Ministris
- C’est magnifique John
- Je te l’avais dit. Comment tu te sens ?
- Bien. Et toi ?
- Moi ? Oui je vais très bien
- Quel est la suite du plan ?
- Quel plan ? On n’en a pas.
- Il faut que tu rentres à la Garde National de L’Ordre.
- Je me dois te protéger. Me rapprocher du pouvoir me rapproche de la mort et m’éloigne de toi. Je risque aussi d’être repéré rapidement si je dois monter en grade auprès de Jiani. Je pense qu’il faut se concentrer sur la destruction de la milice envoyée pour détruire les populations.
- Tu veux que je vienne avec toi les combattre ?
- Oui avec ton père et Branda. Faire cavaliers seuls.
- Et les autres qui poursuivent le même but ?
- Je ne fais plus confiance à personne. Allons parler à ton père et retrouver Franck. Au fait, je pense avoir trouver le chercheur qu’il te faut.
- Je pensais que tu ne faisais plus confiance ?
- En la science j’y crois.
Je le suis après nous être rhabillés. On s’avance dans le campement pour arriver à destination de l’infirmerie. Elle semble vide mais il n’y a que Franck, la jambe bandé. A notre venus, il se tourne vers nous tout sourire :
- Salut les jeunes, on vous avait perdus.
- On est allé se baigner mais je voudrais votre avis sur mon nouveau plan. Je souhaite qu’on construise notre propre groupe pour contrer les attaques de l’ennemi. Nous quatre et Branda expose mon compagnon.
- John, c’est une bonne idée s’exprime avec joie mon père en lui donnant une claque dans le dos
- Je suis partante
Branda est derrière nous. Je suis heureuse de la retrouver et elle aussi.
- J’ai appris la traitrise de Ziam ! Je t’avais prévenu ma belle.
- Je retiens la leçon ne t’inquiète pas.
- Vous sortez quand Franck ? demande John
- Quand vous voulez. Je vous suivrais.
- C’est qui ton chercheur ? je demande
- A oui, j’ai omis de vous dire que j’ai trouvé notre chercheur. Il s’appelle Mailus Isiam. Dès que je suis arrivé, je suis allé voir sa tente.
- Il était en lien avec ma mère ?
- Je lui ai parlé d’elle et il était très émus d’apprendre son décès. C’était son professeur.
- Oui parfaitement John.
- C’est vrai que je ne me suis pas posé la question. Qu’attendons-nous pour aller le voir ?
- On y va on y va se levé Frank.
Il marche avec une canne et c’est John qui nous guide à deux tentes d’ici. On rentre pour apercevoir un vieille homme au crâne dégarnis blanc. Il se concentre sur une fiole à la substance blanche et y note des informations sur un carnet. Quand il nous remarque, il enlève ses lunettes et se lève pour nous saluer. Surtout moi.
- A voila la miraculée en chair et en os ! Enchanté Marwa, je suis Mailus Isiam, l’ancien professeur de ta défunte mère.
- Comment s’est-elle mise à étudier le virus ?
- Elle a toujours eu de l’appétence pour la science. Quand le virus circulait, elle souhaitait trouver le vaccin. Je suis un chercheur indépendant et elle m’a contacté pour des cours particuliers. Un jour, on a repérer via des informations confidentielles que j’ai pris le risque de prendre des copies, que le virus est héréditaire. On a commencer à étudier les personnes et les enfants pour trouver des antis-corps. J’ai pu travailler sur un camps de malades et récupérer leur sang pour les étudier aussi.
- Mais ce virus Xi121 a était créé comment ?
- En laboratoire et envoyé par piqure sous prétexte d’un virus à éradiquer, celle d’un pseudo singe transmissible à l’homme. Puis Jiani à crée une frontière pour contrôler la population. Il a su que ta mère travaillait sur des enfants dans ces fameux camps de malades non contrôler par Jiani. Ta mère à donc fuit pour travaillait de son côté jusqu’à que j’ai plus de nouvelles.
- Bien c’est rassurant tout ça. En tout cas j’ai retrouvé ses recherches mais j’ai du mal à les comprendre.
- Je peux t’aider
- Où sont les camps des malades ? Ils sont combien ?
- Cinq d’une centaine d’habitants à côté de note camps. On les a parquer entre différents stades du virus. Un, un sentiment de bien-être. Deux, des maux de têtes ou maux de ventres ressemblant à d’autres maladies. Trois, un début de perte de contrôle ressemblant à une personnalité schizophrène. Quatre, une début d’atonie et perte de mémoire, et dernière étape le cerveau est atteint pour un contrôle extérieur totale.
- On ne peut donc pas revenir en arrière ?
- On tente de ralentir les effets qui apparaissent rapidement dans le développement de l’enfant.
- Et c’est transmissible autrement ?
- Non.
- Alors la solution c’est de ne pas faire d’enfants !
