Chapitre vingt-quatre : Dans mes pensées à 5h du matin par ArtemMissArtiss

Petit mot de l'auteure : Je suis jeune, mais j'aime donner ce que je pense en écriture, peut-être que mes pensées sont un peu désinvolte ou pas assez pertinente, je m'en excuse, tout comme la façon dont j'écris et les fautes... Voilà juste un écrit venant de mon esprit. Bonne lecture ;)

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Le téléphone sonna, vibra, 5h du matin. L’heure de se lever, une semaine après son passage près du village de Fukushima… Encore bouleversé par la façon dont ils vivent. Stella ne veux pas se lever, elle pense et repense à cette année, ces voyages...

Il est tôt mais jamais assez tôt pour se poser des questions comme chaque seconde de ma vie, je dois me lever, mais pour faire quoi, allez où encore… ?

Je vais écrire, mais pourquoi, pour qui ? ne suis-je pas seule en ce moment à vouloir changer la terre, chercher des solutions aux monstruosités des hommes, à la dégradation de l’environnement, aux corruptions des pays ?

Peut-être qu’en parlant je toucherais le monde, comme les vagues sur les réseaux sociaux pour les causes de l’environnement, ou des ouïghours, ou d’un #blacklivesmater, ou d’un #metoo, ou d’un #freepalestine, ou tant d’autres choses ? Est-ce qu’il n’y aurait pas quelqu’un derrière chaque fait divers, pour pousser une chose horrible à pouvoir exister, à créer des dégâts pour des raisons dont j’ignore mais raisonnable dans l’orbite de cette personne.

Et bah oui exterminer un peuple pour bâtir son empire, n’est-ce pas une idée ingénieuse, pourquoi pas ? après tous ces gens devaient bien mourir un jour ? autant décider quel jour la date et l’heure, c’est pour une bonne cause, on créera une puissance hors pair de cette perte, on sera puissant et riche on dirigera le monde, c’est bien comme ça que c’est bâtis l’Amérique c’est terres unifiées comme elles sont surnommés les fameuses « United states of America ». C’est peut-être des gens de mes racines qui ont commis des meurtres, des homicides dans le monde, en Algérie au XXème siècle ou encore en Mauritanie ou au Niger, ou… C’est dans mon sang que coule le meurtre, le pouvoir, mais je peux en faire autre chose n’y a t-il pas des Voltaires dans nos rangs ou des Victor Hugots ou des femmes qui ont changé la donne ?

N’est-il pas injuste de traiter certains de mes dirigeants comme d’infâmes tueurs sans scrupule, n’ont-ils pas comme même fait de moi un être civilisé doué de connaissance, notre pays une sécurité ? Certes cependant je pourrais dire mais cela à quel prix ?

Je n’oserais jeter la pierre à quelqu’un, car un homme seul ne peux faire plus qu’un régiment, hors il y a des cerveaux puissants, des gens qui laissent liberté à nos pensées malgré quelque petites suggestion d’orientation à nos cerveaux. Ce sont nous qui sommes en tort, nous tous, hier tu as vu un enfant se faire mal, as-tu courus pour l’aider ou simplement passé ta route ? Hier tu étais présent lorsqu’une femme c’est fait harceler, as-tu agis ou ne l’as-tu même pas regarder, ou était-elle d’une couleur qui ne te plaisaient pas ou portaient-elle une chose qui ne te convenait pas ? C’est nous qui sommes fautifs, en soi pas les gouvernements, une personne pense mal mais toi, tu penses bien ou mal ? Que papa te dise d’aimer cette fille ou que maman te dise d’aimer ce métier, le choix te revient non ? Oui j’ai tort moi d’être impuissante, de me penser enfermé de mes pensées, de me dire que je suis la seule à vouloir changer le monde, mais vous, toi, nous, on est puissant ensemble on change demain ensemble, monsieur vend des chaussures assemblés et cousus par des enfants et des femmes dans d’atroces conditions, dit non et monsieur ne fera pas attention, disons-non et monsieur changera, sans consommateurs point de consommations. Est-ce si simple, c’est bien en posant des marches qu’on construit des escaliers, c’est en exprimant des idées ensembles qu’on obtient du génie d’idée, ouvre ton esprit ne laisse pas les autres t’influencer, l’école a dit un plus un fait deux mais qui a dit que c’était l’école qui avait créer ton cerveau ? Libre…. ?

Le téléphone vibre.

Oh ! Zut j’ai oublié, je dois me lever, il est quelle heure ? 6h21 s’affiche sur mon écran, un fond représentant un cheval de la Camargue.