Dans un monde où la beauté n'existe plus, vivait une âme perdue. Ce monde si ignoble que l'on pensait noble, n'est qu'un amas puant de dégoût tant la noirceur était détestable. C'est dans ce mélange que vivait l'âme égaré parmi des vieux os ensanglantés. Ces cadavres ambulants qui pensaient que la vie était un plaisir infinie, et qui cherchaient un bonheur impossible. L'âme esseulée grandissait tandis que moins sa joie de vivre existait. Elle compris que ce cadeau empoisonné d'être né, elle allait le regretter, et c'est couverte de plaie qu'elle se tourne vers un chemin de liberté. Elle fut éperdument amoureuse de cet état d'inconscience sans souffrance que l'on surnommait la renaissance. Elle ne voulait que la paix dans ce monde vide que la mort dans un monde stupide, elle ne souhaitait pas vieillir dans cette vie horrible. La mort lui rendit de l'amour, et être l'un auprès de l'autre la soulageait du poids qu'elle portait. Ce venin qui coulait dans ses veines, elle éprouvait une immense haine, et le chagrin plus fort que la demoiselle eut raison d'elle. Elle était perdue dans ce monde sombre et la mort l'a éclairé. Elle était une âme hésitante, elle était une âme abîmée, que la mort a adoucit elle était désormais partante pour signé la contrat vers la fin d'une vie tourmentée.