- C’est une solution difficile, beaucoup de femmes veulent enfanter et prenne le risque. Enfin, dans les régions qu’on ne surveille pas, Jiani les embobines et malgré notre mise en garde, cela ne suffit pas. Aujourd’hui, la moitié sud est sous le joug de ton grand-père. Seule, l’idée d’un vaccin est utile. Mais là encore, il faut avoir de l’avance sur l’ennemi. Le temps court.
- Et d’après ma mère, qui m’a étudier, je serais la sauveuse ?
- Elle s’est inoculé le vaccin à sa grossesse
- Quoi ?! réagit mon père
- Il n’y a que comme ça qu’elle pouvait espérer découvrir un enfant non atteint. Les enfants que j’étudie commence après quelques naissances, à être moins touchés. Je voulais l’en empêcher mais c’était trop tard.
Le choc est immense. Ma mère a pris un risque, sa vie et la mienne. Mais elle ne semblait pas touché mais elle est morte d’une grippe…. Très suspect et puis Ziam aurait pu la tuer … On ne meurt rarement d’une grippe.. En observant mon père, je remarque qu’on a la même idée.
- Ziam ! mugit mon père
- Il aurait pu venir pour inoculer le virus. Comment cela se passe pour les adultes et les enfants ?
- Les enfants comme j’ai expliqué, développe rapidement les symptômes en moyenne en dix ans et vivent différemment entre eux. Les garçons sont comme les hommes et les filles comme les femmes. Les femmes enceintes ne se souviennent pas d’accoucher et meurt des années après comme une vieillesse classique. Les hommes eux, en moyenne meurt à l’âge de quarante ans si on les piques à l’âge de quinze ans.
- Mais comment Jiani maintient la population pour travailler ?
- La politique des naissances et puis ce que j’ai annoncer se sont des moyennes. Des hommes vivent encore, alors qu’ils sont nés il y a vingt ans.
- Ma mère est morte d’une grippe.
- C’est suspect.
- Et on m’a retrouvé
- Faillit précise John
- Comment ça ?
John explique notre aventure puis c’est au tour de mon père et de Franck. Mailus est aussi sous le coup de la surprise. Il préfère s’assoir et nous invite sur les canapés. Il nous sert du jus de citron glacé puis il dit après le plan de John :
- Je vais embarquer avec vous. Je suis libre et j’ai assez de donnés pour étudier. Mais avant, Marwa accepte tu que je prélève ton sang ? Je vais injecter le virus et l’analyser de près. Si tu es en vie c’est que notre ta mère à eu raison de prendre ce risque. La Garde Nationale de L’Ordre supposait que tu existes. Il faut crée le vaccin et l’envoyer au plus vite aux populations..
- J’accepte.
- Parfait.
Mailus me demande de bien m’installer et commence à chercher une veine. Je n’ai jamais fait de prise de sang.
- C’est ta première fois ?
- Oui
- Tu as déjà mangé ?
- Non
- Parfait, cela fera légèrement mal. Je vais piquer dans la veine, sert toujours ton poing, voilà. J’introduit la seringue, cela ne dure pas longtemps. Prête ?
- Oui
Je ressens une petite douleur. Puis, il me tend un pansement que je pose sur la piqûre. John me baise le front et me félicite. Je suis fière de moi, j’ai tenu.
- Parfait. Je vais le mettre au frais.
- Vous avez de quoi le faire ?
- Oui. Un procédé unique que j’ai créé. Je ne vais pas tout dévoiler.
- D’accord
- Je le range et je prépare les affaires. On part quand jeune homme ?
- Le plus tôt serait le mieux
- On va où ?
- Chez moi, il faut récupérer les carnets de ma femme et quelques munitions
- C’est noté
- Dans un heure à l’entrée Est propose mon père
- Parfait
- On va aller se préparer ma belle me tend la main Branda. Je vais te donner des affaires.
- Ok merci
J’embrasse John puis je suis la jeune femme coté Ouest pour une séance essayage. La plupart des habits me vont comme un gant.
- Tu es magnifique Lily
- Merci
- Aller les hommes nous attendent.
Je l’aide à prendre deux valises et deux sacs à dos avec des sacs de couchages. Les hommes ont pris un grand camion ouvert avec de quoi s’assoir pour transporter quelques armes, des munitions, une grande tente, les lits de camps et quelques provisions. Le voyage retour dure presque deux jours. On dors souvent à la belle étoile.
Enfin on arrive chez mon père mais on reste peu de temps. Soudain, on est traqué par un véhicule estampillé de la garde. Cinq hommes nous tirent dessus, on riposte et je suis touché à l’épaule. John reste à mes côtés, Branda et mon père arrive à faire exploser la voiture tuant les assaillant à bord.
Je suis soignée rapidement par Mailus, qui demande qu’on reparte immédiatement. On va se réfugié à la ville de Carpantas désigné par Franck. Là-bas, on sera en sécurité et on peut refaire des provisions.
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