"J'étais triste et j'avais peur de devoir le tuer pour sauver ces inconnus innocents".

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Les larmes dévalent mes joues et j'ignore comment les stopper. Le vent souffle avec ferveur. La poussière et les résidus de cette ville complètement détruite se mêlent au chaos qui règne dans mon cœur. Je tremble. Et merde : pourquoi a-t-il fallu que ce soit lui ? J'essuie rageusement mon visage et replace mes deux mains sur mon vieux Beretta neuf millimètres. C'est terminé ! Les jambes solides, le regard droit, je tire...

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