Javier
Je me laisse porter par son regard de déesse. Bien que là, elle a surtout l’air effarée par mon anatomie. Mais je compte vraiment y aller doucement car dans mon pays, les femmes se respectent car elles sont toutes précieuses à nos yeux. Alors je commence à la caresser, l’embrasser. Dieu que ses lèvres sont douces et sucrées ! On dirait du miel, et c’est aussi ça que j’aime. Cette couleur ambrée qui donne envie de déguster chaque parcelle de sa peau. Je sens sur ma cuisse l’humidité et la chaleur de sa belle chatte épilée mais avec une petite repousse comme un duvet. Je descends alors une main sur son pubis jusqu’à son antre et commence à faire rouler son clito entre mes doigts. Un long soupir s’échappe de sa gorge et son corps se cambre davantage, exhibant cette poitrine généreuse que j’ai tant lorgné quand elle passait dans la rue. Puis je décide d’enfoncer mon index puis mon majeur en elle. Elle crie cette fois, ce même cri que j’avais entendu à la fenêtre tout à l’heure. Sa bouche vient sur mon épaule pour étouffer ses plaintes pleines de luxure. Ses hanches ondulent : on dirait qu’elle baise mes doigts. Mais non mi cariña, ce n’est pas avec ça que je compte te faire du bien. Sans faire attention, j’ai frotté mon chibre sur sa jambe. Il est bien raide et prêt à assiéger cette forteresse si chaleureuse. J’enlève mes doigts d’un coup et les lèche devant elle. Son sourire est éloquent. Puis j’écarte ses lèvres pour apercevoir l’entrée de son vagin. Quel spectacle magnifique, le berceau du monde dit-on. Je prends alors mon membre et entre délicatement en elle, centimètre par centimètre. Hum quel bonheur !!! Je la regarde et elle me fait oui de la tête comme pour me donner l’accord de m’enfoncer encore. Elle a bien senti que toute ma queue n’est pas en elle. Alors j’avance encore un peu, petit à petit, jusqu’à mon pubis. Je ne peux m’empêcher de gémir lorsque je suis tout en elle. « Est-ce que ça va pour toi ? » lui demande-je. « Ne t’en fais pas chéri, tout est parfait. » me répond-t-elle avant de m’embrasser langoureusement. Sans me détacher de ses lèvres, je commence à aller et venir en elle, doucement, pour ne pas lui faire mal mais aussi pour savourer ce moment. Ses parois sont si serrées autour de ma queue…. Je crains de venir vite à ce rythme. Elle avale ma bite à chaque coup de rein avec gourmandise. Son corps continue d’onduler et je suis comme envouté par cette danse si sensuelle. J’accélère le mouvement car j’ai tellement envie d’elle. Je pourrais lui faire l’amour, la baiser, la chevaucher, l’enfourner encore et encore, nuit et jour durant. Ses yeux se révulsent et ses mains s’agrippent à mes bras. Sa respiration devient de plus en plus rapide et je sens l’orgasme monter en elle. Je décide alors de glisser ma main entre nous et caresse de nouveau son clito pendant que ma queue va et vient en elle. « Je vais venir, han han han han. Ne t’arrête pas ». Oh ne t’en fais pas pour ça ma belle, je ne compte pas m’arrêter là. Dans un dernier râle, je sens ses parois se serrer plus fort et après s’être plaquée contre moi, elle se laisse tomber sur le dos. J’enlève alors mes doigts de son clito et ralentis le rythme de mes assauts pour la laisser reprendre pieds. Elle est magnifique. Elle me sourit. « Je n’ai pas fini ma belle. Je peux reprendre ? » j’ose lui demander. Elle plonge ses yeux dans les miens avant de me répondre : « Je suis tout à toi bébé. » Alors je reprends progressivement un rythme plus soutenu. J’ai soudainement envie de voir son magnifique cul. Alors je passe une de ses jambes devant mon torse de façon à ce que ma belle soit sur le côté, jambes serrées. J’agrippe sa cuisse pour insuffler ma cadence à cette chevauchée lubrique. Ma bite étant plus serrée, je sens le désir monter de plus en plus. Et de voir ses seins sauter à chaque assaut ne m’aide pas à garder mon calme. J’en saisis d’ailleurs un à pleine main et le malaxe. Elle gémit et mets un doigt dans sa bouche puis le suce avec gourmandise en me fixant. Quelle belle catin elle fait ! Son cul claque contre mon pubis et elle ressemble parfois à une belle marionnette dont j’ai les ficelles. Oh putain, elle est vraiment bandante ! Ma sève monte doucement et je finis par exulter de plaisir à son expulsion, la remplissant de ma semence, accompagnant mon cri de coups de rein plus ferme, saccadé et intense. Elle gémi à chaque fois avec un « Han han » qui me fait frémir. Puis je me penche sur elle et soulève délicatement son menton pour l’embrasser. « Tu es vraiment sublime cariña » lui dis-je avant de laisser nos lèvres se rencontrer encore une fois.
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