do-cul-mentation
Très courte suite mais bientôt une beaucoup plus longue
C'est peu après le départ de Ludivine que Maxime reçut un message d'Anaïs. Cette dernière s'était masturbée en regardant deux autres adolescents se donner du plaisir et non rassasiée de ce premier orgasme elle avait réédité la chose mais cette fois sans se toucher le sexe. Maxime se dit que la prochaine fois qu'il la verrait il essaierait de la faire jouir de la même façon. Il rechercha donc sur internet les zones érogènes féminines. Il tomba sur des sites qui traitaient des plaisirs avec les traditionnels clitoris, vagin, mamelon, nuque, oreille et autres. De fil en aiguille il en arriva aux zones érogènes des hommes. Avec beaucoup d'articles qui vantaient les mérites du plaisir prostatique. Le décrivant comme un ras de marrer de plaisir. Mais pour accéder à "l'objet du plaisir" il fallait passer par l'anus, ce qui refroidit les ardeurs de Maxime. Il décida quand même de se masser le périnée qui pouvait stimuler la prostate dans une moindre mesure. Mais après 10 minutes à appuyer, masser, toucher ou effleurer son périnée il ne ressentait aucun désir, aucune envie. Il décida donc de revenir à une méthode plus "traditionnelle". Il prit son pénis dans sa main. À peine fut-il effleuré que son pénis qui n'attendait que ça, se mit à gonfler. Maxime commença par un lent va et vient qu'il accéléra quand son phallus fut à son apogée. Puis il repensa à tout ce qui s'était passé ces derniers jours, Anaïs, Ludivine. Ce qui eut pour effet de le faire accélérer encore la vitesse de sa branlette. Très vite les premiers spasmes de plaisir firent leurs apparitions suivies par 2 jets de sperme qui finissent sur le ventre de Maxime. Après avoir nettoyé toutes les traces avec un mouchoir il se glisse sous les couvertures et tombe dans les bras de Morphée
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