en eux. Voilà que tu t'éveilles
Ôtant le dernier drap qui pouvait te couvrir