Ava

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Le réveil est difficile ce matin. Je suis un peu courbaturée. On se demande bien pourquoi… Je suis en repos aujourd’hui mais il faut bien se lever pour emmener les filles à l’école. Je m’active donc jusqu’à neuf heures puis je rentre enfin à la maison. Enfin, je rentre, c’est un grand mot car j’ai ma grosse boule de poil nommée Rhésus qui me regarde en bougeant la queue : ok j’ai compris, faut sortir la bête. Je le fais donc monter dans le coffre et direction la garrigue. En même temps, il fait beau et frais ce matin, ça me fera du bien. Je lâche mon magnifique colley et commence à crapahuter au milieu des pins et divers arbustes. J’entends des bruits de pas au loin et rappelle donc mon chien pour éviter des soucis. Devant moi, un couple se promène. Je les salue et continue de tracer ma route. Le grand air me fait vraiment du bien. Au bout d’une heure, je fais demi-tour et reprends le chemin en sens inverse. Soudain, j’entends un bruit bizarre, comme des claques. Je me dis que c’est sûrement mon imagination. Mais non, ça devient de plus en plus distinct. Je rappelle alors Rhésus et l’attache une nouvelle fois en laisse courte pour qu’il soit à mes pieds. J’essaie de me rapprocher du bruit en tendant l’oreille : oui je suis un peu curieuse, bon d’accord très curieuse de nature. Je commence à distinguer des couleurs au milieu de la verdure et entend aussi des souffles. Mais non ?! Mais si. Je souris et essaie de m’avancer sans faire de bruit. Je découvre alors le couple de tout à l’heure en train de s’affairer dans une petite clairière à l’abri des regards. Enfin sauf du mien. Les claquements, c’étaient monsieur en train de pilonner joyeusement madame en levrette. Les souffles, c’est madame qui respire bruyamment alors que monsieur la bâillonne d’une main pendant que son autre main joue avec son clito. Les coquins ! Les chanceux ! Ils ont bien raison. Après tout, ça pimente la chose : un lieu insolite, le risque de se faire surprendre. Le grand air donne faim après tout dit-on. Je reste quelques minutes puis m’éclipse le plus discrètement possible. Je regagne ma voiture en souriant mais en ayant chaud aussi. Une fois à la maison, je suis tiraillée entre l’idée de prendre une bonne douche et celle de m’écrouler sur mon lit. Va pour la douche car mine de rien, la balade m’a fait transpirer et le spectacle du couple aussi. J’opte du coup pour un bain moussant car pour une fois, je peux prendre mon temps sans être dérangée par mes deux mini-moi. Je me fais plaisir en allumant des bougies parfumées et mets une playlist jazzy : ambiance chaleur et détente. Je m’allonge et soupire : quel bonheur, simple mais tellement appréciable. J’écoute tranquillement la musique puis commence à me détendre en passant délicatement mes mains sur mon corps. D’abord les bras puis les épaules, le ventre, la poitrine et les mamelons. Ils sont tout durs, huuuummmmm. Je me pelote un peu les seins. J’adore mon 105E. C’est mon arme de séduction massive du quotidien. Mes sens en éveil depuis les coquineries de tout à l’heure, je commence à caresser mes pieds, puis mes jambes, et vais de plus en plus haut jusqu’à mon pubis. Une fois arrivée, je m’amuse à descendre mes doigts sur l’aine, pour remonter ensuite vers mes grandes lèvres. Puis je me rapproche des petites lèvres et effleure mon clito. Mon corps est un territoire de jeu pour les autres mais avant tout le mien. Pendant qu’une main est remontée sur mes seins et commence à les malaxer, l’autre glisse de haut en bas sur mon clito, en l’écrasant parfois un peu. Puis je mets mon téton dans ma bouche (eh oui, mes seins sont suffisamment gros pour que ce soit possible) et fais rouler mon clito entre mon index et mon majeur. Je me cambre naturellement de plaisir. Des images d’hentaï et de pornos que j’ai regardé me viennent à l’esprit. Ma main s’affaire plus rapidement. Mes jambes sont maintenant écartées et appuyées sur les rebords de la baignoire, ma chatte totalement offerte à mes doigts experts : quelle indécence ! L’eau fait un lubrifiant de choix pour que le plaisir soit des plus complets et le bruit des clapotis générés par mon corps qui ondule m’excite beaucoup. Ma bouche a lâché mes tétons. J’halète et gémis allègrement. La chaleur monte crescendo et étant seule, je peux me laisser aller pleinement. Un doigt entre et sort à présent de mon vagin, puis deux, puis ils reviennent faire rouler mon clito. La scène que j’ai en tête est celle d’une héroïne japonaise qui s’est fait piéger dans un repaire de monstre-poulpe. Avec ses tentacules, il la maintient aux quatre membres et enserre tout son corps. Ses seins sont ligotés par deux appendices qui jouent avec les tétons, un autre est enroulé autour des hanches et un fait des va-et-vient entre les jambes de la fille. Elle gémit et supplie d’arrêter mais c’est peine perdue. Le monstre révèle une ventouse en forme de losange au bout du tentacule qui s’occupe du sexe. Il la plaque sur le clito et commence à le pomper. Elle crie et rougis de plaisir mais continue de supplier : « Yamete kudasai ! ». Le monstre sort alors un tentacule plus gros et la fourre pendant que les autres continuent de s’activer sur le pauvre pantin qui va jouir. Et elle n’est pas la seule. Mes doigts sont fermes et délicats sur mon clito et dans mon vagin. L’orgasme arrive dans un cri de plaisir longs de plusieurs secondes. « Aaaaaaaaaaaaahhhh ! » Je souris bêtement et me plonge plus profondément dans mon bain. Je ferme les yeux et commence limite à m’endormir lorsque j’entends frapper à la porte. Je n’attends personne alors qui est-ce ?

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